Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur une baisse de 0,46% mercredi, alors que les investisseurs restaient prudents avant les réunions de politique monétaire de plusieurs banques centrales plus tard dans la semaine.
Sur le front des statistiques, le secteur privé américain a créé 198.000 emplois en février, selon l’enquête ADP Employer Services, contre 170.000 anticipés par le consensu. Le solde de janvier a par ailleurs été révisé de 192.000 à 215.000.
Toujours aux Etats-Unis, les commandes à l’industrie ont reculé de 2% en janvier, affectée par la baisse de la demande dans le secteur des transports. Hors transport, les commandes ont progressé de 1,3%. Le marché tablait sur un repli de 2,2% des commandes dans leur ensemble.
Par ailleurs, la contraction du PIB de la zone euro a été confirmée à 0,6% au quatrième trimestre 2012 et à 0,9% en glissement annuel.
Du côté des valeurs, Renault restait en tête de l'indice parisien et engrangeait 3,18%, en fin de séance. Mardi, en marge du salon de Genève, le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a déclaré que le gouvernement ne prendrait aucune décision cette année sur la fiscalité du diesel ou sur l’éventualité d’une prime à la casse pour les véhicules les plus anciens.
Egalement dans le vert, LVMH avançait de 0,34% à la clôture, alors que Sanford Bernstein a entamé la couverture du titre du leader mondial du luxe par une opinion à "surperformance" et un objectif de cours de 165.
Par ailleurs, EADS s'adjugeait 0,69%. Reuters rapportait plus tôt que Turkish Airlines poursuit ses discussions avec Airbus et Boeing en vue de commander des avions monocouloirs, sans avoir encore arrêté sa décision sur le nombre d’appareils souhaité.
A l'inverse, France Télécom abandonnait 2,69% en fin de journée, après que Kepler a abaissé son objectif de cours sur la valeur de 9 à 8 euros tout en maintenant sa recommandation à "conserver".
ArcelorMittal cédait aussi du terrain et perdait 0,04% en fin de séance, après avoir procédé à des augmentations de 5% à 7% de ses prix au Brésil afin d’augmenter ses marges, selon Bloomberg.
Par ailleurs, Morgan Stanley a réduit son objectif sur ArcelorMittal de 13,30 à 12,70 euros.
Quant aux banques, elles ont terminé la journée en ordre dispersé. BNP Paribas abandonnait 1,67% à la clôture du CAC 40 et Société Générale perdait 0,54%, tandis que Crédit Agricole bondissait de 0,99%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 perdait 0,13%, le DAX progressait de 0,67% et le Footsie 100 cédait 0,09%.
Sur le front des statistiques, le secteur privé américain a créé 198.000 emplois en février, selon l’enquête ADP Employer Services, contre 170.000 anticipés par le consensu. Le solde de janvier a par ailleurs été révisé de 192.000 à 215.000.
Toujours aux Etats-Unis, les commandes à l’industrie ont reculé de 2% en janvier, affectée par la baisse de la demande dans le secteur des transports. Hors transport, les commandes ont progressé de 1,3%. Le marché tablait sur un repli de 2,2% des commandes dans leur ensemble.
Par ailleurs, la contraction du PIB de la zone euro a été confirmée à 0,6% au quatrième trimestre 2012 et à 0,9% en glissement annuel.
Du côté des valeurs, Renault restait en tête de l'indice parisien et engrangeait 3,18%, en fin de séance. Mardi, en marge du salon de Genève, le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg, a déclaré que le gouvernement ne prendrait aucune décision cette année sur la fiscalité du diesel ou sur l’éventualité d’une prime à la casse pour les véhicules les plus anciens.
Egalement dans le vert, LVMH avançait de 0,34% à la clôture, alors que Sanford Bernstein a entamé la couverture du titre du leader mondial du luxe par une opinion à "surperformance" et un objectif de cours de 165.
Par ailleurs, EADS s'adjugeait 0,69%. Reuters rapportait plus tôt que Turkish Airlines poursuit ses discussions avec Airbus et Boeing en vue de commander des avions monocouloirs, sans avoir encore arrêté sa décision sur le nombre d’appareils souhaité.
A l'inverse, France Télécom abandonnait 2,69% en fin de journée, après que Kepler a abaissé son objectif de cours sur la valeur de 9 à 8 euros tout en maintenant sa recommandation à "conserver".
ArcelorMittal cédait aussi du terrain et perdait 0,04% en fin de séance, après avoir procédé à des augmentations de 5% à 7% de ses prix au Brésil afin d’augmenter ses marges, selon Bloomberg.
Par ailleurs, Morgan Stanley a réduit son objectif sur ArcelorMittal de 13,30 à 12,70 euros.
Quant aux banques, elles ont terminé la journée en ordre dispersé. BNP Paribas abandonnait 1,67% à la clôture du CAC 40 et Société Générale perdait 0,54%, tandis que Crédit Agricole bondissait de 0,99%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 perdait 0,13%, le DAX progressait de 0,67% et le Footsie 100 cédait 0,09%.