Investing.com - Les bourses européennes étaient en difficulté ce mardi après-midi, après que les prédictions de croissance de la région aient été rabaissée, confortant cependant l'hypothèse d'une réduction des coûts des emprunts de son autorité monétaire.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,87%, le CAC 40 français de 0,80%, et le DAX 30 allemand de 0,52%.
La Commission Européenne a en effet revu aujourd'hui à la baisse ses prévisions de croissance de la zone euro, qualifiant son taux de chômage d'inacceptablement élevé.
Elle s'attend désormais à 1,1% pour 2014 au lieu de 1,2% envisagés auparavant, et à 1,7% pour 2015.
Les cours avaient grimpé hier après qu'il ait été montré que l'activité manufacturière régionale avait dépassé les espérances le mois passé.
La prudence restait malgré tout de mise à l'avant-veille du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, en raison de rumeurs de plus en plus pressantes d'un rabotage de son taux directeur, afin de préserver la relance de l'économie dont elle a la charge.
La finance demeurait sur la défensive, la Deutsche Bank allemande sombrant de 1,92%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,24 et 2,06%.
La périphérie avait perdu son sourire matinal, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 1,40 et 1,52%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,94 et 1,12%.
A Francftort, le constructeur automobile BMW dérapait de 3,71% suite à l'aveu d'un coup de frein depuis 2 vers 1,93 milliards d'euros de ses bénéfices au troisième trimestre, bien que ceux-ci demeurent supérieurs aux estimations.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, le suisse Novartis s'élevait cependant de 0,50%, alors qu'il se disait qu'il estimait sa branche centrée sur la santé animale être la meilleure candidate à la vente.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, fléchissait de 0,59%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux, malgré les plus belles performances en 16 ans de ses prestataires de services, augurant de jours meilleurs.
HSBC Holdings plongeait ainsi de 1,41% et Lloyds Banking de 2,04%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Barclays se plaçaient en queue de peloton avec 2,55 et 2,95%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières gardaient cependant la forme, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 1,72 et 2,33%, leurs rivaux Antofagasta et Glencore Xstrata n'étant pas en reste avec 1,95 et 2,32%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,26%.
Le ministère de l'emploi de l'Espagne avait pour sa part décompté en début de journée 87.000 inscriptions supplémentaires au chômage après ajustement saisonnier, au lieu des 31.300 déjà redoutées.
Cette contre-performance constituait du coup une nette aggravation des 25.600 ayant précédé.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec son raport sur l'activité tertiaire américaine.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,87%, le CAC 40 français de 0,80%, et le DAX 30 allemand de 0,52%.
La Commission Européenne a en effet revu aujourd'hui à la baisse ses prévisions de croissance de la zone euro, qualifiant son taux de chômage d'inacceptablement élevé.
Elle s'attend désormais à 1,1% pour 2014 au lieu de 1,2% envisagés auparavant, et à 1,7% pour 2015.
Les cours avaient grimpé hier après qu'il ait été montré que l'activité manufacturière régionale avait dépassé les espérances le mois passé.
La prudence restait malgré tout de mise à l'avant-veille du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, en raison de rumeurs de plus en plus pressantes d'un rabotage de son taux directeur, afin de préserver la relance de l'économie dont elle a la charge.
La finance demeurait sur la défensive, la Deutsche Bank allemande sombrant de 1,92%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,24 et 2,06%.
La périphérie avait perdu son sourire matinal, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 1,40 et 1,52%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,94 et 1,12%.
A Francftort, le constructeur automobile BMW dérapait de 3,71% suite à l'aveu d'un coup de frein depuis 2 vers 1,93 milliards d'euros de ses bénéfices au troisième trimestre, bien que ceux-ci demeurent supérieurs aux estimations.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, le suisse Novartis s'élevait cependant de 0,50%, alors qu'il se disait qu'il estimait sa branche centrée sur la santé animale être la meilleure candidate à la vente.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, fléchissait de 0,59%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux, malgré les plus belles performances en 16 ans de ses prestataires de services, augurant de jours meilleurs.
HSBC Holdings plongeait ainsi de 1,41% et Lloyds Banking de 2,04%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Barclays se plaçaient en queue de peloton avec 2,55 et 2,95%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières gardaient cependant la forme, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 1,72 et 2,33%, leurs rivaux Antofagasta et Glencore Xstrata n'étant pas en reste avec 1,95 et 2,32%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,26%.
Le ministère de l'emploi de l'Espagne avait pour sa part décompté en début de journée 87.000 inscriptions supplémentaires au chômage après ajustement saisonnier, au lieu des 31.300 déjà redoutées.
Cette contre-performance constituait du coup une nette aggravation des 25.600 ayant précédé.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec son raport sur l'activité tertiaire américaine.