Investing.com - La livre sterling a limité les dégâts face au dollar U.S. ce jeudi, s'extirpant d'une ornière de presquue deux semaines alors que le goût du risque des investisseurs reprenait quelques couleurs, bien que les incertitudes liées au referendum prévu par la Grèce demeurent.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1.5877, son cours le plus bas depuis le 21 octobre, jusqu'à 1.5946 en première partie de séance européenne, ne trébuchant plus que de 0.02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5753, son plancher du 21 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1.6047, son plafond de mercredi.
Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français ont averti hier George Papandreou, premier ministre de la Grèce, que celle-ci ne recevrait plus d'aide financière jusqu'à ce qu'elle décide de rester membre de la zone euro, et devrait renoncer à toute aide de l'Europe en cas de vote contre le programme de secours décidé la semaine passée.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a pour sa part affirmé hier que "la croissance économique avait quelque peu auugmenté au troisième trimestre" mais que des "risques de baisse significatifs" demeuraient présents dans les perspectives.
Il a déclaré lors de la conférence de presse d'après-réunion que la progressino de l'économie était "d'une lenteur frustrante" et "très insatisfaisante", ajoutant qu'une nouvelle série d'achats d'actifs, notamment d'investissements sécurisés par des hypothèques, était "une option valable".
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP glissant de 0.13% pour tomber à 0.8608.
Le Royaume-Uni prévoyait de publier aujourd'hui les résultats de la croissance de son secteur tertiaire, tandis que les Etats-Unis rendront dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude sur l'activité tertiaire de l'institut de gestion des approvisionnements.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1.5877, son cours le plus bas depuis le 21 octobre, jusqu'à 1.5946 en première partie de séance européenne, ne trébuchant plus que de 0.02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5753, son plancher du 21 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1.6047, son plafond de mercredi.
Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français ont averti hier George Papandreou, premier ministre de la Grèce, que celle-ci ne recevrait plus d'aide financière jusqu'à ce qu'elle décide de rester membre de la zone euro, et devrait renoncer à toute aide de l'Europe en cas de vote contre le programme de secours décidé la semaine passée.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a pour sa part affirmé hier que "la croissance économique avait quelque peu auugmenté au troisième trimestre" mais que des "risques de baisse significatifs" demeuraient présents dans les perspectives.
Il a déclaré lors de la conférence de presse d'après-réunion que la progressino de l'économie était "d'une lenteur frustrante" et "très insatisfaisante", ajoutant qu'une nouvelle série d'achats d'actifs, notamment d'investissements sécurisés par des hypothèques, était "une option valable".
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP glissant de 0.13% pour tomber à 0.8608.
Le Royaume-Uni prévoyait de publier aujourd'hui les résultats de la croissance de son secteur tertiaire, tandis que les Etats-Unis rendront dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude sur l'activité tertiaire de l'institut de gestion des approvisionnements.