Investing.com - La bourse du Royaume-Uni a profité d'échanges raréfiés pour poursuivre son ascension ce mercredi après-midi, après qu'il ait été révélé que la dégringolade du pays avait été freinée en avril.
Le volume des transactions semblait devoir être minime en ce jour de fête du travail pour la plupart des places d'Europe.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0,7% en seconde partie de séance, après que le groupe de recherches économiques Markit ait annoncé que son baromètre de l'activité du domaine secondaire britannique était repassé des 48,6 précédents vers 49,8, juste au-dessous des 50 dénotant une expansion.
Les experts pensaient pourtant le voir s'enfoncer à 48,5.
Les exploitants n'ont quand à eux guère prêté attention aux résultats décevants des usines chinoises, se positionnant du coup en tête de peloton.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient ainsi respectivement de 1,1 et 1,2%, leur rival Antofagasta caracolant avec un bond de 2,2%.
Une étude émanant des autorités de la Chine avait pourtant montré à l'aube que baromètre de l'activité manufacturière nationale avait quitté son piédestal de 11 mois à 50,9 de mars pour se limiter à 50,6.
Les yeux étaient désormais braqués vers les conclusions des deux jours de délibérations des décideurs de la banque centrale américaine, afin de savoir quelle attitude elle adopterait concernant les apports de capitaux.
De nouvelles contre-performances américaines ont en effet étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée des injections de liquidités de la Fed, bien que les derniers compte-rendus aient souligné que certains membres de son conseil directeur avaient des doutes sur leur efficacité.
Il a ainsi été montré hier que l'indice des directeurs des achats de la région de Chicago avait plongé de 52,4 vers 49,0 pour avril, son niveau le plus bas depuis septembre 2009.
Une étude avait révélé la semaine passée que le produit intérieur brut national avait augmenté de 2,5% entre le début janvier et la fin mars, alors que 3,0% étaient espérés, remettant en question la vigueur de la relance du pays.
Les observateurs guettaient aussi les conclusions de la prise de cap que la Banque Centrale Européenne achèvera jeudi, une baisse des taux étant de plus en plus attendue.
Il avait été souligné hier que chômage du bloc ayant adopté la monnaie unique avait battu tous les records en mars, tandis que l'inflation avait été plus modérée qu'envisagée pour le mois dernier.
Des propos récemment tenus par ses hauts représentants laissaient entendre entendre que des ajustements pourraient avoir lieu en cas de dégradation économique persistante.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles modérément positives, toute l'attention focalisée sur la décision imminente de la Fed.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,1% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,1% également.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec la publication du nombre des créations d'emploi mesurées par l'agence de gestion des ressources humaines ADP, alors que l'institut de gestion des approvisionnements fera connaître ses informations sur l'activité des usines américaines.
Le volume des transactions semblait devoir être minime en ce jour de fête du travail pour la plupart des places d'Europe.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0,7% en seconde partie de séance, après que le groupe de recherches économiques Markit ait annoncé que son baromètre de l'activité du domaine secondaire britannique était repassé des 48,6 précédents vers 49,8, juste au-dessous des 50 dénotant une expansion.
Les experts pensaient pourtant le voir s'enfoncer à 48,5.
Les exploitants n'ont quand à eux guère prêté attention aux résultats décevants des usines chinoises, se positionnant du coup en tête de peloton.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient ainsi respectivement de 1,1 et 1,2%, leur rival Antofagasta caracolant avec un bond de 2,2%.
Une étude émanant des autorités de la Chine avait pourtant montré à l'aube que baromètre de l'activité manufacturière nationale avait quitté son piédestal de 11 mois à 50,9 de mars pour se limiter à 50,6.
Les yeux étaient désormais braqués vers les conclusions des deux jours de délibérations des décideurs de la banque centrale américaine, afin de savoir quelle attitude elle adopterait concernant les apports de capitaux.
De nouvelles contre-performances américaines ont en effet étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée des injections de liquidités de la Fed, bien que les derniers compte-rendus aient souligné que certains membres de son conseil directeur avaient des doutes sur leur efficacité.
Il a ainsi été montré hier que l'indice des directeurs des achats de la région de Chicago avait plongé de 52,4 vers 49,0 pour avril, son niveau le plus bas depuis septembre 2009.
Une étude avait révélé la semaine passée que le produit intérieur brut national avait augmenté de 2,5% entre le début janvier et la fin mars, alors que 3,0% étaient espérés, remettant en question la vigueur de la relance du pays.
Les observateurs guettaient aussi les conclusions de la prise de cap que la Banque Centrale Européenne achèvera jeudi, une baisse des taux étant de plus en plus attendue.
Il avait été souligné hier que chômage du bloc ayant adopté la monnaie unique avait battu tous les records en mars, tandis que l'inflation avait été plus modérée qu'envisagée pour le mois dernier.
Des propos récemment tenus par ses hauts représentants laissaient entendre entendre que des ajustements pourraient avoir lieu en cas de dégradation économique persistante.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles modérément positives, toute l'attention focalisée sur la décision imminente de la Fed.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,1% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,1% également.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec la publication du nombre des créations d'emploi mesurées par l'agence de gestion des ressources humaines ADP, alors que l'institut de gestion des approvisionnements fera connaître ses informations sur l'activité des usines américaines.