Investing.com - Les places d'Asie étaient en forme ce lundi matin, le Japon s'envolant au plus haut depuis septembre 2008 sur fond de rumeurs selon lesquelles Haruhiko Kuroda, actuellement à la tête de la Banque Asiatique de Développement, pourrait hériter de la gouvernance de la Banque du Japon.
Elles gardaient cependant les pieds sur terre après qu'il ait été révélé que l'activité manufacturière chinoise avait connu en février son augmentation la plus faible en quatre mois.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0.75%, le Hang Seng de Hong Kong 0.3% et le Nikkei 225 japonais 2.4%.
Sydney se rapprochait de nouveau de son pic de clôture de quatre ans et demi atteint la semaine passée, encouragée par la bonne forme de son secteur bancaire.
La bande des quatre plus gros établissements financiers avait le sourire, le Westpac Banking Group en tête avec 1.7%.
Il avait été souligné en milieu de session que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine établi par HSBC, premier signe de santé économique nationale, avait dérapé depuis les 52.3 définitifs de janvier jusqu'à 50.4, sa valeur la plus faible depuis novembre.
Il demeurait cependant au-dessus de la barre des 50 dénotant une croissance du secteur.
Hong Kong était du coup plus modeste, avec la finance au tableau d'honneur.
Le poids lourd HSBC Holdings était ainsi de la fête, prenant 1.3%, alors qu'il compte pour 15% dans l'indice local, dont il est le constituant primordial.
Mais les promoteurs immobiliers constituaient un boulet, suite aux restriction gouvernementales imposées aux nouvelles transactions sur les logements dans la région.
Sun Hung Kai Properties plongeait ainsi de 2.2%, Henderson Land Development de 1%, et Cheung Kong Holdings de 1.1%.
Tokyo grimpait pour sa part à son meilleur niveau des 53 mois écoulés, le yen se trouvant sur la sellette alors qu'il semblait que la banque centrale nationale semble devoir être dirigée par quelqu'un de favorable à des assouplissements importants.
Le premier ministre nippon sur le retour Shinzo Abe devrait ainsi rendre la nomination de Haruhiko Kuroda officielle en milieu de semaine, après quoi le parlement devra l'approuver.
Il semblerait aussi que Kikuo Iwata, ayant défendu une orientation semblable, serait aussi un de ses deux adjoints, alimentant les rumeurs d'actions de lutte contre la déflation spectaculaires.
L'USD/JPY a ainsi grimpé de plus de 1% pour culminer à 94.21, son plafond de 33 mois, profitant ainsi aux entreprises tournées vers l'extérieur, dont les perspectives de revenus à l'étranger se trouvaient renforcées.
Les constructeurs automobiles Honda et Mazda avançaient ainsi respectivement de 1.6 et 3.3%, suivis de Canon et Sony avec 1.8 et 3.4%.
Les mégabanques nationales n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, plus important d'entre eux, arrachant 2.7%, tandis que le Mizuho Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group lui emboîtaient le pas de 2 et 1.6%.
Mais tout n'était cependant pas rose, Sharp, spécialiste en difficulté de l'électronique grand public s'effondrant de 5.1% après avoir annoncé son intention de lever jusqu'à 200 miliards de JPY de capitaux.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui un peu morose, dans l'attente des résultats des élections italiennes, le verdict des urnes devant être connu demain, mais les résultats des sondages de sortie des bureaux de vote seront publiés cet après-midi.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une ouverture neutre, celles sur le CAC 40 français tablant sur un repli de 0.1%, celles sur le DAX 30 allemand l'estimant à 0.1% aussi et celles sur le FTSE 100 britannique à 0.15%.
Elles gardaient cependant les pieds sur terre après qu'il ait été révélé que l'activité manufacturière chinoise avait connu en février son augmentation la plus faible en quatre mois.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0.75%, le Hang Seng de Hong Kong 0.3% et le Nikkei 225 japonais 2.4%.
Sydney se rapprochait de nouveau de son pic de clôture de quatre ans et demi atteint la semaine passée, encouragée par la bonne forme de son secteur bancaire.
La bande des quatre plus gros établissements financiers avait le sourire, le Westpac Banking Group en tête avec 1.7%.
Il avait été souligné en milieu de session que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine établi par HSBC, premier signe de santé économique nationale, avait dérapé depuis les 52.3 définitifs de janvier jusqu'à 50.4, sa valeur la plus faible depuis novembre.
Il demeurait cependant au-dessus de la barre des 50 dénotant une croissance du secteur.
Hong Kong était du coup plus modeste, avec la finance au tableau d'honneur.
Le poids lourd HSBC Holdings était ainsi de la fête, prenant 1.3%, alors qu'il compte pour 15% dans l'indice local, dont il est le constituant primordial.
Mais les promoteurs immobiliers constituaient un boulet, suite aux restriction gouvernementales imposées aux nouvelles transactions sur les logements dans la région.
Sun Hung Kai Properties plongeait ainsi de 2.2%, Henderson Land Development de 1%, et Cheung Kong Holdings de 1.1%.
Tokyo grimpait pour sa part à son meilleur niveau des 53 mois écoulés, le yen se trouvant sur la sellette alors qu'il semblait que la banque centrale nationale semble devoir être dirigée par quelqu'un de favorable à des assouplissements importants.
Le premier ministre nippon sur le retour Shinzo Abe devrait ainsi rendre la nomination de Haruhiko Kuroda officielle en milieu de semaine, après quoi le parlement devra l'approuver.
Il semblerait aussi que Kikuo Iwata, ayant défendu une orientation semblable, serait aussi un de ses deux adjoints, alimentant les rumeurs d'actions de lutte contre la déflation spectaculaires.
L'USD/JPY a ainsi grimpé de plus de 1% pour culminer à 94.21, son plafond de 33 mois, profitant ainsi aux entreprises tournées vers l'extérieur, dont les perspectives de revenus à l'étranger se trouvaient renforcées.
Les constructeurs automobiles Honda et Mazda avançaient ainsi respectivement de 1.6 et 3.3%, suivis de Canon et Sony avec 1.8 et 3.4%.
Les mégabanques nationales n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, plus important d'entre eux, arrachant 2.7%, tandis que le Mizuho Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group lui emboîtaient le pas de 2 et 1.6%.
Mais tout n'était cependant pas rose, Sharp, spécialiste en difficulté de l'électronique grand public s'effondrant de 5.1% après avoir annoncé son intention de lever jusqu'à 200 miliards de JPY de capitaux.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui un peu morose, dans l'attente des résultats des élections italiennes, le verdict des urnes devant être connu demain, mais les résultats des sondages de sortie des bureaux de vote seront publiés cet après-midi.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une ouverture neutre, celles sur le CAC 40 français tablant sur un repli de 0.1%, celles sur le DAX 30 allemand l'estimant à 0.1% aussi et celles sur le FTSE 100 britannique à 0.15%.