Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à ses principaux rivaux ce jeudi, les traders attendant les chiffres cruciaux du chômage américain alors que renaît l'espoir que les efforts consentis par l'Europe pour combattre la crise de la dette porteront leurs fruits.
Il était en hausse contre l'euro, l'EUR/USD perdant 0.25% pour se retrouver à 1.2582 après que l'Espagne ait suivi mercredi l'Irlande et la Grèce en s'imposant de sévères mesures d'austérité destinées à réduire son déficit budgétaire, en accord avec les exigences de l'Union Européenne en échange du droit à l'énorme plan de sauvetage à 720 milliards d'euros destiné aux membres désargentés de la zone.
Il en a fait de même devant la livre et le franc suisse, la paire GBP/USD tombant de 0.45% pour atterrir à 1.4757, et l'USD/CHF prenant 0.27% pour atteindre 1.1144.
La monnaie britannique a perdu du terrain suite à une étude officielle démontrant que le déficit du commerce extérieur du pays avait davantage augmenté en mars que prévu.
Le billet vert a toutefois perdu du terrain sur ses homologues australien, canadien et néo-zélandais: l'AUD/USD a progressé de 0.54% pour grimper à 0.8984, l'USD/CAD cédant 0.49% pour chuter à 1.0144 et le NZD/USD gagnant 0.48% pour culminer à 0.7168. Il a aussi fléchi confronté au yen, l'USD/JPY trébuchant de 0.28% pour finir à 93.01.
L'indice dollar, reflétant les performances de la monnaie américaine face à un panier constitué de six de ses principales rivales, a connu une amélioration de 0.17%.
La Banque Centrale Européenne a fait savoir dans son bulletin mensuel que ses taux d'intérêt historiquement bas étaient "appropriés" et que l'inflation devrait rester "modérée".
Le ministère de l'emploi américain doit également faire connaître son nombre d'inscriptions au chômage, indicateur crucial de santé économique générale, au cours de la journée.
Il était en hausse contre l'euro, l'EUR/USD perdant 0.25% pour se retrouver à 1.2582 après que l'Espagne ait suivi mercredi l'Irlande et la Grèce en s'imposant de sévères mesures d'austérité destinées à réduire son déficit budgétaire, en accord avec les exigences de l'Union Européenne en échange du droit à l'énorme plan de sauvetage à 720 milliards d'euros destiné aux membres désargentés de la zone.
Il en a fait de même devant la livre et le franc suisse, la paire GBP/USD tombant de 0.45% pour atterrir à 1.4757, et l'USD/CHF prenant 0.27% pour atteindre 1.1144.
La monnaie britannique a perdu du terrain suite à une étude officielle démontrant que le déficit du commerce extérieur du pays avait davantage augmenté en mars que prévu.
Le billet vert a toutefois perdu du terrain sur ses homologues australien, canadien et néo-zélandais: l'AUD/USD a progressé de 0.54% pour grimper à 0.8984, l'USD/CAD cédant 0.49% pour chuter à 1.0144 et le NZD/USD gagnant 0.48% pour culminer à 0.7168. Il a aussi fléchi confronté au yen, l'USD/JPY trébuchant de 0.28% pour finir à 93.01.
L'indice dollar, reflétant les performances de la monnaie américaine face à un panier constitué de six de ses principales rivales, a connu une amélioration de 0.17%.
La Banque Centrale Européenne a fait savoir dans son bulletin mensuel que ses taux d'intérêt historiquement bas étaient "appropriés" et que l'inflation devrait rester "modérée".
Le ministère de l'emploi américain doit également faire connaître son nombre d'inscriptions au chômage, indicateur crucial de santé économique générale, au cours de la journée.