Investing.com - Le dollar U.S. a retrouvé du poil de la bête face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, laissant l'avantage à son homologue japonais mais culminant à son meilleur niveau en plusieurs mois contre l'européen, qui subissait les mauvaises statistiques où il a cours et les incertitudes concernant Chypre, encourageant la frilosité.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a davantage fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.38% pour tomber à 1.2885, aux abords d'une ornière de quatre mois.
Une bouffée d'anxiété a eu lieu après que la Banque Centrale Européenne ait déclaré qu'elle nee continuerait à fournir des fonds aux banques chypriotes que jusqu'à lundi.
Elle a ajouté qu'il faudrait ensuite un accord de l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International sur un plan de sauvetage.
Les craintes au aujet des perspectives économiques régionales étaient déjà grandes après qu'une contraction inattendue du secteur secondaire allemand ait été mise en évidence.
Il n'en était pas de même avec le yen, l'USD/JPY glissant de 0.93% pour déraper à 95.11 et établir un nouveau creux journalier.
Haruhiko Kuroda, nouveau gouverneur de la Banque du Japon, avait auparavant affirmé dans une conférence de presse que celle-ci était prête à utiliser tous les moyens nécessaires pour atteindre les 2% d'inflation visés, sans toutefois confirmer la tenue d'une réunion d'orientation d'urgence avant celle prévue en avril.
Le billet vert toutefois cédé moins de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grimpant de 0.29% pour se hisser à 1.5141.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine avait pourtant établi un pic de trois semaines après qu'il ait été souligné que les ventes au détail britanniques avaient bondi de 2.1% le mois passé, leur sursaut le plus important depuis mars 2012, pulvérisant les 0.5% prédits.
Le franc suisse a quand à lui subi un accroissement de sa pression, l'USD/CHF grignotant 0.31% pour culminer à 0.948.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.1% pour aller vers 1.0248, l'AUD/USD raflant 0.51% pour monter à 1.0437 et le NZD/USD empochant 1.42% pour culminer à 0.8338.
La première avait retrouvé le sourire après que les autorités du Canada aient mis en relief pour janvier une augmentation de 1% des ventes auprès des particuliers, conformément aux espérances, après avoir dégringolé de 2.3% en décembre.
La troisième s'était sentie pousser des ailes grâce à une étude officielle montrant une expansion de 1.5% du produit intérieur brut de la Nouvelle-Zélande au quatrième trimestre, au lieu des 0.9% espérés.
Les deux dernières, fortement dépendantes de la croissance, avaient repris des couleurs après qu'il ait été noté que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine établi par HSBC avait grimpé depuis 50.4 vers 51.7 pour mars, indiquant du coup que la relance de la seconde économie mondiale était toujours sur les rails.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a arraché 0.03% pour se situer à 83.04.
Le département d'état au travail américain a pour sa part dénombré 2 000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 16 mars, pour un total hebdomadaire de 336 000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 8 000 pour les amener à 342 000 était redoutée.
On pouvait ausssi à noter que les ventes de logements d'occasion avaient augmenté de 0.8% dans le pays, pour atteindre les 4.98 millions en février, leur plus haut niveau en trois ans.
Il ne fallait pas non plus négliger le fait que l'activité industrielle dans la région de Philadelphie avait connu ce mois-ci sa plus forte amélioration en trois mois, l'indice manufacturier de la Réserve Fédérale de la ville s'envolant depuis -12.5 vers 2.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a davantage fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.38% pour tomber à 1.2885, aux abords d'une ornière de quatre mois.
Une bouffée d'anxiété a eu lieu après que la Banque Centrale Européenne ait déclaré qu'elle nee continuerait à fournir des fonds aux banques chypriotes que jusqu'à lundi.
Elle a ajouté qu'il faudrait ensuite un accord de l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International sur un plan de sauvetage.
Les craintes au aujet des perspectives économiques régionales étaient déjà grandes après qu'une contraction inattendue du secteur secondaire allemand ait été mise en évidence.
Il n'en était pas de même avec le yen, l'USD/JPY glissant de 0.93% pour déraper à 95.11 et établir un nouveau creux journalier.
Haruhiko Kuroda, nouveau gouverneur de la Banque du Japon, avait auparavant affirmé dans une conférence de presse que celle-ci était prête à utiliser tous les moyens nécessaires pour atteindre les 2% d'inflation visés, sans toutefois confirmer la tenue d'une réunion d'orientation d'urgence avant celle prévue en avril.
Le billet vert toutefois cédé moins de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grimpant de 0.29% pour se hisser à 1.5141.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine avait pourtant établi un pic de trois semaines après qu'il ait été souligné que les ventes au détail britanniques avaient bondi de 2.1% le mois passé, leur sursaut le plus important depuis mars 2012, pulvérisant les 0.5% prédits.
Le franc suisse a quand à lui subi un accroissement de sa pression, l'USD/CHF grignotant 0.31% pour culminer à 0.948.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.1% pour aller vers 1.0248, l'AUD/USD raflant 0.51% pour monter à 1.0437 et le NZD/USD empochant 1.42% pour culminer à 0.8338.
La première avait retrouvé le sourire après que les autorités du Canada aient mis en relief pour janvier une augmentation de 1% des ventes auprès des particuliers, conformément aux espérances, après avoir dégringolé de 2.3% en décembre.
La troisième s'était sentie pousser des ailes grâce à une étude officielle montrant une expansion de 1.5% du produit intérieur brut de la Nouvelle-Zélande au quatrième trimestre, au lieu des 0.9% espérés.
Les deux dernières, fortement dépendantes de la croissance, avaient repris des couleurs après qu'il ait été noté que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine établi par HSBC avait grimpé depuis 50.4 vers 51.7 pour mars, indiquant du coup que la relance de la seconde économie mondiale était toujours sur les rails.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a arraché 0.03% pour se situer à 83.04.
Le département d'état au travail américain a pour sa part dénombré 2 000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 16 mars, pour un total hebdomadaire de 336 000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 8 000 pour les amener à 342 000 était redoutée.
On pouvait ausssi à noter que les ventes de logements d'occasion avaient augmenté de 0.8% dans le pays, pour atteindre les 4.98 millions en février, leur plus haut niveau en trois ans.
Il ne fallait pas non plus négliger le fait que l'activité industrielle dans la région de Philadelphie avait connu ce mois-ci sa plus forte amélioration en trois mois, l'indice manufacturier de la Réserve Fédérale de la ville s'envolant depuis -12.5 vers 2.