Investing.com - Le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine dernière a davantage augmenté qu'il n'avait été redouté, d'après les chiffres officiels dévoilés ce jeudi, après avoir pourtant plongé la semaine précédente vers son plus bas niveau en preès de quatre ans.
Dans son rapport, le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet annoncé qu'il avait grimpé de 21 000 vers 377 000 après ajustement saisonnier pour la semaine achevée le 21 janvier, alors que l'estimation préliminaire à 352 000 de la précédente a quand à elle dû être révisée à la hausse vers 356 000.
Les experts ne s'étaient pas attendus à le voir s'élever de plus de 14 000 unités jusqu'à 370 000 sur la période considérée.
Il s'est cependant maintenu sous les 400 000, performance historiquement liée à des améliorations sur le marché du travail, au cours de onze des treize dernières semaines.
Le document précisait toutefois que le total des allocataires avait aussi dépassé les craintes pour la semaine ayant pris fin le 14 janvier, se retrouvant à 3.554 millions contre 3.466 millions la semaine précédente, dont l'évaluation préalable à 3.432 millions a également été revue vers le haut, tandis que les spécialistes ne pensaient pas le voir dépasser les 3.5 millions.
La moyenne mensuelle des nouvelles inscriptions, indicateur considéré comme moins chaotique que le chiffre hebdomadaire grâce au lissage des extrêmes, a décliné de 2 500 unités pour s'établir à 377 500.
Suite à la diffusion de la nouvelle, le dollar U.S. continuait à perdre du terrain sur l'euro, l'EUR/USD grimpant de 0.46% pour se hisser à 1.3167.
Les perspectives des marchés américains restaient par contre plutôt optimistes, les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.35%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.3% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
Dans son rapport, le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet annoncé qu'il avait grimpé de 21 000 vers 377 000 après ajustement saisonnier pour la semaine achevée le 21 janvier, alors que l'estimation préliminaire à 352 000 de la précédente a quand à elle dû être révisée à la hausse vers 356 000.
Les experts ne s'étaient pas attendus à le voir s'élever de plus de 14 000 unités jusqu'à 370 000 sur la période considérée.
Il s'est cependant maintenu sous les 400 000, performance historiquement liée à des améliorations sur le marché du travail, au cours de onze des treize dernières semaines.
Le document précisait toutefois que le total des allocataires avait aussi dépassé les craintes pour la semaine ayant pris fin le 14 janvier, se retrouvant à 3.554 millions contre 3.466 millions la semaine précédente, dont l'évaluation préalable à 3.432 millions a également été revue vers le haut, tandis que les spécialistes ne pensaient pas le voir dépasser les 3.5 millions.
La moyenne mensuelle des nouvelles inscriptions, indicateur considéré comme moins chaotique que le chiffre hebdomadaire grâce au lissage des extrêmes, a décliné de 2 500 unités pour s'établir à 377 500.
Suite à la diffusion de la nouvelle, le dollar U.S. continuait à perdre du terrain sur l'euro, l'EUR/USD grimpant de 0.46% pour se hisser à 1.3167.
Les perspectives des marchés américains restaient par contre plutôt optimistes, les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.35%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.3% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.