Investing.com - Le dollar U.S. était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi, alors que la crainte d'un défaut de paiement américain et des inquiétudes liées à la crise de la dette de la zone euro causaient une vague de frilosité.
En première partie de séance européenne, l'euro a en effet fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.71% pour tomber à 1.4055, son pire niveau en trois jours.
Les ministres des finances européens devaient se rencontrer jeudi afin d'aborder d'après le président du Conseil Européen Herman von Rompuy "la stabilité financière de la zone euro dans son ensemble, et le futur financement du plan grec".
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.3% pour chuter à 1.6084.
Il a toutefois subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.1% pour se reprendre pied à 79.05 et l'USD/CHF se laisant arracher 0.13% pour se situer à 0.8142.
Les places boursières de tokyo sont restées closes en célébration du jour de la mer, diminuant fortement le volume des transactions.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.47% pour monter à 0.9583, l'AUD/USD cédant 0.3% pour se retrouver à 1.6081 et le NZD/USD hoquetant de 0.04% pour toucher le fond à 0.8453.
L'agence Statistics New Zealand avait auparavant indiqué dans une étude que l'inflation des prix à la consommation du pays était montée à 1% pour le second trimestre 2011, au lieu des 0.8% attendus.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.63% pour caracoler à 75.88, son plus haut niveau en quatre jours.
Barack Obama, président des Etats-Unis, a déclaré en fin de semaine que le gouvernement américain n'avait "plus beaucoup de temps" pour conclure les négociations concernant la remontée du plafond d'endettement national au-dessus des 14.3 billions d'USD actuels avant la date limite du 2 août.
Les agences de notation Standard & Poor's et Moody's avaient toutes deux prévenu jeudi soir que la première économie mondiale connaîtrait une dégradation de sa notation monétaire si elle devait échouer à remonter sa limite d'endettement maximale.
Le pays a également prévu de publier en cours de journée un rappport gouvernemental sur l'équilibre entre investissements nationaux et étrangers.
En première partie de séance européenne, l'euro a en effet fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.71% pour tomber à 1.4055, son pire niveau en trois jours.
Les ministres des finances européens devaient se rencontrer jeudi afin d'aborder d'après le président du Conseil Européen Herman von Rompuy "la stabilité financière de la zone euro dans son ensemble, et le futur financement du plan grec".
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.3% pour chuter à 1.6084.
Il a toutefois subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.1% pour se reprendre pied à 79.05 et l'USD/CHF se laisant arracher 0.13% pour se situer à 0.8142.
Les places boursières de tokyo sont restées closes en célébration du jour de la mer, diminuant fortement le volume des transactions.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.47% pour monter à 0.9583, l'AUD/USD cédant 0.3% pour se retrouver à 1.6081 et le NZD/USD hoquetant de 0.04% pour toucher le fond à 0.8453.
L'agence Statistics New Zealand avait auparavant indiqué dans une étude que l'inflation des prix à la consommation du pays était montée à 1% pour le second trimestre 2011, au lieu des 0.8% attendus.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.63% pour caracoler à 75.88, son plus haut niveau en quatre jours.
Barack Obama, président des Etats-Unis, a déclaré en fin de semaine que le gouvernement américain n'avait "plus beaucoup de temps" pour conclure les négociations concernant la remontée du plafond d'endettement national au-dessus des 14.3 billions d'USD actuels avant la date limite du 2 août.
Les agences de notation Standard & Poor's et Moody's avaient toutes deux prévenu jeudi soir que la première économie mondiale connaîtrait une dégradation de sa notation monétaire si elle devait échouer à remonter sa limite d'endettement maximale.
Le pays a également prévu de publier en cours de journée un rappport gouvernemental sur l'équilibre entre investissements nationaux et étrangers.