Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, la frilosité ayant reflué après que la Finlande ait approuvé un plan de secours pour un Portugal criblé de dettes, les craintes causées par la crise de la dette souveraine grecque restant toutefois présentes.
En première partie de séance européenne, l'euro a en effet nettement moins fléchi devant lui, l'EUR/USD ne perdant plus que 0.16% pour tomber à 1.4077.
Le parlement de la Finlande a donné aujourd'hui son accord à l'attribution par le Fonds Monétaire International et l'Union Européenne d'une bouée de sauvetage de 78 milliards d'euros au Portugal. Il a en effet, contrairement à ses homologues de la zone euro, le droit de voter à propos des demandes de fonds de secours de l'Union Européenne.
Le billet vert a toutefois cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD gagnant 0.28% pour monter à 1.6224.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que le produit intérieur brut de la Grande-Bretagne avait progressé de 0.5% au premier trimestre, conformément aux estimations.
Le yen a par contre subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY grimpant de 0.21% pour se hisser à 82.14 et l'USD/CHF trébuchant de 0.54% pour reprendre pied à 0.8753.
Une étude gouvernementale avait indiqué ce matin que les exportations japonaises s'étaient effondrées de 12.5% d'une année sur l'autre en avril, provoquant le premier déficit de la balance commerciale nationale pour cette période de l'année en 31 ans.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.21% pour monter à 0.9787, l'AUD/USD cédant 0.57% pour se retrouver à 1.0497 et le NZD/USD se laissant arracher 0.05% pour toucher le fond à 0.7957.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a grignoté 0.09%.
Les Etats-Unis avaient quand à eux prévu de révéler le volume officiel des commandes de biens durables ainsi qu'un rapport sur les réserves de pétrole brut en cours de journée.
En première partie de séance européenne, l'euro a en effet nettement moins fléchi devant lui, l'EUR/USD ne perdant plus que 0.16% pour tomber à 1.4077.
Le parlement de la Finlande a donné aujourd'hui son accord à l'attribution par le Fonds Monétaire International et l'Union Européenne d'une bouée de sauvetage de 78 milliards d'euros au Portugal. Il a en effet, contrairement à ses homologues de la zone euro, le droit de voter à propos des demandes de fonds de secours de l'Union Européenne.
Le billet vert a toutefois cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD gagnant 0.28% pour monter à 1.6224.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que le produit intérieur brut de la Grande-Bretagne avait progressé de 0.5% au premier trimestre, conformément aux estimations.
Le yen a par contre subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY grimpant de 0.21% pour se hisser à 82.14 et l'USD/CHF trébuchant de 0.54% pour reprendre pied à 0.8753.
Une étude gouvernementale avait indiqué ce matin que les exportations japonaises s'étaient effondrées de 12.5% d'une année sur l'autre en avril, provoquant le premier déficit de la balance commerciale nationale pour cette période de l'année en 31 ans.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.21% pour monter à 0.9787, l'AUD/USD cédant 0.57% pour se retrouver à 1.0497 et le NZD/USD se laissant arracher 0.05% pour toucher le fond à 0.7957.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a grignoté 0.09%.
Les Etats-Unis avaient quand à eux prévu de révéler le volume officiel des commandes de biens durables ainsi qu'un rapport sur les réserves de pétrole brut en cours de journée.