Investing.com - La livre sterling restait proche d'un creux de deux semaines face au dollar U.S. ce lundi, après que la perte du triple A du Royaume-Uni, en raison de sa situation économique.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5205 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 5 avril, puis s'est stabilisée vers 1,5231, grignotant 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5098, son plancher du 2 avril, et de rencontrer de la résistance à 1,5311, son plafond de jeudi.
L'agence de notation Fitch Ratings a en effet rabaissé d'un cran son appréciation triple A vers AA+ avec une perspective stable, estimant que "l'économie britannique avait connu une croissance décevante ces dernières années".
Le Fonds Monétaire International avait aussi fait savoir en début de semaine dernière que Londres devrait modérer ses mesures d'austérité, en raison de la faiblesse de l'économie nationale.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,02% pour glisser à 0,8566.
Ce dernier demeurait fragilisé par l'hypothèse de nouveaux rabaissements des taux évoquée par un haut représentant de la Banque Centrale Européenne.
Mais il avait cependant retrouvé des couleurs avec la réélection samedi de Giorgio Napolitano au poste de président de l'Italie, une avancée cruciale pour sortir le pays de l'impasse politique.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5205 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 5 avril, puis s'est stabilisée vers 1,5231, grignotant 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5098, son plancher du 2 avril, et de rencontrer de la résistance à 1,5311, son plafond de jeudi.
L'agence de notation Fitch Ratings a en effet rabaissé d'un cran son appréciation triple A vers AA+ avec une perspective stable, estimant que "l'économie britannique avait connu une croissance décevante ces dernières années".
Le Fonds Monétaire International avait aussi fait savoir en début de semaine dernière que Londres devrait modérer ses mesures d'austérité, en raison de la faiblesse de l'économie nationale.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,02% pour glisser à 0,8566.
Ce dernier demeurait fragilisé par l'hypothèse de nouveaux rabaissements des taux évoquée par un haut représentant de la Banque Centrale Européenne.
Mais il avait cependant retrouvé des couleurs avec la réélection samedi de Giorgio Napolitano au poste de président de l'Italie, une avancée cruciale pour sortir le pays de l'impasse politique.