Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à tous ses plus gros concurrents ce jeudi, après que la Réserve Fédérale ait fait savoir qu'elle conserverait des taux d'intérêt proches de zéro pour au moins deux ans, étouffant la demande pour le billet vert.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.24% pour grimper à 1.3139.
En conclusion de ses deux jours de réunion d'orientation de la politique monétaire s'étant achevés mercredi, le comité fédéral des marchés ouverts a donc affirmé que la situation économique "imposera des taux exceptionnellement bas pour les fonds fédéraux, au moins jusqu'à fin 2014".
La banque centrale des Etats-Unis s'était auparavant engagée à garder des taux d'intérêt presque nuls jusqu'à mi-2013 au moins.
Ben Bernanke, son président, a ajouté qu'il "y a des arguments justifiant davantage d'interventionnisme", et même précisé que l'achat d'obligations était "une option certainement envisageable", laissant entendre qu'une troisième série d'assouplissements quantitatifs n'était pas à exclure.
En zone euro, les négociations concernant les échanges de dettes entre la Grèce et ses créanciers devaient reprendre à Athènes en cours de journée.
L'Italie comptait quand à elle émettre jusqu'à 5 milliards d'euros de dettes gouvernementales à court terme, tout en prérvoyant une vente d'obligations à long terme pour lundi.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.25% pour se hisser à 1.5697.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.23% pour se retrouver à 77.6 et l'USD/CHF glissant de 0.3% pour tomber à 0.9184.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.42% pour aller vers 1.0001, l'AUD/USD raflant 0.65% pour monter à 1.0666 et le NZD/USD engrangeant 0.55% pour culminer à 0.8212.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait de son côté annoncé en début de matinée que son taux d'intérêt directeur demeurerait comme prévu à 2.5%, et Alan Bollard, son gouverneur, estimant qu'il était prudent de les stabiliser face aux incertitudes pesant sur les perspectives économiques mondiales.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.4% pour se situer à 79.56.
Les Etats-Unis fourniront pour sa part dans l'après-midi leurs résultats officiels concernant les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les commandes de biens durables.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.24% pour grimper à 1.3139.
En conclusion de ses deux jours de réunion d'orientation de la politique monétaire s'étant achevés mercredi, le comité fédéral des marchés ouverts a donc affirmé que la situation économique "imposera des taux exceptionnellement bas pour les fonds fédéraux, au moins jusqu'à fin 2014".
La banque centrale des Etats-Unis s'était auparavant engagée à garder des taux d'intérêt presque nuls jusqu'à mi-2013 au moins.
Ben Bernanke, son président, a ajouté qu'il "y a des arguments justifiant davantage d'interventionnisme", et même précisé que l'achat d'obligations était "une option certainement envisageable", laissant entendre qu'une troisième série d'assouplissements quantitatifs n'était pas à exclure.
En zone euro, les négociations concernant les échanges de dettes entre la Grèce et ses créanciers devaient reprendre à Athènes en cours de journée.
L'Italie comptait quand à elle émettre jusqu'à 5 milliards d'euros de dettes gouvernementales à court terme, tout en prérvoyant une vente d'obligations à long terme pour lundi.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.25% pour se hisser à 1.5697.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.23% pour se retrouver à 77.6 et l'USD/CHF glissant de 0.3% pour tomber à 0.9184.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.42% pour aller vers 1.0001, l'AUD/USD raflant 0.65% pour monter à 1.0666 et le NZD/USD engrangeant 0.55% pour culminer à 0.8212.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait de son côté annoncé en début de matinée que son taux d'intérêt directeur demeurerait comme prévu à 2.5%, et Alan Bollard, son gouverneur, estimant qu'il était prudent de les stabiliser face aux incertitudes pesant sur les perspectives économiques mondiales.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.4% pour se situer à 79.56.
Les Etats-Unis fourniront pour sa part dans l'après-midi leurs résultats officiels concernant les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les commandes de biens durables.