Investing.com - Les places d'Asie terminaient sur une note positive ce mardi matin, encouragées par l'espoir que les administrations des Etats-Unis soient relancées, et que leur limite d'endettement soit remontée avant la date fatidique du 17 octobre.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,98%, le Hang Seng de Hong Kong et le Nikkei 225 japonais réouvrant avec le sourire après un week-end prolongé avec 0,40% et 0,25%.
Les cours de la région sont en effet remontés dans le sillage de ceux de Wall Street, qui profitaient de la lumière semblant poindre au bout du tunnel des négociations budgétaires à Washington.
Harry Reid, chef du groupe sénatorial démocrate, a ainsi déclaré hier que des "avancées remarquables" avaient été réalisées en direction d'un consensus, laissant espérer une sortie de l'impasse, alors que la menace d'un défaut de paiement menaçait en cas de persistance des querelles politiques après la date limite de jeudi.
Sydney s'élevait à son plus haut niveau en deux semaines, tirée vers le haut par ses mastodontes miniers.
Rio Tinto a notamment bondi de 2,5% après avoir annoncé 4% de livraisons de minerai de fer sur la planète entière, le Fortescue Metals Group lui emboîtant le pas avec 5,85% et BHP Billiton avec 1%.
Hong Kong avançait à pas feutrés, la prudence restant de mise en attendant une série de résultats imminents de la part de la Chine, portant notamment sur le produit intérieur brut, la production industrielle et les ventes au détail.
Il avait été montré samedi que l'excédent du commerce extérieur chinois avait diminué sans crier gare en septembre, alimentant les craintes au sujet des perspectives de croissance mondiales.
Les exportations ont ainsi reculé de 0,3% d'une année sur l'autre, alors qu'un bond de 6% était espéré pour prolonger les 7,2% d'août.
Il avait d'autre part été noté hier que les prix à la consommation de la Chine avaient connu une inflation de 3,1% en septembre, dépassant les 2,9% envisagés et les 2,6% précédents.
Le secteur financier était en forme après que la banque centrale du pays ait fait savoir que 787 milliards de CNY de prêts avaient été accordés le mois passé, au lieu des 674,5 milliards envisagés.
L'Agricultural Bank of China avançait ainsi de 1,1%, la China Construction Bank de 0,5%, et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, de 0,4%.
Tokyo suivait le mouvement, renforcée par un yen plongeant dans un creux de deux semaines par rapport au billet vert.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 98,42, aux alentours de leur pic bihebdomadaire à 98,69 d'hier, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, qui augmente la valeur des devises obtenues à l'étranger.
Le constructeur automobile Fuji Heavy Industries engrangeait 0,75% après que le journal Nikkei ait rapporté qu'il avait enregistré une explosion de 250% de ses revenus d'exploitation d'une année sur l'autre au cours de la période de six mois achevée en septembre.
Le futur des bourses européennes s'annonçait lui aussi enthousiaste, grâce aux signes de reprise des services d'état américains et de relèvement futur du plafond de la dette du pays.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,5%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,4%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,5% et sur le FTSE 100 britannique à 0,6%.
Le centre de recherches économiques ZEW compte pour sa part fournir aujourd'hui son rapport crucial sur l'humeur économique allemande, après quoi les Etats-Unis rendront de leur côté un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,98%, le Hang Seng de Hong Kong et le Nikkei 225 japonais réouvrant avec le sourire après un week-end prolongé avec 0,40% et 0,25%.
Les cours de la région sont en effet remontés dans le sillage de ceux de Wall Street, qui profitaient de la lumière semblant poindre au bout du tunnel des négociations budgétaires à Washington.
Harry Reid, chef du groupe sénatorial démocrate, a ainsi déclaré hier que des "avancées remarquables" avaient été réalisées en direction d'un consensus, laissant espérer une sortie de l'impasse, alors que la menace d'un défaut de paiement menaçait en cas de persistance des querelles politiques après la date limite de jeudi.
Sydney s'élevait à son plus haut niveau en deux semaines, tirée vers le haut par ses mastodontes miniers.
Rio Tinto a notamment bondi de 2,5% après avoir annoncé 4% de livraisons de minerai de fer sur la planète entière, le Fortescue Metals Group lui emboîtant le pas avec 5,85% et BHP Billiton avec 1%.
Hong Kong avançait à pas feutrés, la prudence restant de mise en attendant une série de résultats imminents de la part de la Chine, portant notamment sur le produit intérieur brut, la production industrielle et les ventes au détail.
Il avait été montré samedi que l'excédent du commerce extérieur chinois avait diminué sans crier gare en septembre, alimentant les craintes au sujet des perspectives de croissance mondiales.
Les exportations ont ainsi reculé de 0,3% d'une année sur l'autre, alors qu'un bond de 6% était espéré pour prolonger les 7,2% d'août.
Il avait d'autre part été noté hier que les prix à la consommation de la Chine avaient connu une inflation de 3,1% en septembre, dépassant les 2,9% envisagés et les 2,6% précédents.
Le secteur financier était en forme après que la banque centrale du pays ait fait savoir que 787 milliards de CNY de prêts avaient été accordés le mois passé, au lieu des 674,5 milliards envisagés.
L'Agricultural Bank of China avançait ainsi de 1,1%, la China Construction Bank de 0,5%, et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, de 0,4%.
Tokyo suivait le mouvement, renforcée par un yen plongeant dans un creux de deux semaines par rapport au billet vert.
La paire USD/JPY est montée jusqu'à 98,42, aux alentours de leur pic bihebdomadaire à 98,69 d'hier, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, qui augmente la valeur des devises obtenues à l'étranger.
Le constructeur automobile Fuji Heavy Industries engrangeait 0,75% après que le journal Nikkei ait rapporté qu'il avait enregistré une explosion de 250% de ses revenus d'exploitation d'une année sur l'autre au cours de la période de six mois achevée en septembre.
Le futur des bourses européennes s'annonçait lui aussi enthousiaste, grâce aux signes de reprise des services d'état américains et de relèvement futur du plafond de la dette du pays.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,5%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,4%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,5% et sur le FTSE 100 britannique à 0,6%.
Le centre de recherches économiques ZEW compte pour sa part fournir aujourd'hui son rapport crucial sur l'humeur économique allemande, après quoi les Etats-Unis rendront de leur côté un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York.