Investing.com - Les places d'Asie sont ressorties de l'ornière ce mardi matin, les japonaises en tête en raison de l'affaiblissement du yen, alors que l'angoisse d'une destabilisation des marchés découlant du plan de sauvetage chypriote controversé refluait.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait cependant 0.5%, le Hang Seng de Hong Kong gagnant 0.2% et le Nikkei 225 japonais 2% après avoir dégringolé hier de 2.7%.
Le moral est toutefois revenu grâce à des rumeurs selon lesquelles le gouvernement de Chypre serait en train de préparer une nouvelle proposition au sujet de la taxation des comptes en banque afin d'alléger le fardeau des petits épargnants.
Son parlement devrait se prononcer aujourd'hui à son sujet.
Les bourses de toutes l'Asie avaient fini en berne hier, le goût pour les valeurs audacieuses ayant subi un net revers après qu'il ait été annoncé que tous les clients des banques de l'île devraient payer une taxe unique sur leurs fonds déposés en l'échange des 10 milliards d'euros de fonds de secours.
Sydney n'a pas réussi à se redresser, demeurant proche d'un creux mensuel en raison des craintes au sujet de l'économie mondiale.
TPG Telecommunications, premier fournisseur d'accès à Internet du pays, faisant cependant l'actualité, empochant 4.9% après avoir rapporté un bond de 41% de ses bénéfices nets en 2012.
Hong Kong s'est mieux rétablie, pour sortir du gouffre de trois mois établi la veille, mais ce sursaut deeurait limité par les incertitudes concernant la Chine, seconde économie mondiale.
China Resources Power Holdings bondissait tout de même de 8.7% grâce à la revendication de 68% de profits supplémentaires au cours de l'année dernière.
Samsonite International n'était pas en reste avec 4.5% grâce à des résultats dépassant là aussi les espérances.
Le poids lourd HSBC Holdings a aussi contribué à la tendance, s'élevant de 0.6%, alors qu'il compte pour 15% dans l'indice local, dont il est le constituant primordial.
Tokyo se remettait pour sa part de sa pire déconvenue journalière depuis mai, le déclin de la devise locale par rapport au dollar U.S. favorisant ses grands exportateurs.
Les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvent mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, augmentant la valeur des devises obtenues à l'étranger, et donc les revenus à l'exportation.
Les constructeurs automobiles Honda et Mazda avançaient ainsi respectivement de 2.5 et 5.6%, Canon et Sony leur emboîtant le pas avec 3.1 et 6.8%.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, engrangeant 1.8%, tandis que le Mizuho Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group faisaient de même avec 1.5 et 1.7%.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 18% depuis le début de l'année, pour culminer à son altitude la plus élevée depuis septebre 2008, le moral reprenant de la vigueur alors que l'attente de mesures monétaires plus agressives battait son plein suite à la nomination de Haruhiko Kuroda à la tête de la Banque du Japon.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui sans grands bouleversements, les yeux braqués sur le sauvetage chypriote.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0.1%, celles sur le CAC 40 français tablant sur un faux pas de 0.1%, celles sur le DAX 30 allemand aussi, et celles sur le FTSE 100 britannique restant neutres.
Le centre de recherches économiques ZEW comptait bientôt faire connaître son indice crucial du moral allemand, après quoi les autorités américaines annonceront enfin le nombre des permis de construire qu'elles auront accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait cependant 0.5%, le Hang Seng de Hong Kong gagnant 0.2% et le Nikkei 225 japonais 2% après avoir dégringolé hier de 2.7%.
Le moral est toutefois revenu grâce à des rumeurs selon lesquelles le gouvernement de Chypre serait en train de préparer une nouvelle proposition au sujet de la taxation des comptes en banque afin d'alléger le fardeau des petits épargnants.
Son parlement devrait se prononcer aujourd'hui à son sujet.
Les bourses de toutes l'Asie avaient fini en berne hier, le goût pour les valeurs audacieuses ayant subi un net revers après qu'il ait été annoncé que tous les clients des banques de l'île devraient payer une taxe unique sur leurs fonds déposés en l'échange des 10 milliards d'euros de fonds de secours.
Sydney n'a pas réussi à se redresser, demeurant proche d'un creux mensuel en raison des craintes au sujet de l'économie mondiale.
TPG Telecommunications, premier fournisseur d'accès à Internet du pays, faisant cependant l'actualité, empochant 4.9% après avoir rapporté un bond de 41% de ses bénéfices nets en 2012.
Hong Kong s'est mieux rétablie, pour sortir du gouffre de trois mois établi la veille, mais ce sursaut deeurait limité par les incertitudes concernant la Chine, seconde économie mondiale.
China Resources Power Holdings bondissait tout de même de 8.7% grâce à la revendication de 68% de profits supplémentaires au cours de l'année dernière.
Samsonite International n'était pas en reste avec 4.5% grâce à des résultats dépassant là aussi les espérances.
Le poids lourd HSBC Holdings a aussi contribué à la tendance, s'élevant de 0.6%, alors qu'il compte pour 15% dans l'indice local, dont il est le constituant primordial.
Tokyo se remettait pour sa part de sa pire déconvenue journalière depuis mai, le déclin de la devise locale par rapport au dollar U.S. favorisant ses grands exportateurs.
Les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvent mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, augmentant la valeur des devises obtenues à l'étranger, et donc les revenus à l'exportation.
Les constructeurs automobiles Honda et Mazda avançaient ainsi respectivement de 2.5 et 5.6%, Canon et Sony leur emboîtant le pas avec 3.1 et 6.8%.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, engrangeant 1.8%, tandis que le Mizuho Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group faisaient de même avec 1.5 et 1.7%.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 18% depuis le début de l'année, pour culminer à son altitude la plus élevée depuis septebre 2008, le moral reprenant de la vigueur alors que l'attente de mesures monétaires plus agressives battait son plein suite à la nomination de Haruhiko Kuroda à la tête de la Banque du Japon.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui sans grands bouleversements, les yeux braqués sur le sauvetage chypriote.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0.1%, celles sur le CAC 40 français tablant sur un faux pas de 0.1%, celles sur le DAX 30 allemand aussi, et celles sur le FTSE 100 britannique restant neutres.
Le centre de recherches économiques ZEW comptait bientôt faire connaître son indice crucial du moral allemand, après quoi les autorités américaines annonceront enfin le nombre des permis de construire qu'elles auront accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers.