Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture sur la défensive ce vendredi après-midi, dans l'expectative des chiffres de l'emploi aux Etats-Unis, des informations récentes ayant peint un tableau inquiétant de l'état de la zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,49%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,52% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,60%.
La circonspection était à l'ordre du jour, après que le département d'état au travail américain ait dénombré 28.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 30 mars, pour une augmentation hebdomadaire de 385.000 après correction saisonnière, le plus élevé des 16 semaines écoulées, alors qu'une diminution de 7.000 pour les amener à 350.000 était redoutée.
Le total de la semaine précédente s'était situé à 357.000, sans besoin d'être révisé.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, avait exprimé hier son inquiétude au sujet des perspectives économiques du bloc euro, estimant que la relance attendue au second semestre était sujette à des "risques de baisse".
La technologie était sous les feux de l'actualité, après que F5 Networks ait rabaissé ses prévisions pour le second trimestre, entrainant une débandade de 17,06% en pré-ouverture.
Le secteur s'en est ressenti, Cisco Systems, premier fournisseur d'infrastructures pour réseaux informatiques, dérapant de 2,23% dans le même temps, Juniper Networs faisant pire avec 4,30%.
Les compagnies aériennes étaient aussi sur la sellette, en raison des craintes selon lesquelles le spectre d'une épidémie de grippe aviaire venue de Chine et ayant pour l'instant causé six décès, pourrait nuire aux voyages.
Le centre de contrôle et de prévention des infection américain avait déclaré hier surveiller cette nouvelle souche et avoir commencé à travailler sur un vaccin en cas de besoin.
Sur le front de la grande distribution, le fabricant de vêtements Hanesbrands bondissait de 1,77%, arès avoir déclaré dans la soirée envisager pour la première fois redistribuer un dividende de 20 cents par action en juin.
Walt Disney était aussi sur le devant de la scène, sur fond de rumeurs selon lesquelles des licenciements pourraient débuter au sein de ses studios et de sa division produits, entamant une nouvelle étape dans la réduction des coûts découlant d'une restructuration de la compagnie entière.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1,26%, le CAC 40 français de 1,47%, le DAX 30 allemand de 1,71% et le FTSE 100 britannique de 1,22%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong et les bourses chinoises continentales demeuraient closes pour cause de jour férié et le Nikkei 225 japonais s'élevait de 1,58%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec les informations officielles sur la masse salariale, la proportion de chômeurs, les revenus horaires moyens et le solde du commerce extérieur.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,49%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,52% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,60%.
La circonspection était à l'ordre du jour, après que le département d'état au travail américain ait dénombré 28.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 30 mars, pour une augmentation hebdomadaire de 385.000 après correction saisonnière, le plus élevé des 16 semaines écoulées, alors qu'une diminution de 7.000 pour les amener à 350.000 était redoutée.
Le total de la semaine précédente s'était situé à 357.000, sans besoin d'être révisé.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, avait exprimé hier son inquiétude au sujet des perspectives économiques du bloc euro, estimant que la relance attendue au second semestre était sujette à des "risques de baisse".
La technologie était sous les feux de l'actualité, après que F5 Networks ait rabaissé ses prévisions pour le second trimestre, entrainant une débandade de 17,06% en pré-ouverture.
Le secteur s'en est ressenti, Cisco Systems, premier fournisseur d'infrastructures pour réseaux informatiques, dérapant de 2,23% dans le même temps, Juniper Networs faisant pire avec 4,30%.
Les compagnies aériennes étaient aussi sur la sellette, en raison des craintes selon lesquelles le spectre d'une épidémie de grippe aviaire venue de Chine et ayant pour l'instant causé six décès, pourrait nuire aux voyages.
Le centre de contrôle et de prévention des infection américain avait déclaré hier surveiller cette nouvelle souche et avoir commencé à travailler sur un vaccin en cas de besoin.
Sur le front de la grande distribution, le fabricant de vêtements Hanesbrands bondissait de 1,77%, arès avoir déclaré dans la soirée envisager pour la première fois redistribuer un dividende de 20 cents par action en juin.
Walt Disney était aussi sur le devant de la scène, sur fond de rumeurs selon lesquelles des licenciements pourraient débuter au sein de ses studios et de sa division produits, entamant une nouvelle étape dans la réduction des coûts découlant d'une restructuration de la compagnie entière.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1,26%, le CAC 40 français de 1,47%, le DAX 30 allemand de 1,71% et le FTSE 100 britannique de 1,22%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong et les bourses chinoises continentales demeuraient closes pour cause de jour férié et le Nikkei 225 japonais s'élevait de 1,58%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec les informations officielles sur la masse salariale, la proportion de chômeurs, les revenus horaires moyens et le solde du commerce extérieur.