À l'issue de leur réunion en marge des assemblées annuelles du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale à Washington, les ministres des Finances des pays du G20 ont exprimé une perspective positive pour l'économie mondiale, plaidant pour un "atterrissage en douceur" malgré la reconnaissance de plusieurs défis. Le communiqué final du groupe, faisant écho aux sentiments d'un projet précédemment examiné, a appelé à une position collective contre le protectionnisme.
La déclaration a souligné l'observation des chefs des finances concernant les perspectives favorables pour l'évolution de l'économie mondiale. Le communiqué n'a cependant pas abordé les conflits en cours tels que l'invasion de l'Ukraine par la Russie ou les tensions impliquant Israël, le Hamas et le Hezbollah. Ces sujets ont historiquement été source de division parmi les membres du G20.
Le Brésil, qui assure actuellement la présidence du G20, a publié une déclaration séparée du président notant les opinions divergentes au sein du groupe quant à savoir si les conflits susmentionnés devraient figurer à l'ordre du jour du G20. La déclaration a précisé que si certains membres considèrent que ces conflits ont un impact sur l'économie mondiale et méritent d'être discutés dans le cadre du G20, d'autres sont en désaccord.
En préparation du prochain sommet des dirigeants du G20 qui se tiendra à Rio de Janeiro en novembre, le Brésil prévoit de faciliter les discussions sur ces conflits entre les "sherpas" du G20, qui sont chargés de préparer le terrain pour le sommet. Cette initiative indique un effort pour aborder les points de vue divergents sur la pertinence de ces questions par rapport à l'orientation économique du G20.
Reuters a contribué à cet article.
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