Investing.com - La livre sterling a limité les dégâts face au dollar U.S. ce jeudi, ressortant d'une ornière des trois derniers jours dans l'attente d'un rapport sur la production manufacturée de la Grande-Bretagne.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1.6302, son cours le plus bas depuis le 9 mai, jusqu'à 1.6339 en première partie de séance européenne, ne trébuchant plus que de 0.04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.6269, son plancher des trois semaines écoulées datant du 9 mai, et de rencontrer de la résistance à 1.6517, son plafond de mercredi.
La dévise britannique avait bénéficié hier de la révision à la hausse des prévisions d'inflation de la Banque d'Angleterre, poussant les marchés à envisager une remontée des taux d'intérêt moins éloignée dans le temps.
Dans son rapport trimestriel sur le sujet, la banque centrale a en effet affirmé qu'à moyen terme, elle pourrait s'élever juste au-dessous de 2%, revoyant également ses projections à court terme à la hausse, laissant à penser quelle pourrait relever ses taux d'intérêt de leur plus bas niveau historique à 0.5% plus vite que ne l'envisageaient les observateurs jusque là.
Elle a toutefois abaissé ses perspectives de croissance à court terme par rapport à son dernier rapport, publié en février, invoquant une croissance au premier trimestre inférieure aux attentes.
La devise du Royaume-Uni a aussi perdu du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP prenant 0.24% pour se hisser à 0.8701.
Les Etats-Unis devraient pour leur part publier en cours de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres officiels de l'inflation des prix à la production et le volume des ventes au détail, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine témoignera de son côté devant le comité bancaire sénatorial à Washington.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1.6302, son cours le plus bas depuis le 9 mai, jusqu'à 1.6339 en première partie de séance européenne, ne trébuchant plus que de 0.04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.6269, son plancher des trois semaines écoulées datant du 9 mai, et de rencontrer de la résistance à 1.6517, son plafond de mercredi.
La dévise britannique avait bénéficié hier de la révision à la hausse des prévisions d'inflation de la Banque d'Angleterre, poussant les marchés à envisager une remontée des taux d'intérêt moins éloignée dans le temps.
Dans son rapport trimestriel sur le sujet, la banque centrale a en effet affirmé qu'à moyen terme, elle pourrait s'élever juste au-dessous de 2%, revoyant également ses projections à court terme à la hausse, laissant à penser quelle pourrait relever ses taux d'intérêt de leur plus bas niveau historique à 0.5% plus vite que ne l'envisageaient les observateurs jusque là.
Elle a toutefois abaissé ses perspectives de croissance à court terme par rapport à son dernier rapport, publié en février, invoquant une croissance au premier trimestre inférieure aux attentes.
La devise du Royaume-Uni a aussi perdu du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP prenant 0.24% pour se hisser à 0.8701.
Les Etats-Unis devraient pour leur part publier en cours de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres officiels de l'inflation des prix à la production et le volume des ventes au détail, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine témoignera de son côté devant le comité bancaire sénatorial à Washington.