Investing.com - Les bourses européennes étaient intimidées ce jeudi, la prudence restant de mise avant divulgation d'une série de résultats américains attendus aujourd'hui, les précédents ayant diminué l'attente d'accomodements supplémentaires de la part de la Réserve Fédérale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.35%, le CAC 40 français de 0.18%, et le DAX 30 allemand de 0.11%.
Il a en effet été montré mercredi que la production industrielle des Etats-Unis avait davantage augmenté en juillet qu'il n'évait été espéré.
L'espoir d'un coup de pouce aux Etats-Unis s'est en effet éloigné après que des chiffres officiels aient montré hier que la production industrielle des Etats-Unis avait augmenté de 0.6% en juillet, au lieu des 0.5% espérés, et améliorant nettement les 0.1% précédents.
Une autre étude avait signalé auparavant que les ventes auprès des particuliers américains avaient bondi de 0.8% en juillet, dépassant largement les 0.3% espérés, et mettant fin à quatre mois de vaches maigres, étouffant du même coup les attentes d'injections de capitaux de la part de la banque centrale américaine.
De nombreux autres résultats concernant les Etats-Unis étaient encore attendus aujourd'hui, et devraient permettre de préciser l'état de santé de leur économie, afin d'évaluer le besoin ou non de nouveaux coups de pouce.
La finance était largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale laissant respectivement échapper 0.68 et 0.49%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank leur emboîtant le pas avec 0.36 et 0.51%.
Repsol a pour sa part plongé de 0.91% après qu'il ait été rapporté que le début de la production de son puits Carabobo 1 au Venezuela serait repoussée au début de l'année prochaine, le pays d'Amérique Latine se préparant aux élections présidentielles d'octobre.
Tout n'était cependant pas désespéré, la fabricant de téléphones mobiles Nokia, en grande difficulté, bondissant de 3.37% après avoir annoncé une présentation commune avec Microsoft pour le 5 septembre, reforçant les rumeurs selon lesquelles les deux partenaires présenteraient enfin un intelliphone de nouvelle génération sous Windows avant que leur rival Apple fasse de même avec son prochain iPhone exactement une semaine après.
Cette information avait été révélée après que l'agence Standard & Poor's ait rabaissé sa notation encore plus bas que celle des actifs indésirables, en raison des craintes concernant la rentabilité de l'entreprise.
A Londres, le FTSE 100 a trébuché de 0.03%, dans l'expectative pour la mi-journée des chiffres des ventes au détail britanniques.
L'Admiral Group était parmi le lanternes rouges, dérapant de 1.82% au lendemain de la diffusion de la nouvelle selon laquelle Silverbug, sa succursale de sous-traitance informatique, avait fusionné avec trois de ses branches, Admiral IT, Admiral Network Infrastructure et Admiral Education Solutions.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton étaient par contre en forme, avançant de 0.13 et 0.65%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas en reste avec 0.29 et 0.91%, leur rival Vedanta Resources bondissant de 1.6%.
La City était plus mitigée, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings reculant de 0.47 et 0.34%, tandis que Barclays fondait de 0.28% et Lloyds Banking encaissait 0.57%.
Les trois premières étaient d'autre part parmi les sept banques de la planète ayant été citées à comparaître mercredi par les autorités des Etats-Unis dans le cadre du scandale de la manipulation du taux Libor.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.03% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.07%.
Le gouvernement américain annoncera de leur côté le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, et fournira son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, sans oublier celui des lancements de chantiers et une étude sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.35%, le CAC 40 français de 0.18%, et le DAX 30 allemand de 0.11%.
Il a en effet été montré mercredi que la production industrielle des Etats-Unis avait davantage augmenté en juillet qu'il n'évait été espéré.
L'espoir d'un coup de pouce aux Etats-Unis s'est en effet éloigné après que des chiffres officiels aient montré hier que la production industrielle des Etats-Unis avait augmenté de 0.6% en juillet, au lieu des 0.5% espérés, et améliorant nettement les 0.1% précédents.
Une autre étude avait signalé auparavant que les ventes auprès des particuliers américains avaient bondi de 0.8% en juillet, dépassant largement les 0.3% espérés, et mettant fin à quatre mois de vaches maigres, étouffant du même coup les attentes d'injections de capitaux de la part de la banque centrale américaine.
De nombreux autres résultats concernant les Etats-Unis étaient encore attendus aujourd'hui, et devraient permettre de préciser l'état de santé de leur économie, afin d'évaluer le besoin ou non de nouveaux coups de pouce.
La finance était largement en berne, les français BNP Paribas et Société Générale laissant respectivement échapper 0.68 et 0.49%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank leur emboîtant le pas avec 0.36 et 0.51%.
Repsol a pour sa part plongé de 0.91% après qu'il ait été rapporté que le début de la production de son puits Carabobo 1 au Venezuela serait repoussée au début de l'année prochaine, le pays d'Amérique Latine se préparant aux élections présidentielles d'octobre.
Tout n'était cependant pas désespéré, la fabricant de téléphones mobiles Nokia, en grande difficulté, bondissant de 3.37% après avoir annoncé une présentation commune avec Microsoft pour le 5 septembre, reforçant les rumeurs selon lesquelles les deux partenaires présenteraient enfin un intelliphone de nouvelle génération sous Windows avant que leur rival Apple fasse de même avec son prochain iPhone exactement une semaine après.
Cette information avait été révélée après que l'agence Standard & Poor's ait rabaissé sa notation encore plus bas que celle des actifs indésirables, en raison des craintes concernant la rentabilité de l'entreprise.
A Londres, le FTSE 100 a trébuché de 0.03%, dans l'expectative pour la mi-journée des chiffres des ventes au détail britanniques.
L'Admiral Group était parmi le lanternes rouges, dérapant de 1.82% au lendemain de la diffusion de la nouvelle selon laquelle Silverbug, sa succursale de sous-traitance informatique, avait fusionné avec trois de ses branches, Admiral IT, Admiral Network Infrastructure et Admiral Education Solutions.
Les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton étaient par contre en forme, avançant de 0.13 et 0.65%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys n'étant pas en reste avec 0.29 et 0.91%, leur rival Vedanta Resources bondissant de 1.6%.
La City était plus mitigée, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings reculant de 0.47 et 0.34%, tandis que Barclays fondait de 0.28% et Lloyds Banking encaissait 0.57%.
Les trois premières étaient d'autre part parmi les sept banques de la planète ayant été citées à comparaître mercredi par les autorités des Etats-Unis dans le cadre du scandale de la manipulation du taux Libor.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.03% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.07%.
Le gouvernement américain annoncera de leur côté le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, et fournira son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, sans oublier celui des lancements de chantiers et une étude sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.