Investing.com - L'euro a à peine pris le dessus face au dollar U.S. lors des rares échanges de ce lundi matin, de nombreuses places orientales restant closes pour le nouvel an lunaire, et son avancée restait jugulée par les propos tenus la semaine passée par le chef de la Banque Centrale Européenne.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3391 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3379, grignotant 0.08%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3285, son plancher du 24 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1.3478, son plafond du 25.
La monnaie unique restait sur la sellette après que Mario Draghi, président de son autorité monétaire, ait déclaré jeudi que cette dernière surveillerait son taux de change de près afin de savoir si son renforcement influençait les prévisions d'inflation.
Elle souffrait également des incertitudes causées non seulement par les prochaines élections italiennes, mais aussi par les tensions politiques en Espagne, où le gouvernement se trouve entaché par un scandale tournant autour d'affaire de corruption.
Le devise européenne a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.22% pour se hisser à 0.8479, mais l'euro lui a nettement mieux résisté, l'EUR/JPY n'arrachant que 0.01% pour culminer à 123.91.
L'Eurogroupe verra aujourd'hui les ministres des finances de la région tenir une rencontre pour des négociations à Bruxelles, suite au sommet de l'Union Européenne de la semaine dernière.
Les dirigeants de celle-ci se sont mis d'accord vendredi sur le budget des sept prochaines années, les gouvernements contribuant légèrement moins à celui-ci que lors de la période précédente, sur fond d'appel à la diminution des dépenses.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3391 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3379, grignotant 0.08%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3285, son plancher du 24 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1.3478, son plafond du 25.
La monnaie unique restait sur la sellette après que Mario Draghi, président de son autorité monétaire, ait déclaré jeudi que cette dernière surveillerait son taux de change de près afin de savoir si son renforcement influençait les prévisions d'inflation.
Elle souffrait également des incertitudes causées non seulement par les prochaines élections italiennes, mais aussi par les tensions politiques en Espagne, où le gouvernement se trouve entaché par un scandale tournant autour d'affaire de corruption.
Le devise européenne a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.22% pour se hisser à 0.8479, mais l'euro lui a nettement mieux résisté, l'EUR/JPY n'arrachant que 0.01% pour culminer à 123.91.
L'Eurogroupe verra aujourd'hui les ministres des finances de la région tenir une rencontre pour des négociations à Bruxelles, suite au sommet de l'Union Européenne de la semaine dernière.
Les dirigeants de celle-ci se sont mis d'accord vendredi sur le budget des sept prochaines années, les gouvernements contribuant légèrement moins à celui-ci que lors de la période précédente, sur fond d'appel à la diminution des dépenses.