Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne ce mardi, en raison de la diminution de l'espoir d'une initiative imminente de la Banque Centrale Européenne detinée à juguler la crise de la dette régionale et des craintes au sujet de la croissance mondiale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.4%, le CAC 40 français de 0.51%, et le DAX 30 allemand de 0.4%.
La BCE devrait en effet annoncer des mesures de stabilisation des marchés obligataires européens lors de sa prochaine réunion, le 6 septembre, mais celles-ci ne devraient pas prendre effet avant la fin du mois.
Les autorités japonaises avaient revu en début de matinée les projections économiques à la baisse pour la première fois en dix mois, la diminution des exportations nuisant à la production et l'augmentation de la demande des consommateurs ayant été insuffisante.
Les observateurs guettaient d'auttre part pour vendredi le discours crucial de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, à Jackson Hole, dans le Wyoming, en raison des bruits portant sur la propension de celle-ci à procéder à des encouragements supplémentaires.
La finance était largement en panne, l'allemand Deutsche Bank en lanterne rouge avec une chute de 1.15%, suivi des français BNP Paribas et société Générale avec respectivement 0.63 et 0.24%.
Le Crédit Agricole avait auparavant avoué une dégringolade de 67% de ses bénéfices au second trimestre, en raison des pertes subies en Grèce et de la perte de valeur de ses parts dans l'italien Intesa Sanpaolo.
L'Espagne n'était pas non plus en reste, Banco Santander et BBVA leur emboîtant le pas avec 0.45 et 0.31% de diminution.
Mais l'Italie a nagé à contre-courant, Unicredit et Intesa Sanpaolo arrachant 0.77 et 0.33%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a laissé échapper 0.2%, tiré vers le bas par des miniers en ddifficulté après la réouverture des places boursières nationales suite au jour férié d'hier.
Rio Tinto et BHP Billiton ont ainsi fondu de 1.84 et 1.02%, tandis qu'Antofagasta dégringolait de 2.42%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étaient pas à négliger, coulant de 1.35 et 1.97%.
Le géant pharmaceutique londonien AstraZeneca a pour sa part dérapé de 0.25%, après qu'il ait été rapporté qu'il avait nommé Pascal Soriot, chef de la division pharmaceutique de Roche Holding, au poste de directeur général, afin de relancer le developpement de produits et les ventes.
La City était quand à elle plus mitigée, Lloyds Banking subissant un revers de 0.71%, la Royal Bank of Scotland limitant les dégâts à 0.31%, tandis que HSBC Holdings et Barclays arrachaient 0.21 et 0.55%.
Les perspectives des marchés américains gardaient toutefois leur contenance: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.01%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.03% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.06%.
Il avait auparavant été montré que le baromètre de l'humeur des consommateurs allemands était resté stable à 5.9 en août, au lieu de reculer à 5.8 comme il avait été redouté.
Les Etats-Unis divulgueront de leur côté dans l'après-midi un rapport sur la confiance des consommateurs, laissant présager de leur santé économique, ainsi que l'évolution des prix des habitations mesurée par les experts dans ce domaine.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.4%, le CAC 40 français de 0.51%, et le DAX 30 allemand de 0.4%.
La BCE devrait en effet annoncer des mesures de stabilisation des marchés obligataires européens lors de sa prochaine réunion, le 6 septembre, mais celles-ci ne devraient pas prendre effet avant la fin du mois.
Les autorités japonaises avaient revu en début de matinée les projections économiques à la baisse pour la première fois en dix mois, la diminution des exportations nuisant à la production et l'augmentation de la demande des consommateurs ayant été insuffisante.
Les observateurs guettaient d'auttre part pour vendredi le discours crucial de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, à Jackson Hole, dans le Wyoming, en raison des bruits portant sur la propension de celle-ci à procéder à des encouragements supplémentaires.
La finance était largement en panne, l'allemand Deutsche Bank en lanterne rouge avec une chute de 1.15%, suivi des français BNP Paribas et société Générale avec respectivement 0.63 et 0.24%.
Le Crédit Agricole avait auparavant avoué une dégringolade de 67% de ses bénéfices au second trimestre, en raison des pertes subies en Grèce et de la perte de valeur de ses parts dans l'italien Intesa Sanpaolo.
L'Espagne n'était pas non plus en reste, Banco Santander et BBVA leur emboîtant le pas avec 0.45 et 0.31% de diminution.
Mais l'Italie a nagé à contre-courant, Unicredit et Intesa Sanpaolo arrachant 0.77 et 0.33%.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a laissé échapper 0.2%, tiré vers le bas par des miniers en ddifficulté après la réouverture des places boursières nationales suite au jour férié d'hier.
Rio Tinto et BHP Billiton ont ainsi fondu de 1.84 et 1.02%, tandis qu'Antofagasta dégringolait de 2.42%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étaient pas à négliger, coulant de 1.35 et 1.97%.
Le géant pharmaceutique londonien AstraZeneca a pour sa part dérapé de 0.25%, après qu'il ait été rapporté qu'il avait nommé Pascal Soriot, chef de la division pharmaceutique de Roche Holding, au poste de directeur général, afin de relancer le developpement de produits et les ventes.
La City était quand à elle plus mitigée, Lloyds Banking subissant un revers de 0.71%, la Royal Bank of Scotland limitant les dégâts à 0.31%, tandis que HSBC Holdings et Barclays arrachaient 0.21 et 0.55%.
Les perspectives des marchés américains gardaient toutefois leur contenance: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.01%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.03% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.06%.
Il avait auparavant été montré que le baromètre de l'humeur des consommateurs allemands était resté stable à 5.9 en août, au lieu de reculer à 5.8 comme il avait été redouté.
Les Etats-Unis divulgueront de leur côté dans l'après-midi un rapport sur la confiance des consommateurs, laissant présager de leur santé économique, ainsi que l'évolution des prix des habitations mesurée par les experts dans ce domaine.