Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, à l'approche des propos de Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, tandis que son homologue japonais subissait encore l'attente d'accommodements supplémentaires.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.37% pour grimper à 1.357.
La monnaie unique voit en effet son blason redoré, sur fond d'hypothèse du passage d'un tournant décisif dans la gestion de la crise de la dette régionale, grâce à ses récents signes de relance.
Son autorité monétaire maintiendra cependant selon toute vraisemblance son taux directeur à 0.75%.
La conférence de presse post-réunion tenue par son chef sera cependant surveillée de près, alors qu'il pourrait y exprimer des craintes au sujet des conséquences du renforcement de l'euro sur la reprise.
Il n'en était pas de même avec le yen, l'USD/JPY s'élevant de 0.25% pour s'établir à 93.85, frôlant son plus haut niveau depuis la mi-mai 2010, dans l'expectative d'accommodements supplémentaires de la part de la Banque du Japon.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.35% pour se hisser à 1.5613.
L'unité monétaire de la Grande-Bretagne subissait des turbulences, alors que Mark Carney, prochain président de la Banque d'Angleterre apparaîssait devant le comité trésorier parlementaire.
Celle-ci comptait aussi proclamer aujourd'hui son taux d'intérêt directeur
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que la production manufacturée du Royaume-Uni avait augmenté de 1.6% en décembre, soit le double des 0.8% espérés, tandis que l'industrielle prenait 1.1% au lieu des 0.9% envisagés.
Il avait aussi été signalé que le déficit du commerce extérieur du pays s'était comme prévu réduit depuis les 9.3 milliards de GBP révisés jusqu'à 8.9 milliards de GBP.
Le franc suisse a d'autre part exercé sa pression, l'USD/CHF glissant de 0.25% pour tomber à 0.9078.
La Banque Nationale Suisse avait précédemment révélé que ses réserves de devises avaient diminué pour le quatrième mois d'affilée en janvier, chutant depuis l'équivalent de 427.19 jusqu'à 427.04 milliards de CHF.
Le baromètre de l'humeur des consommateurs helvètes mesuré par l'institut d'études économiques SECO est pour sa part remonté dans le même temps pour la preière fois en trois trimestre.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.14% pour aller vers 0.994, l'AUD/USD raflant 0.14% pour monter à 1.0332 et le NZD/USD fondant de 0.31% pour toucher le fond à 0.8369.
Des chiffres émanant des autorités d'Australie avaient auparavant souligné la création de 10 400 emplois le mois dernier, soit plus du double des 5 000 espérés, tandis que le taux de chômage se maintenait à 5.4%.
La proportion des salariés de la Nouvelle-Zélande a par contre reculé de 1% entre début octobre et fin décembre, alors qu'un frémissement de 0.4% était envisagé, mais celles des demandeurs d'emploi s'érodait de 7.3 à 6.9%.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.25% pour se situer à 79.61.
Les Etats-Unis rendront de leur côté en fin de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.37% pour grimper à 1.357.
La monnaie unique voit en effet son blason redoré, sur fond d'hypothèse du passage d'un tournant décisif dans la gestion de la crise de la dette régionale, grâce à ses récents signes de relance.
Son autorité monétaire maintiendra cependant selon toute vraisemblance son taux directeur à 0.75%.
La conférence de presse post-réunion tenue par son chef sera cependant surveillée de près, alors qu'il pourrait y exprimer des craintes au sujet des conséquences du renforcement de l'euro sur la reprise.
Il n'en était pas de même avec le yen, l'USD/JPY s'élevant de 0.25% pour s'établir à 93.85, frôlant son plus haut niveau depuis la mi-mai 2010, dans l'expectative d'accommodements supplémentaires de la part de la Banque du Japon.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.35% pour se hisser à 1.5613.
L'unité monétaire de la Grande-Bretagne subissait des turbulences, alors que Mark Carney, prochain président de la Banque d'Angleterre apparaîssait devant le comité trésorier parlementaire.
Celle-ci comptait aussi proclamer aujourd'hui son taux d'intérêt directeur
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que la production manufacturée du Royaume-Uni avait augmenté de 1.6% en décembre, soit le double des 0.8% espérés, tandis que l'industrielle prenait 1.1% au lieu des 0.9% envisagés.
Il avait aussi été signalé que le déficit du commerce extérieur du pays s'était comme prévu réduit depuis les 9.3 milliards de GBP révisés jusqu'à 8.9 milliards de GBP.
Le franc suisse a d'autre part exercé sa pression, l'USD/CHF glissant de 0.25% pour tomber à 0.9078.
La Banque Nationale Suisse avait précédemment révélé que ses réserves de devises avaient diminué pour le quatrième mois d'affilée en janvier, chutant depuis l'équivalent de 427.19 jusqu'à 427.04 milliards de CHF.
Le baromètre de l'humeur des consommateurs helvètes mesuré par l'institut d'études économiques SECO est pour sa part remonté dans le même temps pour la preière fois en trois trimestre.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.14% pour aller vers 0.994, l'AUD/USD raflant 0.14% pour monter à 1.0332 et le NZD/USD fondant de 0.31% pour toucher le fond à 0.8369.
Des chiffres émanant des autorités d'Australie avaient auparavant souligné la création de 10 400 emplois le mois dernier, soit plus du double des 5 000 espérés, tandis que le taux de chômage se maintenait à 5.4%.
La proportion des salariés de la Nouvelle-Zélande a par contre reculé de 1% entre début octobre et fin décembre, alors qu'un frémissement de 0.4% était envisagé, mais celles des demandeurs d'emploi s'érodait de 7.3 à 6.9%.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.25% pour se situer à 79.61.
Les Etats-Unis rendront de leur côté en fin de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.