Investing.com - Le dollar U.S. était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, alors que les craintes persistantes concernant la crise de la dette souveraine grecque mettaient à mal la demande des investisseurs pour les valeurs les plus risquées.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD s'effondrant de 0.95% pour plonger à 1.4301.
L'agence Moody's a placé hier trois des principaux prêteurs français sous surveillance en attendant une possible dégradation, en raison de leur vulnérabilité face au risque grec.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.69% pour chuter à 1.6255.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que le nombre des bénéficiaires des allocations chômage de la Grande-Bretagne avait nettement augmenté en mai, tandis qu'une autre étude indiquait que les revenus moyens avaient davantage diminué que prévu.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.25% pour se hisser à 80.68 et l'USD/CHF gagnant 0.63% pour culminer à 0.8507.
Des informations émanant des autorités avaient mis en évidence ce matin que l'inflation des prix à la production suisse avait faibli en mai de manière inattendue.
La monnaie des Etats-Unis a aussi dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD grignotant 0.12% pour monter à 0.9689, l'AUD/USD trébuchant de 0.02% pour se retrouver à 1.0682 et le NZD/USD glissant de 0.6% pour toucher le fond à 0.813.
Glenn Stevens, gouverneur de la Réserve Bancaire d'Australie, avait déclaré plus tôt que les décideurs se retrouveraiient forcéss de remonter les taux d'intérêt à un moment ou à un autre.
Une étude émanant des autorités avait par ailleurs montré que les ventes au détail de la Nouvelle-Zélande avaient augmenté au premier trimestre, et ce pour la première fois depuis les trois précédents.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.8%.
Les Etats-Unis devaient dévoiler aujourd'hui le taux officiel de leur inflation à la consommation, ainsi que des études sur les investissements étrangers, la production industrielle et l'activité manufacturière.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD s'effondrant de 0.95% pour plonger à 1.4301.
L'agence Moody's a placé hier trois des principaux prêteurs français sous surveillance en attendant une possible dégradation, en raison de leur vulnérabilité face au risque grec.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.69% pour chuter à 1.6255.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que le nombre des bénéficiaires des allocations chômage de la Grande-Bretagne avait nettement augmenté en mai, tandis qu'une autre étude indiquait que les revenus moyens avaient davantage diminué que prévu.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.25% pour se hisser à 80.68 et l'USD/CHF gagnant 0.63% pour culminer à 0.8507.
Des informations émanant des autorités avaient mis en évidence ce matin que l'inflation des prix à la production suisse avait faibli en mai de manière inattendue.
La monnaie des Etats-Unis a aussi dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD grignotant 0.12% pour monter à 0.9689, l'AUD/USD trébuchant de 0.02% pour se retrouver à 1.0682 et le NZD/USD glissant de 0.6% pour toucher le fond à 0.813.
Glenn Stevens, gouverneur de la Réserve Bancaire d'Australie, avait déclaré plus tôt que les décideurs se retrouveraiient forcéss de remonter les taux d'intérêt à un moment ou à un autre.
Une étude émanant des autorités avait par ailleurs montré que les ventes au détail de la Nouvelle-Zélande avaient augmenté au premier trimestre, et ce pour la première fois depuis les trois précédents.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.8%.
Les Etats-Unis devaient dévoiler aujourd'hui le taux officiel de leur inflation à la consommation, ainsi que des études sur les investissements étrangers, la production industrielle et l'activité manufacturière.