Investing.com - La livre sterling a laissé la main au dollar U.S. ce mardi, l'atosphère se trouvant assombrie par la révélation de chiffres des ventes et de l'emploi européens peu réjouissants, sur fond d'angoisses au sujet de la fiscalité américaine.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.6076 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3122, perdant 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6020, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.6127, son plafond du jour.
Le moral est en effet tombé d'un cran après qu'une étude officielle ait souligné que les ventes au détail de la zone euro n'avaient arraché que 0.1% en novembre, au lieu des 0.3% espérés après les 0.7% de dérapage précédents.
Une autre signalait de son côté que le taux de chômage régional s'était élevé de 11.7 à 11.8% dans le même temps, établissant sans surprise un nouveau record.
Mais la nervosité découlant des tractations à Washington visant à établir les futures coupes budgétaires et à relever le plafond d'endettement maximal des Etats-Unis à l'horizon de février restait cependant palpable.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain à la monnaie unique, l'EUR/GBP prenant 0.2% pour se hisser à 0.8154.
Taro Aso, ministre des finances du Japon, avait pour sa part affirmé à l'aube que ce dernier achèterait des titres émis par le Mécanisme Européen de Stabilité afin de contribuer à calmer l'effervescence régionale.
Ceux-ci devraient en effet être proposés pour la première fois en cours de journée, après une période de mise en place entamée en octobre 2012.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.6076 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3122, perdant 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6020, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.6127, son plafond du jour.
Le moral est en effet tombé d'un cran après qu'une étude officielle ait souligné que les ventes au détail de la zone euro n'avaient arraché que 0.1% en novembre, au lieu des 0.3% espérés après les 0.7% de dérapage précédents.
Une autre signalait de son côté que le taux de chômage régional s'était élevé de 11.7 à 11.8% dans le même temps, établissant sans surprise un nouveau record.
Mais la nervosité découlant des tractations à Washington visant à établir les futures coupes budgétaires et à relever le plafond d'endettement maximal des Etats-Unis à l'horizon de février restait cependant palpable.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs cédé du terrain à la monnaie unique, l'EUR/GBP prenant 0.2% pour se hisser à 0.8154.
Taro Aso, ministre des finances du Japon, avait pour sa part affirmé à l'aube que ce dernier achèterait des titres émis par le Mécanisme Européen de Stabilité afin de contribuer à calmer l'effervescence régionale.
Ceux-ci devraient en effet être proposés pour la première fois en cours de journée, après une période de mise en place entamée en octobre 2012.