Investing.com - Le dollar U.S. a poursuivi sa chute face à la plupart de ses concurrents, et notamment l'euro, ce jeudi après-midi, après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré que l'annonce des Transactions Monétaires Directes avait aidé ces dernières semaines à apaiser les tensions des marchés.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant la devise européenne, laquelle tutoyait un sommet de deux semaines, l'EUR/USD gagnant 0.57% pour grimper à 1.2979.
Le chef de la BCE a en effet estimé lors de la conférence de presse post-réunion que celle-ci était prête à procéder aux TMD quand les conditions seraient mises en place, réaffirmant qu'elle n'outrepassait pas son mandat en le faisant.
Il a toutefois déploré que l'économie du bloc subisse encore des risques baissiers, précisant que les indicateurs semblaient pointer vers une croissance faible pour le troisième trimestre.
Elle a donc sans surprise gardé son taux de base à son plancher historique précédent de 0.75%.
Le moral demeurait aussi soutenu par l'idée d'un recours imminent de l'Espagne à une bouée de sauvetage complète, permettant du coup le rachat de ses bons du trésor par l'autorité monétaire européenne, ce qui ferait ainsi diminuer les coûts de ses emprunts, et pourrait du coup apaiser les angoisses liées au problème du surendettement régional.
Le pays a du coup vu diminuer lors de son émission d'obligation de ce matin plonger les taux à cinq ans de ces dernières depuis les 6.45 de septembre jusqu'à 4.76%.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a d'autre part révélé avoir dénombré 367 000 nouveaux inscrits au chômage au cours de la semaine dernière, au lieu des 370 000 envisagés.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.39% pour se hisser à 1.6137.
Les dirigeants de la Banque d'Angleterre ont quand à eux opté sans surprise pour le maintien d'un taux de base de 0.5% et d'un volume d'acquisitions d'actifs de 375 milliards de GBP.
Le yen a par contre subi sa pression, l'USD/JPY grignotant 0.09% pour se retrouver à 78.55, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.48% pour tomber à 0.934.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été légèrement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.08% pour aller vers 0.9867, l'AUD/USD frémissant de 0.09% pour s'élever à 1.0222 et le NZD/USD engrangeant 0.15% pour culminer à 0.8205.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.44% pour se situer à 79.7.
Le compte-rendu détaillé du conseil de septembre de la Réserve Fédérale dont la publication était prévue en fin de journée faisait désormais l'objet de toutes les attentions.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant la devise européenne, laquelle tutoyait un sommet de deux semaines, l'EUR/USD gagnant 0.57% pour grimper à 1.2979.
Le chef de la BCE a en effet estimé lors de la conférence de presse post-réunion que celle-ci était prête à procéder aux TMD quand les conditions seraient mises en place, réaffirmant qu'elle n'outrepassait pas son mandat en le faisant.
Il a toutefois déploré que l'économie du bloc subisse encore des risques baissiers, précisant que les indicateurs semblaient pointer vers une croissance faible pour le troisième trimestre.
Elle a donc sans surprise gardé son taux de base à son plancher historique précédent de 0.75%.
Le moral demeurait aussi soutenu par l'idée d'un recours imminent de l'Espagne à une bouée de sauvetage complète, permettant du coup le rachat de ses bons du trésor par l'autorité monétaire européenne, ce qui ferait ainsi diminuer les coûts de ses emprunts, et pourrait du coup apaiser les angoisses liées au problème du surendettement régional.
Le pays a du coup vu diminuer lors de son émission d'obligation de ce matin plonger les taux à cinq ans de ces dernières depuis les 6.45 de septembre jusqu'à 4.76%.
Le département d'état au travail des Etats-Unis a d'autre part révélé avoir dénombré 367 000 nouveaux inscrits au chômage au cours de la semaine dernière, au lieu des 370 000 envisagés.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.39% pour se hisser à 1.6137.
Les dirigeants de la Banque d'Angleterre ont quand à eux opté sans surprise pour le maintien d'un taux de base de 0.5% et d'un volume d'acquisitions d'actifs de 375 milliards de GBP.
Le yen a par contre subi sa pression, l'USD/JPY grignotant 0.09% pour se retrouver à 78.55, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.48% pour tomber à 0.934.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été légèrement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.08% pour aller vers 0.9867, l'AUD/USD frémissant de 0.09% pour s'élever à 1.0222 et le NZD/USD engrangeant 0.15% pour culminer à 0.8205.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.44% pour se situer à 79.7.
Le compte-rendu détaillé du conseil de septembre de la Réserve Fédérale dont la publication était prévue en fin de journée faisait désormais l'objet de toutes les attentions.