Investing.com - Le dollar U.S. a vu son cas s'aggraver face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, l'ombre d'une possible paralysie des administrations américaines redorant le blason des valeurs sûres comme son homologue japonais.
En seconde partie de séance européenne, il a davantage fléchi devant le yen, l'USD/JPY se rétractant de 0,60% pour reprendre pied à 97,64, aux alentours d'un creux d'un mois.
Les chicaneries politiques au sujet des fonds alloués à la concrétisation de la loi sur la santé du président Barack Obama ont continué en fin de semaine, alimentant l'angoisse d'une mise à pied des fonctionnaires.
Le parlement doit adopter un budget à court terme d'ici minuit afin d'éviter une telle éventualité.
L'opposition du parti républicain, majoritaire à la chambre des députés, à la concrétisation des dispositions de l'Affordable Care Act a une fois de plus entraîné une impasse face à la Maison Blanche et au sénat, contrôlé par leurs adversaires démocrates, ayant déclaré refuser toute proposition qui viderait la loi surnommée "Obamacare" de sa substance.
Il en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,16% pour grimper à 1,3543, son plus haut niveau du jour, après avoir établi un plancher journalier à 1,3478.
La monnaie unique a retrouvé des couleurs après que Silvio Berlusconi ait rencontré de la résistance au sein de son parti suite à l'annonce samedi du retrait de ses ministres du gouvernement de coalition dirigé par Enrico Letta, appelant à la tenue de nouvelles élections.
Il avait aussi été signalé en début de journée que les prix à la consommation de la région ayant adopté la monnaie unique avaient connu ce mois-ci avec 1,1% leur plus faible augmentation depuis février 2010, au lieu des 1,3% ayant précédé.
Ceux des produits de base, excluant la nourriture, l'énergie, l'alcool et le tabac, se contentaient de 1%, après les 1,1% d'août.
Le billet vert a aussi cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,12% pour se hisser à 1,6159, aux abords d'un sommet de huit mois.
La devise de la Grande-Bretagne gardait la corde après que Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, n'ait pas estimé pas nécessaire de procéder à de nouveaux rachats d'obligations.
Elle n'a guère fait cas de l'augmentation sans surprise des prêts nets là où elle a cours ayant eu lieu en août, tandis que les accords d'hypothèques augmentaient plus vite qu'anticipé.
Le franc suisse a exercé une pression plus prononcée, l'USD/CHF glissant de 0,34% pour déraper à 0,9031, à portée de main d'une ornière de sept mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été modérément dominée par ses cousines australiennen Nouvelle-Zélande et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD reculant de 0,15% pour se retrouver à 0,9329, le NZD/USD arrachant 0,08% pour culminer à 0,8288 et l'USD/CAD trébuchant de 0,17% pour descendre à 1,0287.
La troisième s'est hissée à son meilleur niveau du jour après qu'une étude officielle ait mis en relief pour août une expansion de 0,6% de l'économie canadienne, alors qu'elle avait fondu de 0,5% le mois précédent, ce qui constituait cependant une déception au vu des 1% de croissance espérés.
La première avait perdu de sa superbe après qu'il ait été noté à l'aube que l'indice final des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine élaboré par la banque HSBC avait subi ce mois-ci une érosion partant d'une évaluation préalable à 51,2 révisée vers plus de modestie jusqu'à 50,2, rappelant la fragilité de la relance de la seconde économie mondiale.
Les experts ne s'attendaient pourtant pas à le voir varier.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,25% pour se situer à 80,17.
En seconde partie de séance européenne, il a davantage fléchi devant le yen, l'USD/JPY se rétractant de 0,60% pour reprendre pied à 97,64, aux alentours d'un creux d'un mois.
Les chicaneries politiques au sujet des fonds alloués à la concrétisation de la loi sur la santé du président Barack Obama ont continué en fin de semaine, alimentant l'angoisse d'une mise à pied des fonctionnaires.
Le parlement doit adopter un budget à court terme d'ici minuit afin d'éviter une telle éventualité.
L'opposition du parti républicain, majoritaire à la chambre des députés, à la concrétisation des dispositions de l'Affordable Care Act a une fois de plus entraîné une impasse face à la Maison Blanche et au sénat, contrôlé par leurs adversaires démocrates, ayant déclaré refuser toute proposition qui viderait la loi surnommée "Obamacare" de sa substance.
Il en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,16% pour grimper à 1,3543, son plus haut niveau du jour, après avoir établi un plancher journalier à 1,3478.
La monnaie unique a retrouvé des couleurs après que Silvio Berlusconi ait rencontré de la résistance au sein de son parti suite à l'annonce samedi du retrait de ses ministres du gouvernement de coalition dirigé par Enrico Letta, appelant à la tenue de nouvelles élections.
Il avait aussi été signalé en début de journée que les prix à la consommation de la région ayant adopté la monnaie unique avaient connu ce mois-ci avec 1,1% leur plus faible augmentation depuis février 2010, au lieu des 1,3% ayant précédé.
Ceux des produits de base, excluant la nourriture, l'énergie, l'alcool et le tabac, se contentaient de 1%, après les 1,1% d'août.
Le billet vert a aussi cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,12% pour se hisser à 1,6159, aux abords d'un sommet de huit mois.
La devise de la Grande-Bretagne gardait la corde après que Mark Carney, nouveau gouverneur de la Banque d'Angleterre, n'ait pas estimé pas nécessaire de procéder à de nouveaux rachats d'obligations.
Elle n'a guère fait cas de l'augmentation sans surprise des prêts nets là où elle a cours ayant eu lieu en août, tandis que les accords d'hypothèques augmentaient plus vite qu'anticipé.
Le franc suisse a exercé une pression plus prononcée, l'USD/CHF glissant de 0,34% pour déraper à 0,9031, à portée de main d'une ornière de sept mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été modérément dominée par ses cousines australiennen Nouvelle-Zélande et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD reculant de 0,15% pour se retrouver à 0,9329, le NZD/USD arrachant 0,08% pour culminer à 0,8288 et l'USD/CAD trébuchant de 0,17% pour descendre à 1,0287.
La troisième s'est hissée à son meilleur niveau du jour après qu'une étude officielle ait mis en relief pour août une expansion de 0,6% de l'économie canadienne, alors qu'elle avait fondu de 0,5% le mois précédent, ce qui constituait cependant une déception au vu des 1% de croissance espérés.
La première avait perdu de sa superbe après qu'il ait été noté à l'aube que l'indice final des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine élaboré par la banque HSBC avait subi ce mois-ci une érosion partant d'une évaluation préalable à 51,2 révisée vers plus de modestie jusqu'à 50,2, rappelant la fragilité de la relance de la seconde économie mondiale.
Les experts ne s'attendaient pourtant pas à le voir varier.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,25% pour se situer à 80,17.