Investing.com - La livre sterling à vu sa progression face au dollar U.S. fondre ce mercredi, le moral des investisseurs ayant été affecté par la nouvelle selon laquelle l'agence Fitch envisagerait une dégradation de deux crans pour l'Italie.
La paire GBP/USD est redescendue depuis 1.5378, son cours le plus élevé du jour, jusqu'à 1.5342 en ouverture de séance européenne, n'arrachant plus que 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5278, son plancher du 12 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1.5404, son plafond de mardi.
La fébrilité s'est en effet répandue comme une traînée de poudre après que Fitch Ratings ait fait savoir en début de journée que sa notation de l'Italie risquait de baisser de deux points.
Cette dernière se situe actuellement à A+, mais elle s'est trouvée placée le mois dernier sous une surveillance négative, tout comme celles de l'Espagne, de la Belgique, de l'Irlande, de la Slovénie et de Chypre, ce qui signifie qu'un rabaissement dans les trois mois est possible.
Cette information avait été communiquée après que l'agence Standard & Poor's ait rabaissé sa notation de neuf des pays membres de la zone euro, aux rangs desquels figurait l'Italie, ainsi que le Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, servant de fonds de secours à la région.
Le gouvernement de la Grèce va pour sa part reprendre dans la journée les négociations avec les détenteurs de ses obligations afin d'évoquer une dévaluation volontaire de celles-ci, les pourparlers ayant été interrompus vendredi en raison de désaccords concernant l'importance des pertes subies lors de l'échange des bons du trésor.
Le pays doit dégager un consensus concernant la restructuration de sa dette afin d'avoir droit à la nouvelle tranche des capitaux de secours, et ainsi éviter un défaut de paiement lorsque 14.4 milliards d'euros d'obligations arriveront à terme le 20 mars.
La devise de la Grande-Bretagne n'a guère cédé de terrain à l'euro, l'EUR/GBP ne grignotant que 0.1% pour se hisser à 0.8315.
Les autorités du Royaume-Uni dévoileront aujourd'hui l'évolution du nombre de demandeurs d'allocations, mais aussi le taux de chômage.
Le gouvernement des Etats-Unis fera de même dans l'après-midi l'inflation des coûts de production, ainsi que les chiffres de la production industrielle.
La paire GBP/USD est redescendue depuis 1.5378, son cours le plus élevé du jour, jusqu'à 1.5342 en ouverture de séance européenne, n'arrachant plus que 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5278, son plancher du 12 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1.5404, son plafond de mardi.
La fébrilité s'est en effet répandue comme une traînée de poudre après que Fitch Ratings ait fait savoir en début de journée que sa notation de l'Italie risquait de baisser de deux points.
Cette dernière se situe actuellement à A+, mais elle s'est trouvée placée le mois dernier sous une surveillance négative, tout comme celles de l'Espagne, de la Belgique, de l'Irlande, de la Slovénie et de Chypre, ce qui signifie qu'un rabaissement dans les trois mois est possible.
Cette information avait été communiquée après que l'agence Standard & Poor's ait rabaissé sa notation de neuf des pays membres de la zone euro, aux rangs desquels figurait l'Italie, ainsi que le Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, servant de fonds de secours à la région.
Le gouvernement de la Grèce va pour sa part reprendre dans la journée les négociations avec les détenteurs de ses obligations afin d'évoquer une dévaluation volontaire de celles-ci, les pourparlers ayant été interrompus vendredi en raison de désaccords concernant l'importance des pertes subies lors de l'échange des bons du trésor.
Le pays doit dégager un consensus concernant la restructuration de sa dette afin d'avoir droit à la nouvelle tranche des capitaux de secours, et ainsi éviter un défaut de paiement lorsque 14.4 milliards d'euros d'obligations arriveront à terme le 20 mars.
La devise de la Grande-Bretagne n'a guère cédé de terrain à l'euro, l'EUR/GBP ne grignotant que 0.1% pour se hisser à 0.8315.
Les autorités du Royaume-Uni dévoileront aujourd'hui l'évolution du nombre de demandeurs d'allocations, mais aussi le taux de chômage.
Le gouvernement des Etats-Unis fera de même dans l'après-midi l'inflation des coûts de production, ainsi que les chiffres de la production industrielle.