Investing.com - La monnaie unique a notamment dévissé aux abords d'un creux de l'année contre le dollar U.S. et d'un de la décennie face au yen après que les enchères décevantes des dettes italiennes aient poussé les investisseurs dans les bras des valeurs plus sûres.
En début de seconde partie de séance européenne, elle a en effet fléchi devant le billet vert, l'EUR/USD perdant 0.29% pour descendre à 1.2899.
La plupart des acteurs des marchés était déjà partie en vacances de fin d'année, réduisant les liquidités disponibles et augmentant la volatilité.
L'Italie n'a émis qu'à peine plus de 7 milliards d'euros de bons aux échéances s'étalant entre 2014 et 2022, soit largement moins que le maximum de 8.5 milliards envisagé.
Ceux-ci se répartissaient en 2.5 milliards d'euros en obligationns décennales arrivant à maturité en mars 2022, à un taux moyen de 6.97%, après avoir établi en novembre un sommet à 7.56%, du jamais vu depuis la mise en place de la devise européenne, mais aussi 2.5 milliards de dettes à trois ans, avec 5.62% de dividendes moyens.
Le taux des emprunts nationaux à dix ans est par la suite remonté à 7.1%, dépassant légèrement le seuil crucial des 7% largement considéré comme intenable à long terme.
Cette vente constituait le premier test de la volonté des banques européennes d'acquérir des dettes souveraines à long terme émises par les pays en difficulté de la région après l'injection la semaine dernière de 500 milliards d'euros de liquidités par la Banque Centrale Européenne.
Les observateurs demeuraiient sur leurs gardes après qu'il ait été signalé que les banques avaient retiré 436 milliards d'euros après avoir établi un record à 452 milliards la veille auprès du mécanisme rapide de la Banque Centrale Européenne, signe que les prêteurs régionaux étaient peu enclins à se fournir mutuellement des capitaux.
La livre sterling lui a toutefois cédé du terrain, l'EUR/GBP grignotant 0.13% pour se hisser à 0.8383.
Elle a cependant subi la pression du yen et du franc suisse, l'EUR/JPY trébuchant de 0.44% pour se retrouver à 100.4 et l'EUR/CHF trébuchant de 0.11% pour descendre à 1.2186.
La devise européenne a par ailleurs été dominée par ses homologues canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD régressant de 0.37% pour aller vers 1.3208, l'EUR/AUD trébuchant de 0.05% pour se retrouver à 1.2814 et l'EUR/NZD laissant échapper 0.08% pour toucher le fond à 1.6818.
En début de seconde partie de séance européenne, elle a en effet fléchi devant le billet vert, l'EUR/USD perdant 0.29% pour descendre à 1.2899.
La plupart des acteurs des marchés était déjà partie en vacances de fin d'année, réduisant les liquidités disponibles et augmentant la volatilité.
L'Italie n'a émis qu'à peine plus de 7 milliards d'euros de bons aux échéances s'étalant entre 2014 et 2022, soit largement moins que le maximum de 8.5 milliards envisagé.
Ceux-ci se répartissaient en 2.5 milliards d'euros en obligationns décennales arrivant à maturité en mars 2022, à un taux moyen de 6.97%, après avoir établi en novembre un sommet à 7.56%, du jamais vu depuis la mise en place de la devise européenne, mais aussi 2.5 milliards de dettes à trois ans, avec 5.62% de dividendes moyens.
Le taux des emprunts nationaux à dix ans est par la suite remonté à 7.1%, dépassant légèrement le seuil crucial des 7% largement considéré comme intenable à long terme.
Cette vente constituait le premier test de la volonté des banques européennes d'acquérir des dettes souveraines à long terme émises par les pays en difficulté de la région après l'injection la semaine dernière de 500 milliards d'euros de liquidités par la Banque Centrale Européenne.
Les observateurs demeuraiient sur leurs gardes après qu'il ait été signalé que les banques avaient retiré 436 milliards d'euros après avoir établi un record à 452 milliards la veille auprès du mécanisme rapide de la Banque Centrale Européenne, signe que les prêteurs régionaux étaient peu enclins à se fournir mutuellement des capitaux.
La livre sterling lui a toutefois cédé du terrain, l'EUR/GBP grignotant 0.13% pour se hisser à 0.8383.
Elle a cependant subi la pression du yen et du franc suisse, l'EUR/JPY trébuchant de 0.44% pour se retrouver à 100.4 et l'EUR/CHF trébuchant de 0.11% pour descendre à 1.2186.
La devise européenne a par ailleurs été dominée par ses homologues canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'EUR/CAD régressant de 0.37% pour aller vers 1.3208, l'EUR/AUD trébuchant de 0.05% pour se retrouver à 1.2814 et l'EUR/NZD laissant échapper 0.08% pour toucher le fond à 1.6818.