Investing.com - L'euro a creusé l'écart face au dollar U.S. ce lundi après-midi, dans le sillage de bons résultats, guettant la confirmation des probabilités de prolongation des aides de l'émettrice de son adversaire.
La paire EUR/USD est montée depuis 1,3495 jusqu'à 1,3512 en seconde partie de séance européenne, grignotant 0,12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3432, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,3546, son plafond du 6 novembre.
Le billet vert avait en effet perdu des plumes après que Janet Yellen, qui sera bientôt à la tête de la Réserve Fédérale, ait rappelé la semaine passée que ses apports de capitaux demeuraient indispensables pour consolider la relance.
Le procès-verbal de la plus récente prise de cap du comité fédéral des marchés ouverts, dont la publication aura lieu mercredi, de même qu'un discours de Ben Bernanke, actuellement à sa tête, sera au centre des débats de la semaine, en quête d'indices sur les orientations futures.
La monnaie unique a pour sa part retrouvé le sourire après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, ait signalé en fin de matinée que l'excédent de la balance commerciale du bloc l'ayant adoptée avait gonflé depuis 8,6 jusqu'à 13,1 milliards d'euros d'une année sur l'autre, les exportations bondissant de 3% tandis que les importations stagnaient.
Le yen se retrouvait du coup dans un creux de deux semaines par rapport à elle, l'EUR/JPY frémissant de 0,01% pour se hisser à 135,22.
La devise du pays du soleil levant demeurait sur la sellette après que le ministre japonais des finances Taro Aso ait rappelé l'importance pour le gouvernement de conserver la possibilité d'intervenir sur le marché des changes, en cas de volatilité excessive.
La livre sterling était elle aussi cantonnée à la défensive, l'EUR/GBP gagnant 0,21% pour se hisser à 0,8388.
La paire EUR/USD est montée depuis 1,3495 jusqu'à 1,3512 en seconde partie de séance européenne, grignotant 0,12%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3432, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,3546, son plafond du 6 novembre.
Le billet vert avait en effet perdu des plumes après que Janet Yellen, qui sera bientôt à la tête de la Réserve Fédérale, ait rappelé la semaine passée que ses apports de capitaux demeuraient indispensables pour consolider la relance.
Le procès-verbal de la plus récente prise de cap du comité fédéral des marchés ouverts, dont la publication aura lieu mercredi, de même qu'un discours de Ben Bernanke, actuellement à sa tête, sera au centre des débats de la semaine, en quête d'indices sur les orientations futures.
La monnaie unique a pour sa part retrouvé le sourire après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, ait signalé en fin de matinée que l'excédent de la balance commerciale du bloc l'ayant adoptée avait gonflé depuis 8,6 jusqu'à 13,1 milliards d'euros d'une année sur l'autre, les exportations bondissant de 3% tandis que les importations stagnaient.
Le yen se retrouvait du coup dans un creux de deux semaines par rapport à elle, l'EUR/JPY frémissant de 0,01% pour se hisser à 135,22.
La devise du pays du soleil levant demeurait sur la sellette après que le ministre japonais des finances Taro Aso ait rappelé l'importance pour le gouvernement de conserver la possibilité d'intervenir sur le marché des changes, en cas de volatilité excessive.
La livre sterling était elle aussi cantonnée à la défensive, l'EUR/GBP gagnant 0,21% pour se hisser à 0,8388.