Investing.com - L'euro était plutôt en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi, mais il demeurait fragilisé par les incertitudes concernant le sort de la Grèce et de l'Espagne.
En début de seconde partie de séance européenne, le dollar U.S. a ainsi à peine fléchi devant lui, avec un couple EUR/USD grignotant 0.07% pour se hisser à 1.2962.
La monnaie unique en effet malgré cela sur la sellette suite à la déception découlant de l'absence de recours de Madrid aux aides financières en fin de semaine passée, une éventualité semblant désormais fortement improbable avant les élections régionales du 21 octobre.
L'inconnue dûe à l'attribution ou non de la prochaine tranche d'aides à Athènes n'était pas non plus à négliger.
Le premier ministre grec Antonis Samaras a cependant déclaré hier que son pays se trouvait face à un "dernier obstacle" avant la reprise et exprimé sa confiance quand à la possibilité de trouver un accord avec les bailleurs de fonds internationaux avant le sommet de l'Union Européenne ayant lieu dans trois jours.
L'angoisse au sujet des perspectives économiques mondiales s'était tout de même apaisée après que la Chine ait signalé ces derniers jours que l'excédent de sa balance commerciale avait davantage augmenté en septembre qu'espéré grâce au renforcement de la demande à l'exportation.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.17% pour se hisser à 0.8073.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait elle aussi en retrait à l'approche des chiffres des ventes au détail, de l'emploi et de l'inflation prévus cette semaine, une série de contre-performances pouvant raviver le doute quand aux possibilités de rebond national durable, et ranimer du même coup les rumeurs d'accomodements supplémentaires imminents de la part de la Banque d'Angleterre.
Le yen a également subi sa pression, l'EUR/JPY engrangeant 0.42% pour s'établir à 102.03, mais le franc suisse y a mieux résisté, l'EUR/CHF n'arrachant que 0.02% pour frémir à 1.2091.
Une étude gouvernementale avait fait savoir dans la matinée que l'inflation des coûts de production helvètes s'était élevée à 0.3% le mois dernier, soit légèrement plus que les 0.2% envisagés.
Ses homologues australienne et néo-zélandaise ont par ailleurs éprouvé sa domination, mais pas la canadienne, l'EUR/AUD s'élevant de 0.08% pour se retrouver à 1.2668, l'EUR/CAD laissant échapper 0.08% pour glisser à 1.2678 et l'EUR/NZD grimpant de 0.12% pour culminer à 1.5887.
Les autorités de l'Australie avaient auparavant indiqué 1.8% de progression des nouveaux accords de prêts immobiliers pour août, au lieu des 1.4% prédits.
Les Etats-Unis divulgueront de leur côté en fin de journée le volume de leurs ventes au détail, qui représentent la majeure partie de l'activité économique totale, ainsi que des informations concernant l'état officiel des réserves des entreprises.
En début de seconde partie de séance européenne, le dollar U.S. a ainsi à peine fléchi devant lui, avec un couple EUR/USD grignotant 0.07% pour se hisser à 1.2962.
La monnaie unique en effet malgré cela sur la sellette suite à la déception découlant de l'absence de recours de Madrid aux aides financières en fin de semaine passée, une éventualité semblant désormais fortement improbable avant les élections régionales du 21 octobre.
L'inconnue dûe à l'attribution ou non de la prochaine tranche d'aides à Athènes n'était pas non plus à négliger.
Le premier ministre grec Antonis Samaras a cependant déclaré hier que son pays se trouvait face à un "dernier obstacle" avant la reprise et exprimé sa confiance quand à la possibilité de trouver un accord avec les bailleurs de fonds internationaux avant le sommet de l'Union Européenne ayant lieu dans trois jours.
L'angoisse au sujet des perspectives économiques mondiales s'était tout de même apaisée après que la Chine ait signalé ces derniers jours que l'excédent de sa balance commerciale avait davantage augmenté en septembre qu'espéré grâce au renforcement de la demande à l'exportation.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP gagnant 0.17% pour se hisser à 0.8073.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait elle aussi en retrait à l'approche des chiffres des ventes au détail, de l'emploi et de l'inflation prévus cette semaine, une série de contre-performances pouvant raviver le doute quand aux possibilités de rebond national durable, et ranimer du même coup les rumeurs d'accomodements supplémentaires imminents de la part de la Banque d'Angleterre.
Le yen a également subi sa pression, l'EUR/JPY engrangeant 0.42% pour s'établir à 102.03, mais le franc suisse y a mieux résisté, l'EUR/CHF n'arrachant que 0.02% pour frémir à 1.2091.
Une étude gouvernementale avait fait savoir dans la matinée que l'inflation des coûts de production helvètes s'était élevée à 0.3% le mois dernier, soit légèrement plus que les 0.2% envisagés.
Ses homologues australienne et néo-zélandaise ont par ailleurs éprouvé sa domination, mais pas la canadienne, l'EUR/AUD s'élevant de 0.08% pour se retrouver à 1.2668, l'EUR/CAD laissant échapper 0.08% pour glisser à 1.2678 et l'EUR/NZD grimpant de 0.12% pour culminer à 1.5887.
Les autorités de l'Australie avaient auparavant indiqué 1.8% de progression des nouveaux accords de prêts immobiliers pour août, au lieu des 1.4% prédits.
Les Etats-Unis divulgueront de leur côté en fin de journée le volume de leurs ventes au détail, qui représentent la majeure partie de l'activité économique totale, ainsi que des informations concernant l'état officiel des réserves des entreprises.