Investing.com - Les places d'Asie étaient en forme ce lundi matin, pour leur première occasion de réagir aux bon chiffres de l'emploi américains dévoilés vendredi, ainsi qu'à la série de résultats économiques chinois de la fin de semaine.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0.45%, le Hang Seng de Hong Kong 0.1% et le Nikkei 225 japonais 0.5%.
Le département d'tat au travail a en effet constaté que l'économie des Etats-Unis avait créé 236 000 postes en février, soit nettement plus que les 160 000 espérés, tandis que le taux de chômage avait fait la bonne surprise de fléchir de 7.9 jusqu'à 7.7% pour le mois dernier, son niveau le plus faible depuis décembre 2008.
Il avait été révélé en fin de semaine que les prix à la consommation de la Chine avaient bondi de 3.2% annuels en février, dépassant ainsi les 3% attendus suite aux seulement 2% précédents.
Cette poussée de l'inflation supérieure aux craintes a du coup réduit l'espoir que Pékin prenne de nouvelles mesures à court terme pour relancer la croissance.
Il était d'autre part à noter que la production industrielle chinoise avait grimpé de 9.9% dans le même temps, une petite déception au vu des 10.5% envisagés après les 10.3% de janvier.
Il avait déjà été souligné vendredi que l'excédent du commerce extérieur national avait moins diminué en février que redouté, les exportations gonflant de 21.8% et les immportations sombrant de 15.2%.
Il est du coup passé de 29.2 à 15.3 miliards d'USD, alors qu'une plongée à 8.8 milliards était prédite pour le mois dernier.
Sydney grignotait pour sa part du terrain pour culminer à son plus haut niveau depuis septembre 2008, encouragée par ses établissements financiers.
La bande des quatre plus grosses banques nationales menait l'offensive, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, se contentant de 0.5% tandis que la National Australia Bank encaissait 1.75%.
L'avancée restait cependant entravée par la morosité gagnant les entreprises spécialisées dans les matières premières, suspendues à la demande chinoise.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient respectivement de 0.75 et 2%, et le Fortescue Metals Group, poids lourd du minerai de fer, de 1.1%.
Hong Kong faisait quand à elle le yo-yo entre légers gains et pertes minimes, peinant à trouver une direction claire au regard des nouvelles provenant du continent.
Les piliers de l'exportation nationale la tiraient néanmoins vers le haut, Esprit Holdings, vendeur de vêtements au détail, empochant 0.5%, surpassé par Li & Fung avec 1.3%.
La finance était toutefois parmi les lanternes rouges, la Bank of China chutant de 0.6%, imitée par l'Industrial and Commercial Bank of China avec 0.5%, le géant des assurances Ping Am fermant la marche avec 1.5%.
Tokyo s'établissait pendant ce temps à son sommet le plus élevé depuis septembre 2008, le yen se maintenant à sa pire valeur par rapport au dollar U.S. depuis quatre ans, encourageant du coup les acteurs tournés vers l'extérieur.
L'affaiblissement de la monnaie nationale augmente la valeur des devises obtenues à l'étranger, et donc les revenus des exportateurs.
Les constructeurs automobiles Honda et Mitsubishi avançaient ainsi de 2.6 et 5.9%, Canon et Sony leur emboîtant le pas avec 3.6 et 3%.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, réalisant une ascension de 6.3%, tandis que le Mizuho Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group faisaient de même avec 4.9 et 6.7%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement plus sombre, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.25%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.3%, celles sur le DAX 30 allemand restant neutres tandis que celles sur le FTSE 100 britannique tablaient sur un faux pas de 0.2%.
Une étude gouvernentale avait quand à elle montré à l'aube que l'excédet du commerce extérieur s'était réduit depuis 16.9 jusqu'à 15.7 milliards d'euros pour janvier en Allemagne.
Les exportations y ont ainsi arraché 1.4% après ajustement saisonnier d'une année sur l'autre, tandis que les importations y gonflaient de 3.3%.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0.45%, le Hang Seng de Hong Kong 0.1% et le Nikkei 225 japonais 0.5%.
Le département d'tat au travail a en effet constaté que l'économie des Etats-Unis avait créé 236 000 postes en février, soit nettement plus que les 160 000 espérés, tandis que le taux de chômage avait fait la bonne surprise de fléchir de 7.9 jusqu'à 7.7% pour le mois dernier, son niveau le plus faible depuis décembre 2008.
Il avait été révélé en fin de semaine que les prix à la consommation de la Chine avaient bondi de 3.2% annuels en février, dépassant ainsi les 3% attendus suite aux seulement 2% précédents.
Cette poussée de l'inflation supérieure aux craintes a du coup réduit l'espoir que Pékin prenne de nouvelles mesures à court terme pour relancer la croissance.
Il était d'autre part à noter que la production industrielle chinoise avait grimpé de 9.9% dans le même temps, une petite déception au vu des 10.5% envisagés après les 10.3% de janvier.
Il avait déjà été souligné vendredi que l'excédent du commerce extérieur national avait moins diminué en février que redouté, les exportations gonflant de 21.8% et les immportations sombrant de 15.2%.
Il est du coup passé de 29.2 à 15.3 miliards d'USD, alors qu'une plongée à 8.8 milliards était prédite pour le mois dernier.
Sydney grignotait pour sa part du terrain pour culminer à son plus haut niveau depuis septembre 2008, encouragée par ses établissements financiers.
La bande des quatre plus grosses banques nationales menait l'offensive, la Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, se contentant de 0.5% tandis que la National Australia Bank encaissait 1.75%.
L'avancée restait cependant entravée par la morosité gagnant les entreprises spécialisées dans les matières premières, suspendues à la demande chinoise.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient respectivement de 0.75 et 2%, et le Fortescue Metals Group, poids lourd du minerai de fer, de 1.1%.
Hong Kong faisait quand à elle le yo-yo entre légers gains et pertes minimes, peinant à trouver une direction claire au regard des nouvelles provenant du continent.
Les piliers de l'exportation nationale la tiraient néanmoins vers le haut, Esprit Holdings, vendeur de vêtements au détail, empochant 0.5%, surpassé par Li & Fung avec 1.3%.
La finance était toutefois parmi les lanternes rouges, la Bank of China chutant de 0.6%, imitée par l'Industrial and Commercial Bank of China avec 0.5%, le géant des assurances Ping Am fermant la marche avec 1.5%.
Tokyo s'établissait pendant ce temps à son sommet le plus élevé depuis septembre 2008, le yen se maintenant à sa pire valeur par rapport au dollar U.S. depuis quatre ans, encourageant du coup les acteurs tournés vers l'extérieur.
L'affaiblissement de la monnaie nationale augmente la valeur des devises obtenues à l'étranger, et donc les revenus des exportateurs.
Les constructeurs automobiles Honda et Mitsubishi avançaient ainsi de 2.6 et 5.9%, Canon et Sony leur emboîtant le pas avec 3.6 et 3%.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, réalisant une ascension de 6.3%, tandis que le Mizuho Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group faisaient de même avec 4.9 et 6.7%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement plus sombre, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.25%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.3%, celles sur le DAX 30 allemand restant neutres tandis que celles sur le FTSE 100 britannique tablaient sur un faux pas de 0.2%.
Une étude gouvernentale avait quand à elle montré à l'aube que l'excédet du commerce extérieur s'était réduit depuis 16.9 jusqu'à 15.7 milliards d'euros pour janvier en Allemagne.
Les exportations y ont ainsi arraché 1.4% après ajustement saisonnier d'une année sur l'autre, tandis que les importations y gonflaient de 3.3%.