Investing.com - Les options sur le brut étaient en nette difficulté ce lundi, dégringolant au plus bas des quatre mois écoulés après que des chiffres officiels aient pointé un produit intérieur brut chinois inférieur aux espérances, faisant planer une ombre sur la croissannce mondiale.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 89,31 USD le baril en fin de séance asiatique, s'effondrant de 1,8%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 88,45 USD, leur cours le plus bas depuis le 24 décembre, avec un passage à vide de 2,7%.
L'économie de la Chine n'a en effet gonflé que de 7,7% d'une année sur l'autre du début janvier à la fin mars, suite au 7,9% enregistrés pour le trimestre précédent, alors que 8% étaient espérés
Il était également à noter que la production industrielle du pays avait aussi déçu les attentes, ne se renforçant que de 8,9% le mois passé, au lieu des 10% prédits suite aux 9,9% de février.
Cette contre-performance a du coup alimenté l'angoisse d'une perte de vitesse de l'économie nationale, anéantissant out espoir de regain de consommation de la part du second consommateur mondial.
Il avait aussi été montré vendredi que les ventes auprès des particuliers américains avaient été érodées de 0,4% en mars, leur pire déconvenue en neuf mois, alors qu'un frémissement de 0,1% était envisagé.
Cette déception a du coup laissé douter de l'appétit du premier demandeur d'énergie de la planète.
L'appétit incertain des Etats-Unis pour l'or noir était faisait déjà des gorges chaudes après qu'une étude gouvernementale ait constaté la semaine passée que les réserves nationales avaient grimpé la semaine passée à leur plus haut niveau depuis juillet 1990.
L'Agence Internationale de l'Energie avait pour sa part revu jeudi ses prévisions pour la consommation du globe de l'année 2013 pour le troisième mois consécutif, retirant 45.000 barils quotidiens pour les amener à 795.000, invoquant le peu d'entrain de l'Europe.
L'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole avait fait de même, révisant les siennes à la baisse de 40.000 barils quotidiens, pour les amener à 800.000 par jour pour l'année en cours.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mai ont perdu 1,6% pour chuter à 100,85 USD du baril dans le même temps, soit 11,54 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur écart avait atteint en début de semaine sa plus faible valeur en quinze mois, en raison de la remontée des prévisions d'extraction en Mer du Nord, et l'assombrissement de la situation économique européenne.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 89,31 USD le baril en fin de séance asiatique, s'effondrant de 1,8%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 88,45 USD, leur cours le plus bas depuis le 24 décembre, avec un passage à vide de 2,7%.
L'économie de la Chine n'a en effet gonflé que de 7,7% d'une année sur l'autre du début janvier à la fin mars, suite au 7,9% enregistrés pour le trimestre précédent, alors que 8% étaient espérés
Il était également à noter que la production industrielle du pays avait aussi déçu les attentes, ne se renforçant que de 8,9% le mois passé, au lieu des 10% prédits suite aux 9,9% de février.
Cette contre-performance a du coup alimenté l'angoisse d'une perte de vitesse de l'économie nationale, anéantissant out espoir de regain de consommation de la part du second consommateur mondial.
Il avait aussi été montré vendredi que les ventes auprès des particuliers américains avaient été érodées de 0,4% en mars, leur pire déconvenue en neuf mois, alors qu'un frémissement de 0,1% était envisagé.
Cette déception a du coup laissé douter de l'appétit du premier demandeur d'énergie de la planète.
L'appétit incertain des Etats-Unis pour l'or noir était faisait déjà des gorges chaudes après qu'une étude gouvernementale ait constaté la semaine passée que les réserves nationales avaient grimpé la semaine passée à leur plus haut niveau depuis juillet 1990.
L'Agence Internationale de l'Energie avait pour sa part revu jeudi ses prévisions pour la consommation du globe de l'année 2013 pour le troisième mois consécutif, retirant 45.000 barils quotidiens pour les amener à 795.000, invoquant le peu d'entrain de l'Europe.
L'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole avait fait de même, révisant les siennes à la baisse de 40.000 barils quotidiens, pour les amener à 800.000 par jour pour l'année en cours.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mai ont perdu 1,6% pour chuter à 100,85 USD du baril dans le même temps, soit 11,54 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur écart avait atteint en début de semaine sa plus faible valeur en quinze mois, en raison de la remontée des prévisions d'extraction en Mer du Nord, et l'assombrissement de la situation économique européenne.