Investing.com - L'euro a glissé vers son creux le plus profond des 19 derniers mois face à la livre sterling ce lundi, la popularité de la monnaie unique se trouvant mise à mal par l'idée que l'Espagne pourrait être le prochain membre de la zone euro à avoir recours à un plan de sauvetage.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.821 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis septembre 2010, puis s'est stabilisée vers 0.8214, perdant 0.45%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8148, son plancher du 24 août, et de rencontrer de la résistance à 0.8246, son plafond du jour.
Le coût des assurances contre un éventuel défaut de paiement des dettes espagnoles s'est en effet élevé ce matin vers un nouveau sommet, poussant les taux des bons décennaux du pays à dépasser de nouveau la barre des 6%, alors que flottait l'inquiétude que celui-ci ne parvienne pas à remplir ses objectifs de réduction des déficits.
Les observateurs demeuraient sur le qui-vive à l'approche de l'émission d'obligations à dix ans devant avoir lieu cette semaine, et constituer un test crucial de la désirabilité des créances sur l'Espagne.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait pour sa part soutenue par les résultats économiques montrant ces derniers temps une accélération de la reprise britannique, apaisant la crainte que la Banque d'Angleterre ne mette en place de nouvelles mesures stimulatrices.
Elle avait déjà bénéficié d'un coup de fouet après que l'agence Standard & Poor's ait confirmé vendredi que le Royaume-Uni conservait sa notation triple A, déclarant que le gouvernement devrait être capable de mener à bien son programme de rigueur.
Le dollar U.S. lui a toutefois fait céder quelques pouces de terrain, le couple GBP/USD trébuchant de 0.07% pour se rétracter à 1.5836.
Les autorités américaines devraient quand à elles divulguer dans l'après-midi les chiffres des ventes auprès des particuliers, mais aussi un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York, un autre sur le solde des transactions concernant les titres sécurisés et un inventaire des stocks des entreprises.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.821 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis septembre 2010, puis s'est stabilisée vers 0.8214, perdant 0.45%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8148, son plancher du 24 août, et de rencontrer de la résistance à 0.8246, son plafond du jour.
Le coût des assurances contre un éventuel défaut de paiement des dettes espagnoles s'est en effet élevé ce matin vers un nouveau sommet, poussant les taux des bons décennaux du pays à dépasser de nouveau la barre des 6%, alors que flottait l'inquiétude que celui-ci ne parvienne pas à remplir ses objectifs de réduction des déficits.
Les observateurs demeuraient sur le qui-vive à l'approche de l'émission d'obligations à dix ans devant avoir lieu cette semaine, et constituer un test crucial de la désirabilité des créances sur l'Espagne.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait pour sa part soutenue par les résultats économiques montrant ces derniers temps une accélération de la reprise britannique, apaisant la crainte que la Banque d'Angleterre ne mette en place de nouvelles mesures stimulatrices.
Elle avait déjà bénéficié d'un coup de fouet après que l'agence Standard & Poor's ait confirmé vendredi que le Royaume-Uni conservait sa notation triple A, déclarant que le gouvernement devrait être capable de mener à bien son programme de rigueur.
Le dollar U.S. lui a toutefois fait céder quelques pouces de terrain, le couple GBP/USD trébuchant de 0.07% pour se rétracter à 1.5836.
Les autorités américaines devraient quand à elles divulguer dans l'après-midi les chiffres des ventes auprès des particuliers, mais aussi un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York, un autre sur le solde des transactions concernant les titres sécurisés et un inventaire des stocks des entreprises.