Investing.com - Les options sur le brut ont commis un faux pas ce mardi, les transactions restant peu importantes pour cause de jour férié, et de prudence des investisseurs concernant les perspectives de croissance mondiales.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 104.74 USD le baril en première partie de séance européenne, trébuchant de 0.12%.
Les prix ont peu évolué bien que des résultats officiels aient montré que l'indice de l'activité manufacturière chinoise avait augmenté en avril jusqu'à 53.3, réalisant ainsi un pic des 13 derniers mois, contre 53.1 précédemment, alors qu'une poussée à 53.6 avait cependant été espérée.
Les réactions ayant suivi cette révélation n'ont guère été marquées, de nombreuses places asiatiques, notamment en Chine, à Hong Kong, en Inde et à Singapour, mais aussi européenes, demeurant closes en raison de la fête du travail.
La Réserve Bancaire d'Australie a quand à elle créé la surprise avec un rabaissement de son taux directeur bien supérieur aux attentes, passant ainsi à 3.75%, son plus bas niveau depuis début 2010, dans l'espoir de relancer une économie nationale fortement dépendante de ses matières premières.
L'angoisse d'une éventuelle perte de vitesse de la relance américaine persistait, après qu'il ait été montré hier que le domaine manufacturier de la région de Chicago avait davantage ralenti en avril que redouté, et qu'une autre étude ait mis en évidence que les dépenses de consommation avaient diminué le mois dernier.
Les dépenses de consommation restant la première source de croissance des Etats-Unis, représentant jusqu'à deux tiers de leur activité économique.
La confirmation lundi du retour en réccession de l'Espagne au premier trimestre a quand à elle ravivé la crainte que les plans de rigueur ne mettent à mal la croissance économique régionale.
Les opérateurs attendaient désormais de connaître les performances du marché de l'emploi américain, dont la révélation est prévue pour vendredi, après que celles de mars aient mis en évidence une diminution des embauches de la part du premier demandeur mondial.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont grignoté 0.05% pour grimper à 119.53 USD du baril dans le même temps, soit 14.79 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 104.74 USD le baril en première partie de séance européenne, trébuchant de 0.12%.
Les prix ont peu évolué bien que des résultats officiels aient montré que l'indice de l'activité manufacturière chinoise avait augmenté en avril jusqu'à 53.3, réalisant ainsi un pic des 13 derniers mois, contre 53.1 précédemment, alors qu'une poussée à 53.6 avait cependant été espérée.
Les réactions ayant suivi cette révélation n'ont guère été marquées, de nombreuses places asiatiques, notamment en Chine, à Hong Kong, en Inde et à Singapour, mais aussi européenes, demeurant closes en raison de la fête du travail.
La Réserve Bancaire d'Australie a quand à elle créé la surprise avec un rabaissement de son taux directeur bien supérieur aux attentes, passant ainsi à 3.75%, son plus bas niveau depuis début 2010, dans l'espoir de relancer une économie nationale fortement dépendante de ses matières premières.
L'angoisse d'une éventuelle perte de vitesse de la relance américaine persistait, après qu'il ait été montré hier que le domaine manufacturier de la région de Chicago avait davantage ralenti en avril que redouté, et qu'une autre étude ait mis en évidence que les dépenses de consommation avaient diminué le mois dernier.
Les dépenses de consommation restant la première source de croissance des Etats-Unis, représentant jusqu'à deux tiers de leur activité économique.
La confirmation lundi du retour en réccession de l'Espagne au premier trimestre a quand à elle ravivé la crainte que les plans de rigueur ne mettent à mal la croissance économique régionale.
Les opérateurs attendaient désormais de connaître les performances du marché de l'emploi américain, dont la révélation est prévue pour vendredi, après que celles de mars aient mis en évidence une diminution des embauches de la part du premier demandeur mondial.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont grignoté 0.05% pour grimper à 119.53 USD du baril dans le même temps, soit 14.79 USD de mieux que leurs homologues américaines.