Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur une hausse de 0,91% mardi, soutenu notamment par les valeurs bancaires, alors que les investisseurs continuaient toutefois de privilégier la prudence avant les résultats des élections présidentielles américaines.
Sur le front macroéconomique, l’activité dans les services a continué de se contracter en France, en Allemagne et dans la zone euro le mois dernier. L’indice PMI Markit ressort à un plus bas d’un an à 44,6 points dans l’Hexagone, il se contracte de 1,3 point à 48,4 outre-Rhin et de 0,4 point à 45,7 au sein des Dix-Sept.
Les indices composites, qui font la synthèse entre l’industrie et les services, se maintiennent en-deçà des 50 points. Celui concernant la zone euro recule pour le neuvième mois consécutif, laissant entrevoir une contraction de 0,5% du PIB de la zone au quatrième trimestre, selon le chef économiste de Markit.
En Grande-Bretagne, la production industrielle s’est contractée de 1,7% en septembre, et de 2,6% sur un an.
Les banques évoluaient encore en forte hausse en fin de séance. BNP Paribas s'octroyait 1,40% à la clôture du marché, tandis que Société Générale et Crédit Agricole engrangeaient 2,24% et 4,12% respectivement.
Du côté des valeurs cycliques, ArcelorMittal conservait son avance et progressait de -% à la fermeture du CAC 40 après avoir indiqué que sa situation financière demeure solide et que les mesures destinées à améliorer ses conditions de crédit étaient en œuvre. Lafarge prenait 0,68% et Vallourec progressait de 1,44%.
De son côté, STMicroelectronics s'adjugeait 0,84%, dans le sillage de la progression de 1,63% de l’indice des semi-conducteurs de Philadelphie.
Egalement dans le vert, Renault s'octroyait 1,04% en fin de séance, alors que Nissan a pourtant abaissé de 20% son objectif de bénéfice net annuel en raison de la chute de ses ventes en Chine.
Enfin, PPR gagnait 1,28%, soutenu par des informations du Wall Street Journal selon lesquelles le groupe de luxe et de distribution pourrait étudier certaines opportunités d’achat en France ou en Italie.
Contre la tendance, L'Oréal restait dans le rouge et reculait de 0,61% à la clôture, après que le directeur général du groupe pour la région Asie-Pacifique, Jochen Zaumseil, a déclaré à Reuters que la société de cosmétiques ressentait les effets du ralentissement économique en Chine et des conditions d’activité "brutales" en Corée du Sud et à Taiwan.
Le groupe publiera son chiffre d’affaires du troisième trimestre après la clôture.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s'appréciait de 0,73%, le DAX s'octroyait 0,69% et le Footsie 100 progressait de 0,79%.
Aucun indicateur majeur en provenance des Etats-Unis n'était attendu dans la journée.
Sur le front macroéconomique, l’activité dans les services a continué de se contracter en France, en Allemagne et dans la zone euro le mois dernier. L’indice PMI Markit ressort à un plus bas d’un an à 44,6 points dans l’Hexagone, il se contracte de 1,3 point à 48,4 outre-Rhin et de 0,4 point à 45,7 au sein des Dix-Sept.
Les indices composites, qui font la synthèse entre l’industrie et les services, se maintiennent en-deçà des 50 points. Celui concernant la zone euro recule pour le neuvième mois consécutif, laissant entrevoir une contraction de 0,5% du PIB de la zone au quatrième trimestre, selon le chef économiste de Markit.
En Grande-Bretagne, la production industrielle s’est contractée de 1,7% en septembre, et de 2,6% sur un an.
Les banques évoluaient encore en forte hausse en fin de séance. BNP Paribas s'octroyait 1,40% à la clôture du marché, tandis que Société Générale et Crédit Agricole engrangeaient 2,24% et 4,12% respectivement.
Du côté des valeurs cycliques, ArcelorMittal conservait son avance et progressait de -% à la fermeture du CAC 40 après avoir indiqué que sa situation financière demeure solide et que les mesures destinées à améliorer ses conditions de crédit étaient en œuvre. Lafarge prenait 0,68% et Vallourec progressait de 1,44%.
De son côté, STMicroelectronics s'adjugeait 0,84%, dans le sillage de la progression de 1,63% de l’indice des semi-conducteurs de Philadelphie.
Egalement dans le vert, Renault s'octroyait 1,04% en fin de séance, alors que Nissan a pourtant abaissé de 20% son objectif de bénéfice net annuel en raison de la chute de ses ventes en Chine.
Enfin, PPR gagnait 1,28%, soutenu par des informations du Wall Street Journal selon lesquelles le groupe de luxe et de distribution pourrait étudier certaines opportunités d’achat en France ou en Italie.
Contre la tendance, L'Oréal restait dans le rouge et reculait de 0,61% à la clôture, après que le directeur général du groupe pour la région Asie-Pacifique, Jochen Zaumseil, a déclaré à Reuters que la société de cosmétiques ressentait les effets du ralentissement économique en Chine et des conditions d’activité "brutales" en Corée du Sud et à Taiwan.
Le groupe publiera son chiffre d’affaires du troisième trimestre après la clôture.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s'appréciait de 0,73%, le DAX s'octroyait 0,69% et le Footsie 100 progressait de 0,79%.
Aucun indicateur majeur en provenance des Etats-Unis n'était attendu dans la journée.