Investing.com - Le dollar U.S. était en demi-teinte face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, l'inquiétude persistant pour la zone euro malgré la forte demande pour les dettes gouvernementales françaises et espagnoles.
Lors de seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.35% pour grimper à 1.3494.
L'Espagne a atteint le total des 3.75 milliards qu'elle visait, tout en restant sous la barre fatidique des 7%, le coût moyen de ses emprunts à cinq ans s'étant établi à 5.54%, contre 4.84% début novembre.
La France a quand à elle émis pour 4.5 milliards d'euros de dettes, comprenant 1.57 milliards de bons du trésor à dix ans, à un taux moyen de 3.18%, contre 3.22% lors d'un évènement similaire du mois dernier.
L'enthousiasme des observateurs s'était auparavant trouvé douché par l'affirmation de Mario Draghi, nouveau président de la Banque Centrale Européenne, selon laquelle les risques de baisse des perspectives économiques avaient augmenté.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.12% pour se hisser à 1.5721.
Le devise de la Grande-Bretagne demeurait vulnérable après qu'une étude ait auparavant montré que l'activité manufacturière britannique avait diminué en novembre pour le second mois d'affilée.
Le yen a par ailleurs légèrement subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY arrachant 0.11% pour se retrouver à 77.7 et l'USD/CHF glissant de 0.44% pour tomber à 0.9091.
Un rapport émanant des autorités suisses avait signalé dans la matinée que le produit intérieur brut du pays avait augmenté au troisième trimestre de manière conforme aux attentes, amenant grâce à ses 0.2% de croissance le taux de progression annuel à 1.3%.
Un autre indiquait pour sa part que l'activité manufacturière helvétique avait davantage diminué en novembre qu'il n'avait été craint, pour son troisième mois de recul consécutif.
Jun Azumi, le ministre des finances japonais, a annoncé de son côté que le gouvernement mettrait au point un quatrième ensemble de dépenses destinées à aider les entreprises à lutter contre les conséquences du renforcement du yen, sans toutefois en donner le détail des flux de capitaux impliqués.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.01% pour aller vers 1.0179, l'AUD/USD perdant 0.5% pour descendre à 1.0230 et le NZD/USD reculant de 0.34% pour toucher le fond à 0.7779.
Des informations gouvernementales du début de journée avaient fait savoir que les ventes au détail australiennes avaient moins diminué en septembre qu'il n'avait été craint, mais que les permis de construire avaient plongé sans crier gare en octobre.
Il a par ailleurs été établi que les prix des matières premières du pays avaient bondi de 18.1% en novembre, prolongeant les 19.6% du mois précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a grignoté 0.23% pour se situer à 79.32.
Une étude émanant de Chine a souligné de son côté que l'activité manufacturière du pays avait diminué le mois dernier pour la première fois en près de trois ans, attisant l'angoisse d'un ralentissement de l'économie mondiale.
Les Etats-Unis devaient publier aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements faire de même concernant le volume de l'activité des usines.
Lors de seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.35% pour grimper à 1.3494.
L'Espagne a atteint le total des 3.75 milliards qu'elle visait, tout en restant sous la barre fatidique des 7%, le coût moyen de ses emprunts à cinq ans s'étant établi à 5.54%, contre 4.84% début novembre.
La France a quand à elle émis pour 4.5 milliards d'euros de dettes, comprenant 1.57 milliards de bons du trésor à dix ans, à un taux moyen de 3.18%, contre 3.22% lors d'un évènement similaire du mois dernier.
L'enthousiasme des observateurs s'était auparavant trouvé douché par l'affirmation de Mario Draghi, nouveau président de la Banque Centrale Européenne, selon laquelle les risques de baisse des perspectives économiques avaient augmenté.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.12% pour se hisser à 1.5721.
Le devise de la Grande-Bretagne demeurait vulnérable après qu'une étude ait auparavant montré que l'activité manufacturière britannique avait diminué en novembre pour le second mois d'affilée.
Le yen a par ailleurs légèrement subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY arrachant 0.11% pour se retrouver à 77.7 et l'USD/CHF glissant de 0.44% pour tomber à 0.9091.
Un rapport émanant des autorités suisses avait signalé dans la matinée que le produit intérieur brut du pays avait augmenté au troisième trimestre de manière conforme aux attentes, amenant grâce à ses 0.2% de croissance le taux de progression annuel à 1.3%.
Un autre indiquait pour sa part que l'activité manufacturière helvétique avait davantage diminué en novembre qu'il n'avait été craint, pour son troisième mois de recul consécutif.
Jun Azumi, le ministre des finances japonais, a annoncé de son côté que le gouvernement mettrait au point un quatrième ensemble de dépenses destinées à aider les entreprises à lutter contre les conséquences du renforcement du yen, sans toutefois en donner le détail des flux de capitaux impliqués.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.01% pour aller vers 1.0179, l'AUD/USD perdant 0.5% pour descendre à 1.0230 et le NZD/USD reculant de 0.34% pour toucher le fond à 0.7779.
Des informations gouvernementales du début de journée avaient fait savoir que les ventes au détail australiennes avaient moins diminué en septembre qu'il n'avait été craint, mais que les permis de construire avaient plongé sans crier gare en octobre.
Il a par ailleurs été établi que les prix des matières premières du pays avaient bondi de 18.1% en novembre, prolongeant les 19.6% du mois précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a grignoté 0.23% pour se situer à 79.32.
Une étude émanant de Chine a souligné de son côté que l'activité manufacturière du pays avait diminué le mois dernier pour la première fois en près de trois ans, attisant l'angoisse d'un ralentissement de l'économie mondiale.
Les Etats-Unis devaient publier aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements faire de même concernant le volume de l'activité des usines.