Investing.com - Le dollar U.S. restait en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, les opérateurs se consolant des mauvais résultats économiques récents avec l'espoir d'accommodements de la part des principales banques centrales.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,40% pour grimper à 1,308é.
La croissance décevante des Etats-Unis au premier trimestre avait en effet étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée des injections de capitaux de la Réserve Fédérale, ravivant les craintes au sujet de la vigueur de la relance de la première économie mondiale.
Le bulletin qu'elle publiera mercredi sera au centre des débats, en quête de signes préfigurant ses orientations futures.
La monnaie unique a préfité du fait que Rome ait vu les coûts de ses emprunts plonger à leur niveau le plus bas depuis octobre 2010 lors d'une émission de bons du trésor à cinq et dix ans, après que l'Italie soit sortie de l'impasse politique découlant des élections sans résultats clairs de février avec l'intronisation d'un nouveau gouvernement.
Mais elle demeurait sur la sellette alors que le cap que la Banque Centrale Européenne prendra mercredi, une baisse des taux étant attendue suite aux piètres résultats allemands dévoilés la semaine passée, faisait aussi des gorges chaudes.
Des propos récemment tenus par ses hauts représentants laissaient entendre entendre que des ajustements pourraient avoir lieu en cas de dégradation économique persistante.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,31% pour se hisser à 1,5523, se maintenant aux abords d'un creux de deux mois et demi.
L'unité monétaire de la Grande-Bretagne gardait la forme après qu'il ait été révélé la semaine passée que l'économie britannique avait retrouvé le chemin de la croissance au premier trimestre, échappant ainsi à une récession à triple tranchant.
Il a d'autre part un peu moins subi la pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,20% pour se retrouver à 97,86.
Il en était de même avec le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,36% pour tomber à 0,9390.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,53% pour monter à 1,0334, le NZD/USD engrangeant 0,75% pour culminer à 0,8544 et l'USD/CAD régressant de 0,28% pour aller vers 1,0142.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,45% pour se situer à 82,20.
Il avait auparavant été révélé que les dépenses des particuliers américains avaient gonflé de manière légèrement supérieure aux attentes en mars, avec un frémissement de 0,2%, les revenus individuels augmentant cependant de seulement 0,2% au lieu des 0,4% espérés.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté fournir dans l'après-midi les informations de leurs spécialistes de l'immobilier sur le nombre des ventes de logements en cours.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,40% pour grimper à 1,308é.
La croissance décevante des Etats-Unis au premier trimestre avait en effet étouffé les rumeurs saugrenues de fin prématurée des injections de capitaux de la Réserve Fédérale, ravivant les craintes au sujet de la vigueur de la relance de la première économie mondiale.
Le bulletin qu'elle publiera mercredi sera au centre des débats, en quête de signes préfigurant ses orientations futures.
La monnaie unique a préfité du fait que Rome ait vu les coûts de ses emprunts plonger à leur niveau le plus bas depuis octobre 2010 lors d'une émission de bons du trésor à cinq et dix ans, après que l'Italie soit sortie de l'impasse politique découlant des élections sans résultats clairs de février avec l'intronisation d'un nouveau gouvernement.
Mais elle demeurait sur la sellette alors que le cap que la Banque Centrale Européenne prendra mercredi, une baisse des taux étant attendue suite aux piètres résultats allemands dévoilés la semaine passée, faisait aussi des gorges chaudes.
Des propos récemment tenus par ses hauts représentants laissaient entendre entendre que des ajustements pourraient avoir lieu en cas de dégradation économique persistante.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,31% pour se hisser à 1,5523, se maintenant aux abords d'un creux de deux mois et demi.
L'unité monétaire de la Grande-Bretagne gardait la forme après qu'il ait été révélé la semaine passée que l'économie britannique avait retrouvé le chemin de la croissance au premier trimestre, échappant ainsi à une récession à triple tranchant.
Il a d'autre part un peu moins subi la pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,20% pour se retrouver à 97,86.
Il en était de même avec le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,36% pour tomber à 0,9390.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,53% pour monter à 1,0334, le NZD/USD engrangeant 0,75% pour culminer à 0,8544 et l'USD/CAD régressant de 0,28% pour aller vers 1,0142.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,45% pour se situer à 82,20.
Il avait auparavant été révélé que les dépenses des particuliers américains avaient gonflé de manière légèrement supérieure aux attentes en mars, avec un frémissement de 0,2%, les revenus individuels augmentant cependant de seulement 0,2% au lieu des 0,4% espérés.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté fournir dans l'après-midi les informations de leurs spécialistes de l'immobilier sur le nombre des ventes de logements en cours.