Investing.com - L'euro a limité ses partes face au dollar U.S. ce mercredi, remontant d'un creux journalier sur fond de rumeurs selon lesquelles les dirigeants de l'Union Européenne seraient en train de discuter un plan de recapitalisation des banques de la région.
La paire EUR/USD est remontée depuis 1.326, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1.3319 en fin de séance asiatique, perdant tout de même 0.23%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3144, son plancher de huit mois et demi datant d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.36, son plafond du 30 septembre.
La devise européenne a repris du poil de la bête après qu'un article du quotidien Financial Times ait fait savoir que les ministres des finances étudiaient une manière de coordoner la recapitalisation des banques du continent, s'étant mis d'accord sur le besoin d'une aide aux établissement de prêt.
Cette iinformation est survenue après que l'angoisse d'un manquement de la Grèce à ses obligations se soit trouvée exacerbée par le report de la décision concernant l'attribution ou non de la prochaine tranche d'aide à la mi-octobre, laissant le temps aux responsables le temps d'étudier comment faire supporter aux banques les fortes pertes liées aux dettes grecques qu'elles détiennent.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a pour sa part déclaré hier que la crise financière de la zone euro pesait sur l'économie américaine et rappelé que la banque centrale demeurait prête à faire davantage pour soutenir la relance de l'économie nationale.
La monnaie unique a par contre gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.12% pour se hisser à 0.863.
La zone euro devrait publier aujourd'hui les chiffres révisés du produit intérieur brut au second trimestre, ainsi que le volume officiel des ventes au détail, tandis qu'aux Etats-Unis, l'agence de gestion des ressources humaines ADP fera son rapport sur les emplois privés hors agriculture, et l'institut de gestion des approvisionnements l'imitera concernant l'activité du secteur tertiaire.
La paire EUR/USD est remontée depuis 1.326, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1.3319 en fin de séance asiatique, perdant tout de même 0.23%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3144, son plancher de huit mois et demi datant d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.36, son plafond du 30 septembre.
La devise européenne a repris du poil de la bête après qu'un article du quotidien Financial Times ait fait savoir que les ministres des finances étudiaient une manière de coordoner la recapitalisation des banques du continent, s'étant mis d'accord sur le besoin d'une aide aux établissement de prêt.
Cette iinformation est survenue après que l'angoisse d'un manquement de la Grèce à ses obligations se soit trouvée exacerbée par le report de la décision concernant l'attribution ou non de la prochaine tranche d'aide à la mi-octobre, laissant le temps aux responsables le temps d'étudier comment faire supporter aux banques les fortes pertes liées aux dettes grecques qu'elles détiennent.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a pour sa part déclaré hier que la crise financière de la zone euro pesait sur l'économie américaine et rappelé que la banque centrale demeurait prête à faire davantage pour soutenir la relance de l'économie nationale.
La monnaie unique a par contre gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.12% pour se hisser à 0.863.
La zone euro devrait publier aujourd'hui les chiffres révisés du produit intérieur brut au second trimestre, ainsi que le volume officiel des ventes au détail, tandis qu'aux Etats-Unis, l'agence de gestion des ressources humaines ADP fera son rapport sur les emplois privés hors agriculture, et l'institut de gestion des approvisionnements l'imitera concernant l'activité du secteur tertiaire.