Investing.com - Le dollar U.S. a conclu avec le sourire par rapport à la plupart de ses concurrents, à part le nippon, dont l'aura de refuge traditionnel profitait de l'hypothèse d'une offensive des Etats-Unis contre la Syrie.
Celle-ci s'était en effet trouvée renforcée par le secrétaire d'état aéricain chargé des affaires étrangères John Kerry, affirmant vendredi que son pays punirait le président syrien Bachar el-Assad, accusé d'avoir causé la mort de près de 1.500 personnes dans les faubourgs de Damas au cours d'une attaque chimique "brutale et flagrante".
L'euro lui a alors cédé l'avantage, l'EUR/USD sombrant jusqu'à 1,3174, avant de sauver les meubles en clôturant à &,3218, laissant échapper 0,17% journaliers et 1,19% sur la semaine.
Il s'était auparavant retrouvé sur la sellette après que 15.000 demandeurs d'emploi de moins aient été comptabilisés en juillet, mais que le taux de chômage se soit maintenu à 12,1% dans le même temps, son plus haut niveau historique.
La valeur sûre du yen avait le vent en poupe contre ses homologues américain et européen, l'USD/JPY touchant le fond à 97,87 avant de se stabiliser à 98,16, trébuchant de 0,22% sur la journée et 0,15% hebdomadaires.
Le couple EUR/JPY établissant alors à 129,31 son plancher le plus bas depuis le 20 août, pour finir à 129,73, glissant de 0,33% pour un dérapage total de 1,33%.
Il était aussi à noter que la confiance des consommateurs des Etats-Unis était retombée le mois dernier depuis un piédestal de six ans, le baromètre définitif de l'universitté du Michigan subissant une érosion depuis 85,1 vers 82,1.
La croissance nationale avait cependant été fortement révisée vers le haut la veille, laissant espérer une poursuite de la relannce.
Le département d'état au commerce américain avait ainsi constaté que le produit intérieur brut avait bondi de 2,5% annualisés pour le second trimestre, dépassant ainsi les 2,2% anticipés et les 1,7% estimés au préalable.
Les bons résultats récemment dévoilés ont de nouveau alimenté les rumeurs d'une diminution des coups de pouce de la Réserve Fédérale dès le mois prochain.
L'unité monétaire de la Grande-Bretagne subissait pour sa part son passage à vide du début de semaine, le GBP/USD reprenant pied à 1,5506 en retrait de 0,49%, tandis que le franc suisse se retrouvait aussi en difficulté, l'USD/CHF empochant 0,86% pour s'élever à 0,9300.
Les places américaines demeureront closes lundi en raison de la fête du travail, tandis que le rapport sur l'emploi hors agriculture des Etats-Unis sera vendredi sur toutes les lèvres, sur fond de rumeurs d'un serrage de boulons de la part de leur banque centrale.
Le monnaie unique demeurera friable à l'approche de la prise de cap que son émettrice effectuera jeudi, celles de ses homologues du Japon, d'Angleterre, d'Australie et du Canada n'étant pas non plus à négliger.
Investing.com a établi pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que d'autres également susceptibles d'influencer les marchés au cours de la semaine à venir.
Lundi 2 septembre
Le Japon fera connaître le volume des investissements, et la Chine fera de même avec l'activité de ses industries, tandis que l'Australie annoncera le nombre des permis de construire qu'elle auront accordés, indice fiable des chantiers à venir.
Le Royaume-Uni ne sera pas en reste avec un état des lieux du domaine manufacturier, un des piliers de l'économie, tandis que la Suisse verra l'association des logisticiens SVME fournir son indice des directeurs des achats.
Les places américaines et canadiennes demeureront inactives pour cause de fête du travail.
Mardi 3 septembre
La Réserve Bancaire d'Australie annoncera son taux directeur, lequel sera suivi de son communiqué sur la question, comportant des informations de première importance sur sa perception de l'économie et les facteurs ayant influencé ses décisions.
Les autorités du pays feront de même avec les ventes au détail, premier signe des dépenses de consommation, qui représentent la majeure partie de l'activité économique totale, ainsi qu'avec le solde de son compte courant.
Le Japon ne sera pas en reste avec des informations sur les revenus moyens, fortement liées aux dépenses des consommateurs.
Sur le front de la zone euro, le gouvernement espagnol dévoilera les variations dans le nombre des demandeurs d'emploi, réflétant la vigueur de l'économie.
Pour le reste de l'Europe, la Suisse fera connaître son produit intérieur brut du second trimestre, la mesure la plus générale de l'activité économique et plus important des signes de force de celle-ci.
Le Royaume-Uni fera de même avec l'activité dans le domaine du bâtiment, un des piliers de son économie.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura ensuite la journée avec celle des usines des Etats-Unis, cruciales pour jauger leur santé.
Mercredi 4 septembre
L'Australie publiera des informations sur son produit intérieur brut entre début avril et fin, la mesure la plus globale de son activité économique et le signe de vigueur le plus primordial de celle-ci.
La zone euro l'imitera avec les chiffres de ses ventes au détail, tandis que l'Espagne et l'Italie feront de même avec des états des lieux du secteur tertiaire.
Le Royaume-Uni ne sera pas en reste dans ce domaine, le sien étant primordial pour son état de santé.
Les autorités américaines et canadiennes divulgueront ensuite le solde de leur commerce extérieur, faisant la différence entre les valeurs des biens ou services exportés et importés au cours du mois.
La Banque du Canada conclura avec le coût des prêts consentis aux établissements bancaires du pays et son communiqué à ce sujet, comportant des informations de première importance sur sa perception de l'économie présente et ce qui influencera ses orientations, après quoi son porte-parole abordera ces questions devant la presse.
Jeudi 5 septembre
L'Australie fera connaître l'état de sa balance commerciale.
La Banque du Japon proclamera son taux directeur, lequel sera suivi de son communiqué sur la question, expliquant sa perception de l'état de l'économie présente et les raisons l'ayant poussée dans le cap choisi, après quoi elle tiendra une conférence de presse à ce sujet.
En zone euro, l'Espagne et la France procèderont à des enchères d'obligations décennales, tandis que le gouvernement allemand fera connaître le volume des commandes passées auprès des usines, préfigurant leur production à venir.
La Banque Centrale Européenne annoncera elle aussi les conclusions de son conseil d'orientation, après quoi son président Mario Draghi prendra la parole.
Son homologue britannique fera de même.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP publiera le nombre des créations de postes qu'elle aura mesurées aux Etats-Unis, lesquels rendront leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
L'institut de gestion des approvisionnements ne sera pas en reste avec le niveau de l'activité nationale hors industries, poumon de l'économie
Vendredi 6 septembre
L'Allemagne fera connaître l'état de sa balance commerciale, et l'importance de sa production industrielle.
La Banque Nationale Suisse dévoilera l'inventaire de ses réserves de devises, fournissant ainsi un point de vue intéressant au sujet des opérations qu'elle aura effectuées sur le marché des changes, après quoi les autorités helvètes feront de même concernant l'évolution des prix à la consommation, qui représente la plus grande part de l'inflation totale.
Le Royaume-Uni ne sera pas en reste avec le volume de l'activité de ses usines, le niveau d'inflation attendu par ses particuliers et le solde de son commerce extérieur.
Les gouvernement canadien dévoilera les variations dans les nombres des salariés, dans celui des demandeurs d'emploi, après quoi le groupe d'études économiques Ivey fournira son indice des directeurs des achats.
Les Etats-Unis concluront la semaine avec le décompte officiel des postes hors agriculture et le taux de chômage national, ainsi que le salaire horire moyen.
Celle-ci s'était en effet trouvée renforcée par le secrétaire d'état aéricain chargé des affaires étrangères John Kerry, affirmant vendredi que son pays punirait le président syrien Bachar el-Assad, accusé d'avoir causé la mort de près de 1.500 personnes dans les faubourgs de Damas au cours d'une attaque chimique "brutale et flagrante".
L'euro lui a alors cédé l'avantage, l'EUR/USD sombrant jusqu'à 1,3174, avant de sauver les meubles en clôturant à &,3218, laissant échapper 0,17% journaliers et 1,19% sur la semaine.
Il s'était auparavant retrouvé sur la sellette après que 15.000 demandeurs d'emploi de moins aient été comptabilisés en juillet, mais que le taux de chômage se soit maintenu à 12,1% dans le même temps, son plus haut niveau historique.
La valeur sûre du yen avait le vent en poupe contre ses homologues américain et européen, l'USD/JPY touchant le fond à 97,87 avant de se stabiliser à 98,16, trébuchant de 0,22% sur la journée et 0,15% hebdomadaires.
Le couple EUR/JPY établissant alors à 129,31 son plancher le plus bas depuis le 20 août, pour finir à 129,73, glissant de 0,33% pour un dérapage total de 1,33%.
Il était aussi à noter que la confiance des consommateurs des Etats-Unis était retombée le mois dernier depuis un piédestal de six ans, le baromètre définitif de l'universitté du Michigan subissant une érosion depuis 85,1 vers 82,1.
La croissance nationale avait cependant été fortement révisée vers le haut la veille, laissant espérer une poursuite de la relannce.
Le département d'état au commerce américain avait ainsi constaté que le produit intérieur brut avait bondi de 2,5% annualisés pour le second trimestre, dépassant ainsi les 2,2% anticipés et les 1,7% estimés au préalable.
Les bons résultats récemment dévoilés ont de nouveau alimenté les rumeurs d'une diminution des coups de pouce de la Réserve Fédérale dès le mois prochain.
L'unité monétaire de la Grande-Bretagne subissait pour sa part son passage à vide du début de semaine, le GBP/USD reprenant pied à 1,5506 en retrait de 0,49%, tandis que le franc suisse se retrouvait aussi en difficulté, l'USD/CHF empochant 0,86% pour s'élever à 0,9300.
Les places américaines demeureront closes lundi en raison de la fête du travail, tandis que le rapport sur l'emploi hors agriculture des Etats-Unis sera vendredi sur toutes les lèvres, sur fond de rumeurs d'un serrage de boulons de la part de leur banque centrale.
Le monnaie unique demeurera friable à l'approche de la prise de cap que son émettrice effectuera jeudi, celles de ses homologues du Japon, d'Angleterre, d'Australie et du Canada n'étant pas non plus à négliger.
Investing.com a établi pour vous le calendrier de ces évènements ainsi que d'autres également susceptibles d'influencer les marchés au cours de la semaine à venir.
Lundi 2 septembre
Le Japon fera connaître le volume des investissements, et la Chine fera de même avec l'activité de ses industries, tandis que l'Australie annoncera le nombre des permis de construire qu'elle auront accordés, indice fiable des chantiers à venir.
Le Royaume-Uni ne sera pas en reste avec un état des lieux du domaine manufacturier, un des piliers de l'économie, tandis que la Suisse verra l'association des logisticiens SVME fournir son indice des directeurs des achats.
Les places américaines et canadiennes demeureront inactives pour cause de fête du travail.
Mardi 3 septembre
La Réserve Bancaire d'Australie annoncera son taux directeur, lequel sera suivi de son communiqué sur la question, comportant des informations de première importance sur sa perception de l'économie et les facteurs ayant influencé ses décisions.
Les autorités du pays feront de même avec les ventes au détail, premier signe des dépenses de consommation, qui représentent la majeure partie de l'activité économique totale, ainsi qu'avec le solde de son compte courant.
Le Japon ne sera pas en reste avec des informations sur les revenus moyens, fortement liées aux dépenses des consommateurs.
Sur le front de la zone euro, le gouvernement espagnol dévoilera les variations dans le nombre des demandeurs d'emploi, réflétant la vigueur de l'économie.
Pour le reste de l'Europe, la Suisse fera connaître son produit intérieur brut du second trimestre, la mesure la plus générale de l'activité économique et plus important des signes de force de celle-ci.
Le Royaume-Uni fera de même avec l'activité dans le domaine du bâtiment, un des piliers de son économie.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura ensuite la journée avec celle des usines des Etats-Unis, cruciales pour jauger leur santé.
Mercredi 4 septembre
L'Australie publiera des informations sur son produit intérieur brut entre début avril et fin, la mesure la plus globale de son activité économique et le signe de vigueur le plus primordial de celle-ci.
La zone euro l'imitera avec les chiffres de ses ventes au détail, tandis que l'Espagne et l'Italie feront de même avec des états des lieux du secteur tertiaire.
Le Royaume-Uni ne sera pas en reste dans ce domaine, le sien étant primordial pour son état de santé.
Les autorités américaines et canadiennes divulgueront ensuite le solde de leur commerce extérieur, faisant la différence entre les valeurs des biens ou services exportés et importés au cours du mois.
La Banque du Canada conclura avec le coût des prêts consentis aux établissements bancaires du pays et son communiqué à ce sujet, comportant des informations de première importance sur sa perception de l'économie présente et ce qui influencera ses orientations, après quoi son porte-parole abordera ces questions devant la presse.
Jeudi 5 septembre
L'Australie fera connaître l'état de sa balance commerciale.
La Banque du Japon proclamera son taux directeur, lequel sera suivi de son communiqué sur la question, expliquant sa perception de l'état de l'économie présente et les raisons l'ayant poussée dans le cap choisi, après quoi elle tiendra une conférence de presse à ce sujet.
En zone euro, l'Espagne et la France procèderont à des enchères d'obligations décennales, tandis que le gouvernement allemand fera connaître le volume des commandes passées auprès des usines, préfigurant leur production à venir.
La Banque Centrale Européenne annoncera elle aussi les conclusions de son conseil d'orientation, après quoi son président Mario Draghi prendra la parole.
Son homologue britannique fera de même.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP publiera le nombre des créations de postes qu'elle aura mesurées aux Etats-Unis, lesquels rendront leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
L'institut de gestion des approvisionnements ne sera pas en reste avec le niveau de l'activité nationale hors industries, poumon de l'économie
Vendredi 6 septembre
L'Allemagne fera connaître l'état de sa balance commerciale, et l'importance de sa production industrielle.
La Banque Nationale Suisse dévoilera l'inventaire de ses réserves de devises, fournissant ainsi un point de vue intéressant au sujet des opérations qu'elle aura effectuées sur le marché des changes, après quoi les autorités helvètes feront de même concernant l'évolution des prix à la consommation, qui représente la plus grande part de l'inflation totale.
Le Royaume-Uni ne sera pas en reste avec le volume de l'activité de ses usines, le niveau d'inflation attendu par ses particuliers et le solde de son commerce extérieur.
Les gouvernement canadien dévoilera les variations dans les nombres des salariés, dans celui des demandeurs d'emploi, après quoi le groupe d'études économiques Ivey fournira son indice des directeurs des achats.
Les Etats-Unis concluront la semaine avec le décompte officiel des postes hors agriculture et le taux de chômage national, ainsi que le salaire horire moyen.