Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi, le Chine ayant remonté ses taux d'intérêt pour la seconde fois en 6 semaines afin d'intensifier sa lutte contre la spirale inflationniste et l'émergence d'une bulle immobilière.
En deuxième partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.41% pour grimper à 1.3638.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que la production industrielle allemande avait chuté en décembre pour le second mois consécutif, l'hiver exceptionnellement rigoureux ayant mis à mal le domaine du bâtiment.
Le billet vert a toutefois gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD perdant 0.22% pour retomber à 1.607 après que le chancelier de l'échiquier du Royaume-Uni ait annoncé une hausse des taxes payées par les banques, diminuant l'engouement pour la monnaie de la Grande-Bretagne.
Il a par contre subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY glissant de 0.21% pour se retrouver à 82.14 et l'USD/CHF trébuchant de 0.04% pour tomber à 0.9551.
Une étude gouvernementale avait montré ce matin que le taux de chômage helvétique était resté stabilisé à 3.5% comme prévu pour janvier.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD se laissant grignoter 0.07% pour descendre à 0.9899, l'AUD/USD arrachant 0.03% pour monter à 1.0137 et le NZD/USD engrangeant 0.71% pour culminer à 0.7752.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.23%.
Les Etats-Unis ont également prévu de dévoiler les résultats d'un sondage sur leur optimisme économique en cours de journée.
En deuxième partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.41% pour grimper à 1.3638.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que la production industrielle allemande avait chuté en décembre pour le second mois consécutif, l'hiver exceptionnellement rigoureux ayant mis à mal le domaine du bâtiment.
Le billet vert a toutefois gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD perdant 0.22% pour retomber à 1.607 après que le chancelier de l'échiquier du Royaume-Uni ait annoncé une hausse des taxes payées par les banques, diminuant l'engouement pour la monnaie de la Grande-Bretagne.
Il a par contre subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY glissant de 0.21% pour se retrouver à 82.14 et l'USD/CHF trébuchant de 0.04% pour tomber à 0.9551.
Une étude gouvernementale avait montré ce matin que le taux de chômage helvétique était resté stabilisé à 3.5% comme prévu pour janvier.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD se laissant grignoter 0.07% pour descendre à 0.9899, l'AUD/USD arrachant 0.03% pour monter à 1.0137 et le NZD/USD engrangeant 0.71% pour culminer à 0.7752.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.23%.
Les Etats-Unis ont également prévu de dévoiler les résultats d'un sondage sur leur optimisme économique en cours de journée.