Investing.com - Le dollar U.S. a retrouvé des couleurs contre l'euro et marchait sur des oeufs face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, dans l'expectative du compte-rendu de la dernière prise de cap de la Réserve Fédérale, le moral bénéficiant toujours de l'espoir d'une intervention imminente de la Banque Centrale Européenne destinée à juguler le problème du surendettement de l'Europe.
En seconde partie de séance européenne, il s'est extirpé d'une ornière de sept semaines creusée par la monnaie unique, l'EUR/USD perdant 0.18% pour tomber à 1.2449.
L'attention se concentrera cet après-midi sur la publication procès-verbal du conseil de la Fed tenu en août, en quête d'éclaircissements sur l'hypothèse d'un coup de pouce supplémentaire de sa part.
La monnaie unique gardait le soutien des bruits selon lesquels la BCE mettrait bientôt en place des mesures destinées à stabiliser le marché de l'endettement souverain de la région.
Jean-Claude Juncker, premier ministre du Luxembourg et chef du groupe des ministres des finances de la zone euro, étant d'autre part attendu aujourd'hui à Athènes afin de discuter avec son homologue grec Antonis Samaras à propos de sa demande de deux ans d'extension pour son programme d'ajustement fiscal.
Le billet vert s'est maintenu à proximité d'une ornière de trois mois en cédant du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.07% pour se hisser à 1.5796.
Adam Posen, membre du conseil directeur de la Banque d'Angleterre, avait quand à lui déclaré ce matin que l'économie britannique stagnait et qu'elle risquerait d'être affectée par une éventuelle aggravation de la situation du bloc euro à un point qu'il serait impossible à contrer pour une banque centrale nationale.
Le yen a aussi exercé sa pression, l'USD/JPY glissant de 0.05% pour se retrouver à 79.35.
Des chiffres officiels avaient montré en début de matinée que les exportations du Japon avaient été les plus faibles en six mois pour juillet, en raison de la crise de la dette de la zone euro et du ralentissement économique chinois.
Leur total s'est du coup élevé à 330 milliards de JPY, contre 300 auparavant, au lieu des 460 espérés.
Le franc suisse a fini par voir sa résistance craquer, l'USD/CHF gagnant 0.16% pour monter à 0.9645.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.32% pour aller vers 0.9924, l'AUD/USD reculant de 0.5% pour descendre à 1.0435 et le NZD/USD laissant échapper 0.24% pour toucher le fond à 0.8088.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.11% pour se situer à 82.02.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer leur volume des ventes de logements d'occasion en fin de journée.
En seconde partie de séance européenne, il s'est extirpé d'une ornière de sept semaines creusée par la monnaie unique, l'EUR/USD perdant 0.18% pour tomber à 1.2449.
L'attention se concentrera cet après-midi sur la publication procès-verbal du conseil de la Fed tenu en août, en quête d'éclaircissements sur l'hypothèse d'un coup de pouce supplémentaire de sa part.
La monnaie unique gardait le soutien des bruits selon lesquels la BCE mettrait bientôt en place des mesures destinées à stabiliser le marché de l'endettement souverain de la région.
Jean-Claude Juncker, premier ministre du Luxembourg et chef du groupe des ministres des finances de la zone euro, étant d'autre part attendu aujourd'hui à Athènes afin de discuter avec son homologue grec Antonis Samaras à propos de sa demande de deux ans d'extension pour son programme d'ajustement fiscal.
Le billet vert s'est maintenu à proximité d'une ornière de trois mois en cédant du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.07% pour se hisser à 1.5796.
Adam Posen, membre du conseil directeur de la Banque d'Angleterre, avait quand à lui déclaré ce matin que l'économie britannique stagnait et qu'elle risquerait d'être affectée par une éventuelle aggravation de la situation du bloc euro à un point qu'il serait impossible à contrer pour une banque centrale nationale.
Le yen a aussi exercé sa pression, l'USD/JPY glissant de 0.05% pour se retrouver à 79.35.
Des chiffres officiels avaient montré en début de matinée que les exportations du Japon avaient été les plus faibles en six mois pour juillet, en raison de la crise de la dette de la zone euro et du ralentissement économique chinois.
Leur total s'est du coup élevé à 330 milliards de JPY, contre 300 auparavant, au lieu des 460 espérés.
Le franc suisse a fini par voir sa résistance craquer, l'USD/CHF gagnant 0.16% pour monter à 0.9645.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.32% pour aller vers 0.9924, l'AUD/USD reculant de 0.5% pour descendre à 1.0435 et le NZD/USD laissant échapper 0.24% pour toucher le fond à 0.8088.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.11% pour se situer à 82.02.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer leur volume des ventes de logements d'occasion en fin de journée.