Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, sur fond de craintes pour la fragilité de la reprise économique mondiale avant les chiffres cruciaux des inscriptions au chômage américaines.
En première partie de séance européenne, il était à la baisse contre l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.53% pour grimper à 1.3081.
L'Espagne avait auparavant mis aux enchères un maximum de bons du trésor à 10 et 30 ans, récoltant 4 milliards d'euros, tout en faisant baisser les intérêts des emprunts nationaux.
Le billet vert a également dû fléchir sous le yen et le franc suisse, l'USD/JPY se laissant grignoter 0.08% pour hoqueter à 85.66 et l'USD/CHF glissant de 0.12% pour trébucher à 1.0021.
Le gouverneur de la Banque du Japon avait précédemment déclaré que les autorités japonaises continueraient à intervenir sur le marché des changes "quand cela s'avèrerait nécessaire".
Ailleurs, la monnaie américaine a gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD cédant 0.22% pour descendre à 1.5588, après que des chiffres officiels aient montré un affaiblissement plus important que prévu de ventes au détail en Grande-Bretagne.
Il en a été de même avec ses homologues australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD perdant 0.14% pour se retrouver à 0.9368, et le NZD/USD dégringolant de 0.95% pour atterrir à 0.7246.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait annoncé en début de matinée le maintien sans surprise de son taux d'intérêt au niveau actuel.
La devise d'outre-Atlantique a néanmoins dû se soumettre à son homologue canadienne, l'USD/CAD laissant échapper 0.11% pour finir à 1.0248.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses rivaux, est tombé de 0.35%.
Les Etats-Unis devraient révéler en cours de journée leurs chiffres concernant les nouvelles inscriptions au chômage et l'inflation des prix à la production.
En première partie de séance européenne, il était à la baisse contre l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.53% pour grimper à 1.3081.
L'Espagne avait auparavant mis aux enchères un maximum de bons du trésor à 10 et 30 ans, récoltant 4 milliards d'euros, tout en faisant baisser les intérêts des emprunts nationaux.
Le billet vert a également dû fléchir sous le yen et le franc suisse, l'USD/JPY se laissant grignoter 0.08% pour hoqueter à 85.66 et l'USD/CHF glissant de 0.12% pour trébucher à 1.0021.
Le gouverneur de la Banque du Japon avait précédemment déclaré que les autorités japonaises continueraient à intervenir sur le marché des changes "quand cela s'avèrerait nécessaire".
Ailleurs, la monnaie américaine a gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD cédant 0.22% pour descendre à 1.5588, après que des chiffres officiels aient montré un affaiblissement plus important que prévu de ventes au détail en Grande-Bretagne.
Il en a été de même avec ses homologues australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD perdant 0.14% pour se retrouver à 0.9368, et le NZD/USD dégringolant de 0.95% pour atterrir à 0.7246.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait annoncé en début de matinée le maintien sans surprise de son taux d'intérêt au niveau actuel.
La devise d'outre-Atlantique a néanmoins dû se soumettre à son homologue canadienne, l'USD/CAD laissant échapper 0.11% pour finir à 1.0248.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses rivaux, est tombé de 0.35%.
Les Etats-Unis devraient révéler en cours de journée leurs chiffres concernant les nouvelles inscriptions au chômage et l'inflation des prix à la production.