Investing.com - Les options sur le brut étaient en berne lors des rares échanges de fin d'année de ce mardi, sur fond de craintes concernant les perspectives économiques mondiales, tout en demeurant soutenues par la possibilité d'une perturbation des livraisons iraniennes.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 99.5 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.36%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 99.38 USD, leur cours le plus bas des deux derniers jours de cotation, avec 0.48% de fléchissement.
Les places de la City demeurant closes pour cause de jour férié, et de nombreux acteurs des marchés demeurant en vacances de fin d'année ont contribué à affaiblir le volume des échanges, entraînant des transactions peu fournies.
Cette régression survenait alors que persistaient les craintes liées à une éventuelle décgradation collective de la zone euro, l'agence Standard & Poor's n'ayant toujours pas annoncé l'éventuel rabaissement de sa notation des 15 pays qu'elle a placés sous une perspective négative.
Deux sources gouvernementales différentes ont déclaré vendredi que celui-ci ne serait pas révélé avant janvier.
L'évolution de la situation régionale a dominé ces derniers mois la tonalité des échanges sur le marché pétrolier, en raison de la crainte que le problème du surendettement régional ne déclenche un ralentissement économique général pouvant freiner la demande.
La zone euro était, d'après les informations de British Petroleum, responsable de près de 16% de la consommation d'or noir mondiale en 2010.
Les cours demeuraient toutefois soutenus par l'angoisse d'une interruption des exportations de pétrole de l'Iran, après que la république islamique ait entamé samedi dix jours de manoeuvres navales dans le Détroit d'Ormuz.
Celui-ci, par lequel transite d'après l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis environ 33% du pétrole transporté en mer, est une des voies d'approvisionnement en or noir les pus cruciales du monde, situé entre Oman et l'Iran.
Ce dernier demeure le quatrième extracteur d'or noir du monde, avec près de 5% du pétrole mondial en 2011, et l'idée d'une interruption importante de ses livraisons a contribué à tirer les prix de ces dernières semaines vers le haut.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont gagné 0.15% pour grimper à 108.17 USD du baril dans le même temps, soit 8.67 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur écart est nettement retombé depuis le record à 27.88 USD établi à la mi-octore, en raison du retour attendu de la production de la Libye.
Nuri Berruien, directeur de la National Oil Corporation émanant de l'état libyen, a déclaré hier que le pays extrayait actuellement plus d'un million de barils par jour, le pays ayant la capacité d'en fournir presque 1.6 millions de barils par jour avant que l'clatement de la guerre civile en début d'année ne mette fin à presque toutes ses exportations de brut.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 99.5 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.36%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 99.38 USD, leur cours le plus bas des deux derniers jours de cotation, avec 0.48% de fléchissement.
Les places de la City demeurant closes pour cause de jour férié, et de nombreux acteurs des marchés demeurant en vacances de fin d'année ont contribué à affaiblir le volume des échanges, entraînant des transactions peu fournies.
Cette régression survenait alors que persistaient les craintes liées à une éventuelle décgradation collective de la zone euro, l'agence Standard & Poor's n'ayant toujours pas annoncé l'éventuel rabaissement de sa notation des 15 pays qu'elle a placés sous une perspective négative.
Deux sources gouvernementales différentes ont déclaré vendredi que celui-ci ne serait pas révélé avant janvier.
L'évolution de la situation régionale a dominé ces derniers mois la tonalité des échanges sur le marché pétrolier, en raison de la crainte que le problème du surendettement régional ne déclenche un ralentissement économique général pouvant freiner la demande.
La zone euro était, d'après les informations de British Petroleum, responsable de près de 16% de la consommation d'or noir mondiale en 2010.
Les cours demeuraient toutefois soutenus par l'angoisse d'une interruption des exportations de pétrole de l'Iran, après que la république islamique ait entamé samedi dix jours de manoeuvres navales dans le Détroit d'Ormuz.
Celui-ci, par lequel transite d'après l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis environ 33% du pétrole transporté en mer, est une des voies d'approvisionnement en or noir les pus cruciales du monde, situé entre Oman et l'Iran.
Ce dernier demeure le quatrième extracteur d'or noir du monde, avec près de 5% du pétrole mondial en 2011, et l'idée d'une interruption importante de ses livraisons a contribué à tirer les prix de ces dernières semaines vers le haut.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour février ont gagné 0.15% pour grimper à 108.17 USD du baril dans le même temps, soit 8.67 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur écart est nettement retombé depuis le record à 27.88 USD établi à la mi-octore, en raison du retour attendu de la production de la Libye.
Nuri Berruien, directeur de la National Oil Corporation émanant de l'état libyen, a déclaré hier que le pays extrayait actuellement plus d'un million de barils par jour, le pays ayant la capacité d'en fournir presque 1.6 millions de barils par jour avant que l'clatement de la guerre civile en début d'année ne mette fin à presque toutes ses exportations de brut.