Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé en baisse de 0,30% mercredi, plombé par les inquiétudes au sujet de la croissance mondiale, alors que les Etats-Unis ont publié deux statistiques paticulièrement encourageantes sur l'état de la reprise économique locale.
L'activité du secteur non manufacturier a continué de croître aux Etats-Unis le mois dernier, l’indice IMS progressant de 1,4 point à 55,1, au plus haut depuis février. Les entreprises américaines du secteur privé ont quant à elles créé 162.000 emplois le mois dernier, contre 143.000 attendues et 189.000 en août, selon l’enquête ADP Employer Services.
L’activité dans les services en Chine est tombée en septembre à son plus bas niveau depuis près de deux ans.
Dans la zone euro, la détérioration de la conjoncture s’est poursuivie le mois dernier, l’indice PMI-Markit Composite, qui fait la synthèse entre l’industrie et les services, a touché un plus bas de quatre mois à 46,1 points.
Par ailleurs, l'Espagne continuait d’alimenter l’incertitude sur le calendrier de sa demande d’aide, alors que le rendement de son emprunt à dix ans repart à la hausse.
Les doutes entourant le pays sont également entretenus par l’agence Moody’s, qui a annoncé qu’elle prendra sa décision sur la note souveraine dans le courant du mois.
Du côté des valeurs, les banques évoluaient en ordre dispersé en fin de séance. BNP Paribas grappillait 0,09% à la clôture du marché, tandis que Crédit Agricole reculait de 0,86% et Société Générale abandonnait 0,69%.
Selon l'agence de presse Reuters, la Société Générale a, par ailleurs, conclu un accord préliminaire avec la banque grecque Piraeus Bank en vue de lui céder sa filiale locale Geniki.
Alcatel-Lucent restait dans le vert en fin de journée et terminait la séance sur une hausse de 0,49%, alors que Bernstein estime que le risque de faillite est désormais intégré dans les cours, et ajoute que si le groupe est dans une position structurellement délicate, l’action cote à moins de 50% de la valeur à la casse estimée.
A l'inverse, Sanofi cédait 0,09% à la fermeture du CAC 40, après que le groupe a annoncé la révision de ses accords avec l’américain Bristol-Myers Squibb, suivant la perte d’exclusivité de Plavix et d’Avapro/Avalide sur plusieurs grands marchés.
Enfin, Areva pliait de 0,61% en fin de séance, alors que le consortium formé par le groupe français et le chinois Guangdong Nuclear Power a renoncé à participer au projet Horizon de réacteur de nouvelle génération au Royaume-Uni, selon le Financial Times.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,06%, le DAX avançait de 0,26% et le Footsie 100 gagnait 0,24%.
L'activité du secteur non manufacturier a continué de croître aux Etats-Unis le mois dernier, l’indice IMS progressant de 1,4 point à 55,1, au plus haut depuis février. Les entreprises américaines du secteur privé ont quant à elles créé 162.000 emplois le mois dernier, contre 143.000 attendues et 189.000 en août, selon l’enquête ADP Employer Services.
L’activité dans les services en Chine est tombée en septembre à son plus bas niveau depuis près de deux ans.
Dans la zone euro, la détérioration de la conjoncture s’est poursuivie le mois dernier, l’indice PMI-Markit Composite, qui fait la synthèse entre l’industrie et les services, a touché un plus bas de quatre mois à 46,1 points.
Par ailleurs, l'Espagne continuait d’alimenter l’incertitude sur le calendrier de sa demande d’aide, alors que le rendement de son emprunt à dix ans repart à la hausse.
Les doutes entourant le pays sont également entretenus par l’agence Moody’s, qui a annoncé qu’elle prendra sa décision sur la note souveraine dans le courant du mois.
Du côté des valeurs, les banques évoluaient en ordre dispersé en fin de séance. BNP Paribas grappillait 0,09% à la clôture du marché, tandis que Crédit Agricole reculait de 0,86% et Société Générale abandonnait 0,69%.
Selon l'agence de presse Reuters, la Société Générale a, par ailleurs, conclu un accord préliminaire avec la banque grecque Piraeus Bank en vue de lui céder sa filiale locale Geniki.
Alcatel-Lucent restait dans le vert en fin de journée et terminait la séance sur une hausse de 0,49%, alors que Bernstein estime que le risque de faillite est désormais intégré dans les cours, et ajoute que si le groupe est dans une position structurellement délicate, l’action cote à moins de 50% de la valeur à la casse estimée.
A l'inverse, Sanofi cédait 0,09% à la fermeture du CAC 40, après que le groupe a annoncé la révision de ses accords avec l’américain Bristol-Myers Squibb, suivant la perte d’exclusivité de Plavix et d’Avapro/Avalide sur plusieurs grands marchés.
Enfin, Areva pliait de 0,61% en fin de séance, alors que le consortium formé par le groupe français et le chinois Guangdong Nuclear Power a renoncé à participer au projet Horizon de réacteur de nouvelle génération au Royaume-Uni, selon le Financial Times.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,06%, le DAX avançait de 0,26% et le Footsie 100 gagnait 0,24%.