Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur une baisse de 1,15% jeudi, après les commentaires prudents du président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi.
Lors d'une conférence de presse, Mario Draghi a répété que la faiblesse de l’économie devrait continuer de prévaloir début 2013, avant une reprise graduelle en fin d’année.
Concernant le taux l’inflation, Mario Draghi a indiqué qu’il devrait passer sous les 2% l’an dans les prochains mois. Enfin, il indiqué que la récente appréciation de l'euro est un signe de confiance dans la monnaie unique.
Sans surprise, la BCE a maintenu le taux repo à 0,75%.
Sur le front des statistiques, la productivité a diminué de 2% dans le secteur non agricole américain au quatrième trimestre, sa plus forte contraction depuis la période janvier-mars 2011. Les analystes tablaient sur une baisse de 1,3%. Quant aux inscriptions au chômage, elles ont reculé de 5.000 à 366.000 sur la semaine au 2 février, contre 360.000 estimées.
En France, le déficit commercial a diminué à 67 milliards d’euros en 2012, contre 74 milliards en 2011. Les exportations ont augmenté de 3,2% et les importations de 1,3% l’année dernière.
Du côté des valeurs, Sanofi restait en forte baisse en fin de séance. Le titre abandonnait 3,89% à la clôture, après que le groupe pharmaceutique a vu son chiffre d’affaires augmenter de 0,2% à 1,57 milliard d’euros au quatrième trimestre 2012.
Alcatel-Lucent a effacé ses gains de première moitié de séance et reculait de 4,25% en fin de journée, après avoir annoncé le départ de son directeur général, Ben Verwaayen, en mai prochain.
Par ailleurs, le groupe a accusé une perte nette de 1,374 milliard d’euros l’an dernier, contre un bénéfice de 1,095 milliard en 2011, et estime que l’année 2013 sera légèrement meilleure que 2012 pour le marché des télécoms dans le monde.
Les banques ont elles aussi inversé la tendance. BNP Paribas cédait 1,60% à la clôture du CAC 40, tandis que Société Générale et Crédit Agricole lâchaient 1,41% et 1,22% respectivement.
A l'inverse, Veolia Environnement engrangeait 1,32% à la fermeture du marché, alors que Berenberg a entamé, mercredi, la couverture du titre par une recommandation d’achat.
Egalement dans le vert, Lafarge grappillait 0,02% en fin de séance, alors que HeidelbergCement, le numéro trois mondial du secteur, a publié des résultats trimestriels supérieurs aux prévisions des analystes.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 pliait de 0,80%, le DAX s'appréciait de 0,16% et le Footsie 100 abandonnait 1,05%.
Autre information de la journée, l'Espagne a adjugé pour 4,61 milliards d’euros d’obligations à long terme, soit plus que les 4,5 milliards visés, à des rendements moyens en hausse.
La France a quant à elle émis pour 7,98 milliards d’euros d’obligations d’échéance 2020, 2022 et 2027, dans le haut de la fourchette prévue.
Lors d'une conférence de presse, Mario Draghi a répété que la faiblesse de l’économie devrait continuer de prévaloir début 2013, avant une reprise graduelle en fin d’année.
Concernant le taux l’inflation, Mario Draghi a indiqué qu’il devrait passer sous les 2% l’an dans les prochains mois. Enfin, il indiqué que la récente appréciation de l'euro est un signe de confiance dans la monnaie unique.
Sans surprise, la BCE a maintenu le taux repo à 0,75%.
Sur le front des statistiques, la productivité a diminué de 2% dans le secteur non agricole américain au quatrième trimestre, sa plus forte contraction depuis la période janvier-mars 2011. Les analystes tablaient sur une baisse de 1,3%. Quant aux inscriptions au chômage, elles ont reculé de 5.000 à 366.000 sur la semaine au 2 février, contre 360.000 estimées.
En France, le déficit commercial a diminué à 67 milliards d’euros en 2012, contre 74 milliards en 2011. Les exportations ont augmenté de 3,2% et les importations de 1,3% l’année dernière.
Du côté des valeurs, Sanofi restait en forte baisse en fin de séance. Le titre abandonnait 3,89% à la clôture, après que le groupe pharmaceutique a vu son chiffre d’affaires augmenter de 0,2% à 1,57 milliard d’euros au quatrième trimestre 2012.
Alcatel-Lucent a effacé ses gains de première moitié de séance et reculait de 4,25% en fin de journée, après avoir annoncé le départ de son directeur général, Ben Verwaayen, en mai prochain.
Par ailleurs, le groupe a accusé une perte nette de 1,374 milliard d’euros l’an dernier, contre un bénéfice de 1,095 milliard en 2011, et estime que l’année 2013 sera légèrement meilleure que 2012 pour le marché des télécoms dans le monde.
Les banques ont elles aussi inversé la tendance. BNP Paribas cédait 1,60% à la clôture du CAC 40, tandis que Société Générale et Crédit Agricole lâchaient 1,41% et 1,22% respectivement.
A l'inverse, Veolia Environnement engrangeait 1,32% à la fermeture du marché, alors que Berenberg a entamé, mercredi, la couverture du titre par une recommandation d’achat.
Egalement dans le vert, Lafarge grappillait 0,02% en fin de séance, alors que HeidelbergCement, le numéro trois mondial du secteur, a publié des résultats trimestriels supérieurs aux prévisions des analystes.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 pliait de 0,80%, le DAX s'appréciait de 0,16% et le Footsie 100 abandonnait 1,05%.
Autre information de la journée, l'Espagne a adjugé pour 4,61 milliards d’euros d’obligations à long terme, soit plus que les 4,5 milliards visés, à des rendements moyens en hausse.
La France a quant à elle émis pour 7,98 milliards d’euros d’obligations d’échéance 2020, 2022 et 2027, dans le haut de la fourchette prévue.