Investing.com - Le dollar U.S. a pris l'avantage sur son homologue du nord ce vendredi après-midi, suite à une déception au sujet des ventes manufacturières, tandis que les yeux étaient tournés vers Moscou pour le G20.
La paire USD/CAD est descendue jusqu'à 1.0049 en début de séance américaine, son cours le plus élevé depuis le 12 février, puis s'est stabilisée vers 1.006, gagnant 0.5%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.0003, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.0084, son plafond du 11 février.
L'agence Statistics Canada, a en effet déploré une dégringolade de 3.1% des ventes en gros pour décembre, soit plus du triple des 1% redoutés, après les 1.9% d'augmentation engrangés le mois précédent.
Une étude oficielle a d'autre part montré que la production industrielle des Etats-Unis avait trébuché de 0.1% en janvier, alors qu'un frémissement de 0.2% était espéré suite aux 0.4% enregistrés lors du dernier mois de l'année.
La Réserve Fédérale de New York a quand à elle fait savoir que son indice de l'activité manufacturière avait nettement dépassé les espérances pour ce mois-ci, bondissant ainsi de -7.8 vers 10.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser -2 pour la période considérée.
Mais l'atmosphère demeurait assombrie par les perforances décevantes affichées hier par la zone euro, ravivant le spectre d'une aggravation de la crise au sein du bloc.
Il avait été montré hier que le produit intérieur brut de la région avait diminué de 0.6% au long des trois derniers mois de l'année, au lieu des 0.4% envisagés suite à la rétractation de 0.1% précédente.
Il s'agissait là de son recul le plus rapide depuis 2009 et de son troisième trimestre négatif d'affilée.
La devise canadienne a par ailleurs cédé du terrain à la monnaie unique, l'EUR/CAD prenant 0.45% pour se hisser à 1.3426.
L'université du Michigan comptait de son côté achever la semaine avec ses informations préliminaires sur le moral des consommateurs et l'inflation attendue.
La paire USD/CAD est descendue jusqu'à 1.0049 en début de séance américaine, son cours le plus élevé depuis le 12 février, puis s'est stabilisée vers 1.006, gagnant 0.5%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.0003, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.0084, son plafond du 11 février.
L'agence Statistics Canada, a en effet déploré une dégringolade de 3.1% des ventes en gros pour décembre, soit plus du triple des 1% redoutés, après les 1.9% d'augmentation engrangés le mois précédent.
Une étude oficielle a d'autre part montré que la production industrielle des Etats-Unis avait trébuché de 0.1% en janvier, alors qu'un frémissement de 0.2% était espéré suite aux 0.4% enregistrés lors du dernier mois de l'année.
La Réserve Fédérale de New York a quand à elle fait savoir que son indice de l'activité manufacturière avait nettement dépassé les espérances pour ce mois-ci, bondissant ainsi de -7.8 vers 10.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir dépasser -2 pour la période considérée.
Mais l'atmosphère demeurait assombrie par les perforances décevantes affichées hier par la zone euro, ravivant le spectre d'une aggravation de la crise au sein du bloc.
Il avait été montré hier que le produit intérieur brut de la région avait diminué de 0.6% au long des trois derniers mois de l'année, au lieu des 0.4% envisagés suite à la rétractation de 0.1% précédente.
Il s'agissait là de son recul le plus rapide depuis 2009 et de son troisième trimestre négatif d'affilée.
La devise canadienne a par ailleurs cédé du terrain à la monnaie unique, l'EUR/CAD prenant 0.45% pour se hisser à 1.3426.
L'université du Michigan comptait de son côté achever la semaine avec ses informations préliminaires sur le moral des consommateurs et l'inflation attendue.