Investing.com - L'euro s'est retrouvé en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi, les opérateurs le revendant afin d'encaisser les gains dûs aux trois jours de rebond de la semaine écoulée, tandis que les incertitudes concernant la capacité de la Banque Centrale Européenne à mettre fin à la crise de la dette de la zone euro alourdissant l'atmosphère.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.38% pour tomber à 1.2273.
L'Italie a pour sa part vu aujourd'hui les coûts de ses emprunts à 10 ans passer sous les 6% lors d'une adjudication, laissant ainsi à penser que les investisseurs estimaient désormais que ses dettes étaient plus sûres.
Les taux des bons du trésor italiens et espagnols étaient déjà retombés depuis leurs sommets historiques établis la semaine passée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, se soit engagé jeudi à défendre l'euro par tous les moyens nécessaires.
Ces propos ont contribué à renforcer l'espoir que la BCE annoncerait, après sa réunion de jeudi prochain, de nouvelles mesures ayant pour but d'enfin juguler la longue crise de la zone euro, mais la possibilité d'une déception restait tout de même à l'esprit.
Des évaluations préliminaires avaient quand à elles signalé ce matin que le produit intérieur brut espagnol avait laissé échapper 0.4% au second trimestre, constituant ainsi son neuvième mois de contraction d'affilée.
Le yen a également exercé sa pression, l'EUR/JPY chutant de 0.67% pour sombrer à 95.99.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.09% pour glisser à 0.7814, et avec le franc suisse, l'EUR/CHF cédant 0.01% pour descendre à 1.201.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait cependant sur la sellette, une étude officielle ayant fait savoir que le nombre des prêts hypothécaires approuvés le mois dernier avait dégringolé à son plus bas niveau depuis juin 2010, et une autre que les prêts nets avaient connu en juillet leur croissance la plus lente des 12 mois écoulés.
Il avait déjà été souligné la semaine passée que l'économie britannique avait subi d'avril à juin son troisième trimestre de recul d'affilée, marquant ainsi neuf mois de récession consécutifs.
Ses homologues australienne et néo-zélandaise ont par contre traîné la monnaie unique vers de nouveaux planchers historiques, l'EUR/AUD fondant de 0.49% pour se retrouver à 1.1691, l'EUR/NZD laissant échapper 0.43% pour se situer à 1.5162 et la canadienne a bien failli les imiter, l'EUR/CAD dérapant de 0.32% pour toucher le fond à 1.2319.
Timothy Geithner, sécrétaire d'état au trésor des Etats-Unis, comptait de son côté rencontrer dans l'après-midi Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, ainsi que Mario Draghi afin d'évoquer l'économie mondiale.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.38% pour tomber à 1.2273.
L'Italie a pour sa part vu aujourd'hui les coûts de ses emprunts à 10 ans passer sous les 6% lors d'une adjudication, laissant ainsi à penser que les investisseurs estimaient désormais que ses dettes étaient plus sûres.
Les taux des bons du trésor italiens et espagnols étaient déjà retombés depuis leurs sommets historiques établis la semaine passée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, se soit engagé jeudi à défendre l'euro par tous les moyens nécessaires.
Ces propos ont contribué à renforcer l'espoir que la BCE annoncerait, après sa réunion de jeudi prochain, de nouvelles mesures ayant pour but d'enfin juguler la longue crise de la zone euro, mais la possibilité d'une déception restait tout de même à l'esprit.
Des évaluations préliminaires avaient quand à elles signalé ce matin que le produit intérieur brut espagnol avait laissé échapper 0.4% au second trimestre, constituant ainsi son neuvième mois de contraction d'affilée.
Le yen a également exercé sa pression, l'EUR/JPY chutant de 0.67% pour sombrer à 95.99.
Il en a été de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.09% pour glisser à 0.7814, et avec le franc suisse, l'EUR/CHF cédant 0.01% pour descendre à 1.201.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait cependant sur la sellette, une étude officielle ayant fait savoir que le nombre des prêts hypothécaires approuvés le mois dernier avait dégringolé à son plus bas niveau depuis juin 2010, et une autre que les prêts nets avaient connu en juillet leur croissance la plus lente des 12 mois écoulés.
Il avait déjà été souligné la semaine passée que l'économie britannique avait subi d'avril à juin son troisième trimestre de recul d'affilée, marquant ainsi neuf mois de récession consécutifs.
Ses homologues australienne et néo-zélandaise ont par contre traîné la monnaie unique vers de nouveaux planchers historiques, l'EUR/AUD fondant de 0.49% pour se retrouver à 1.1691, l'EUR/NZD laissant échapper 0.43% pour se situer à 1.5162 et la canadienne a bien failli les imiter, l'EUR/CAD dérapant de 0.32% pour toucher le fond à 1.2319.
Timothy Geithner, sécrétaire d'état au trésor des Etats-Unis, comptait de son côté rencontrer dans l'après-midi Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, ainsi que Mario Draghi afin d'évoquer l'économie mondiale.