Investing.com - Le dollar U.S. était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, alors que les craintes persistantes concernant la crise de la dette souveraine grecque mettait à mal la demande des investisseurs pour les valeurs les plus risquées.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.51% pour tomber à 1.4366.
L'agence Moody's a placé hier les principaux prêteurs français sous surveillance en attendant une possible dégradation, en raison de leur vulnérabilité face à dette grecque.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.29% pour chuter à 1.6323.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que le nombre des bénéficiaires des allocations chômage de la Grande-Bretagne avait nettement augmenté en mai, tandis qu'une autre étude indiquait que les revenus moyens avaient davantage diminué que prévu.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.23% pour se hisser à 80.67 et l'USD/CHF grignotant 0.45% pour culminer à 0.849.
Des informations émanant des autorités avaient mis en évidence ce matin que l'inflation des prix à la production suisse avait faibli en mai de manière inattendue.
La monnaie des Etats-Unis a toutefois été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD trébuchant de 0.05% pour reprendre pied à 0.9672, l'AUD/USD arrachant 0.17% pour se retrouver à 1.0705 et le NZD/USD glissant de 0.3% pour toucher le fond à 0.8155.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.43%.
Les Etats-Unis dévoileront aujourd'hui le taux officiel de leur inflation à la consommation, ainsi que des études sur les investissements étrangers, la production industrielle et l'activité manufacturière.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.51% pour tomber à 1.4366.
L'agence Moody's a placé hier les principaux prêteurs français sous surveillance en attendant une possible dégradation, en raison de leur vulnérabilité face à dette grecque.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.29% pour chuter à 1.6323.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que le nombre des bénéficiaires des allocations chômage de la Grande-Bretagne avait nettement augmenté en mai, tandis qu'une autre étude indiquait que les revenus moyens avaient davantage diminué que prévu.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.23% pour se hisser à 80.67 et l'USD/CHF grignotant 0.45% pour culminer à 0.849.
Des informations émanant des autorités avaient mis en évidence ce matin que l'inflation des prix à la production suisse avait faibli en mai de manière inattendue.
La monnaie des Etats-Unis a toutefois été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD trébuchant de 0.05% pour reprendre pied à 0.9672, l'AUD/USD arrachant 0.17% pour se retrouver à 1.0705 et le NZD/USD glissant de 0.3% pour toucher le fond à 0.8155.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.43%.
Les Etats-Unis dévoileront aujourd'hui le taux officiel de leur inflation à la consommation, ainsi que des études sur les investissements étrangers, la production industrielle et l'activité manufacturière.