Investing.com - Le dollar U.S. demeurait en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, le volume des transactions ayant toutes les chances de se montrer restreint en raison des fêtes de fin d'année, tandis que l'épée de Damoclès d'une dégradation collective des notes de la zone euro demeurait suspendue.
En seconde partie de séance européenne, il fléchissait devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.16% pour grimper à 1.3069.
La monnaie unique demeurait sur la sellette après que la forte demande enregistrée par la Banque Centrale Européenne pour sa série de prêts triennaux jamais vus auparavant ait laissé à penser que les établissements bancaires d'Europe estimaient que les capitaux demeureraint rares en 2012.
Mario Monti, premier ministre de l'Italie, devrait pour sa part lancer un vote parlementaire concernant l'approbation d'un plan d'austérité d'urgence permettant de dégager 33 milliards d'euros très attendus.
Cette série de mesures a été approuvée la semaine passée par la chambre des représentants et ne devrait pas rencontrer trop de résistance de la part du sénat.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.15% pour se hisser à 1.57.
Une étude émanant du bureau national des statistiques britannique avait auparavant indiqué que le produit intérieur brut national avait augmenté de 0.6% au troisième trimestre, dépassant ainsi les 0.5% espérés.
Le même organisme déplorait dans un autre rapport que le déficit du commerce extérieur s'était élargi jusqu'à 15.2 milliards de GBP sur la même période, s'élevant vers un pic jamais vu depuis la mise en place de la mesure en 1955, alors que des experts pensaient les voir se situer à 5.5 milliards de GBP.
Le yen et le franc suisse toutefois subi sa pression, l'USD/JPY grignotant 0.02% pour se retrouver à 78.08 et l'USD/CHF arrachant 0.04% pour monter à 0.9361.
Eveline Widmer-Schlumpf, ministre des finances de la Suisse, a déclaré ce matin qu'un groupe d'étude conjoint du gouvernement et de la banque centrale étudiait des possibilités comme le contrôle des capitaux et des taux d'intérêt négatifs afin de réduire la force de la devise de la confédération.
La banque centrale japonaise avait fait savoir dans son bulletin mensuel que la reprise de l'économie nationale avait stagné, le moral des entreprises ayant décliné suite à la faiblesse de la demande de la part des pays étrangers.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été nettement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.21% pour aller vers 1.0245, l'AUD/USD raflant 0.29% pour s'élever à 1.0134 et le NZD/USD engrangeant 0.25% pour culminer à 0.7724.
Des informations officielles avaient signalé ce matin que le PIB de la Nouvelle-Zélande avait raflé 0.8% au troisième trimestre, dépassant es 0.6% prévus, après n'avoir arraché que 0.1% n'ayant pas besoin d'être révisés lors du second.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.21% pour se situer à 80.18.
Les Etats-Unis devaient quand à eux rendre dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres révisés de leur PIB trimestriel, tandis que l'université du Michigan dévoilera ses informations concernant le moral des consommateurs ainsi que l'inflation attendue.
En seconde partie de séance européenne, il fléchissait devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.16% pour grimper à 1.3069.
La monnaie unique demeurait sur la sellette après que la forte demande enregistrée par la Banque Centrale Européenne pour sa série de prêts triennaux jamais vus auparavant ait laissé à penser que les établissements bancaires d'Europe estimaient que les capitaux demeureraint rares en 2012.
Mario Monti, premier ministre de l'Italie, devrait pour sa part lancer un vote parlementaire concernant l'approbation d'un plan d'austérité d'urgence permettant de dégager 33 milliards d'euros très attendus.
Cette série de mesures a été approuvée la semaine passée par la chambre des représentants et ne devrait pas rencontrer trop de résistance de la part du sénat.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.15% pour se hisser à 1.57.
Une étude émanant du bureau national des statistiques britannique avait auparavant indiqué que le produit intérieur brut national avait augmenté de 0.6% au troisième trimestre, dépassant ainsi les 0.5% espérés.
Le même organisme déplorait dans un autre rapport que le déficit du commerce extérieur s'était élargi jusqu'à 15.2 milliards de GBP sur la même période, s'élevant vers un pic jamais vu depuis la mise en place de la mesure en 1955, alors que des experts pensaient les voir se situer à 5.5 milliards de GBP.
Le yen et le franc suisse toutefois subi sa pression, l'USD/JPY grignotant 0.02% pour se retrouver à 78.08 et l'USD/CHF arrachant 0.04% pour monter à 0.9361.
Eveline Widmer-Schlumpf, ministre des finances de la Suisse, a déclaré ce matin qu'un groupe d'étude conjoint du gouvernement et de la banque centrale étudiait des possibilités comme le contrôle des capitaux et des taux d'intérêt négatifs afin de réduire la force de la devise de la confédération.
La banque centrale japonaise avait fait savoir dans son bulletin mensuel que la reprise de l'économie nationale avait stagné, le moral des entreprises ayant décliné suite à la faiblesse de la demande de la part des pays étrangers.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été nettement dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.21% pour aller vers 1.0245, l'AUD/USD raflant 0.29% pour s'élever à 1.0134 et le NZD/USD engrangeant 0.25% pour culminer à 0.7724.
Des informations officielles avaient signalé ce matin que le PIB de la Nouvelle-Zélande avait raflé 0.8% au troisième trimestre, dépassant es 0.6% prévus, après n'avoir arraché que 0.1% n'ayant pas besoin d'être révisés lors du second.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.21% pour se situer à 80.18.
Les Etats-Unis devaient quand à eux rendre dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres révisés de leur PIB trimestriel, tandis que l'université du Michigan dévoilera ses informations concernant le moral des consommateurs ainsi que l'inflation attendue.