Investing.com - La livre sterling n'a guère pris le dessus face au dollar U.S. ce mardi, dans l'attente des résultats de l'inflation britannique, tandis que les craintes liées aux forts taux des emprunts espagnols assombrissaient toujoours l'atmosphère.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5696 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5671, grignotant 0.03%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.5636, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1.5741, son plafond de près d'un mois datant du même jour.
Le moral avait toutefois repris quelques couleurs grâce à l'espoir que le parti grec de la Nouvelle Démocratie forme un gouvernement de coalition avec les socialistes du Pasok, ce qui devrait permettre à Athènes de reprendre les négociations avec ses bailleurs de fonds concernant le programme d'aide international.
Le taux des obligations décennales espagnoles s'est quand à lui situé à 7.16% en début de matinée, après avoir culminé hier à 7.28%, son plus haut niveau jamais atteint depuis l'introduction de l'euro, dans l'angoisse que les 100 milliards d'euros d'aides au renflouement des banques nationales attribués ce mois-ci ne soient pas suffisants.
Le seuil des 7% est généralement considéré comme marquant la limite de l'intenable à long terme, son dépassement ayant forcé la Grèce, l'Irlande et le Portugal à recourir à des bouées de sauvetage.
La devise de la Grande-Bretagne se trouvait aussi handicapée par les rumeurs selon lesquelles la Banque d'Angleterre pourrait mettre en place de nouvelles mesures stimulatrices afin de limiter les effets de la crise de la dette de la zone euro sur la croissance nationale.
Les résultats de la réunion de la Réserve Fédérale de mercredi sont également très attendus, en quête d'indices sur les probabilités d'une troisième série d'assouplissements monétaires de sa part.
La monnaie du Royaume-Uni a par contre cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP prenant 0.2% pour grimper à 0.8043.
Les autorités britanniques comptaient dévoiler en début de journée l'évolution des prix à la consommation, tandis que celles des Etats-Unis devaient faire de même avec le nombre des permis de construire accordés et celui des chantiers entamés, les chefs d'état du groupe des 20 pays les plus développés tenant quand à eux une seconde journée de pourparlers à Los Cabos, au Mexique.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5696 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5671, grignotant 0.03%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.5636, son plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1.5741, son plafond de près d'un mois datant du même jour.
Le moral avait toutefois repris quelques couleurs grâce à l'espoir que le parti grec de la Nouvelle Démocratie forme un gouvernement de coalition avec les socialistes du Pasok, ce qui devrait permettre à Athènes de reprendre les négociations avec ses bailleurs de fonds concernant le programme d'aide international.
Le taux des obligations décennales espagnoles s'est quand à lui situé à 7.16% en début de matinée, après avoir culminé hier à 7.28%, son plus haut niveau jamais atteint depuis l'introduction de l'euro, dans l'angoisse que les 100 milliards d'euros d'aides au renflouement des banques nationales attribués ce mois-ci ne soient pas suffisants.
Le seuil des 7% est généralement considéré comme marquant la limite de l'intenable à long terme, son dépassement ayant forcé la Grèce, l'Irlande et le Portugal à recourir à des bouées de sauvetage.
La devise de la Grande-Bretagne se trouvait aussi handicapée par les rumeurs selon lesquelles la Banque d'Angleterre pourrait mettre en place de nouvelles mesures stimulatrices afin de limiter les effets de la crise de la dette de la zone euro sur la croissance nationale.
Les résultats de la réunion de la Réserve Fédérale de mercredi sont également très attendus, en quête d'indices sur les probabilités d'une troisième série d'assouplissements monétaires de sa part.
La monnaie du Royaume-Uni a par contre cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP prenant 0.2% pour grimper à 0.8043.
Les autorités britanniques comptaient dévoiler en début de journée l'évolution des prix à la consommation, tandis que celles des Etats-Unis devaient faire de même avec le nombre des permis de construire accordés et celui des chantiers entamés, les chefs d'état du groupe des 20 pays les plus développés tenant quand à eux une seconde journée de pourparlers à Los Cabos, au Mexique.