Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce mardi, après que la Banque Nationale Suisse soit intervenue sur le marché des changes pour affaiblir sa monnaie, la faisant plonger devant celui-ci et l'euro.
En seconde partie de séance européenne, il s'est en effet envolé contre le swissy, l'USD/CHF engrangeant 8.41% pour s'envoler à 0.8533.
La banque centrale a en effet mis en place un ojbjectif de taux de change minimal de 1.2 francs suisses par euro, ajoutant être prête à le faire respecter avec la plus grande détermination, en acquérant des devises étrangères en quantités illimités.
Elle s'en est justifiée en rappelant que l'énorme surévaluation du franc suisse menaçait fortement l'économie helvétique, et était porteuse du risque de déflation.
La nouvelle est survenue après que des chiffres officiels aient montré que les prix à la consommation nationaux avaient perdu 0.3% en août, dépassant les 0.2% prévus et prolongeant les 0.8% de déclin du mois précédent.
La monnaie de la confédération s'est également effondrée une fois confrontée à l'euro, l'EUR/CHF fulgurant de 8.52% pour atteindre 1.2043.
Celui-si a pour sa part ployé sous le poids de l'étalon américain, l'EUR/USD trébuchant de 0.04% pour descendre à 1.4091.
La monnaie unique est restée sous la pression des craintes d'une aggravation la crise de la dette souveraine.
Des chiffres officiels avaient précédemment signalé pour juillet une chute significative des commandes auprès des usines allemandes, celles-ci dérapant pour la première fois en quatre mois suite à un fléchissement de la demande à l'exportation.
Le yen et la livre sterling ont aussi cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD perdant 0.3% pour glisser à 1.6068, et l'USD/JPY gagnant 0.57% pour culminer à 77.32.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.22% pour aller vers 0.9927, l'AUD/USD se laissant arracher 0.03% pour reculer à 1.0547 et le NZD/USD déclinant de 0.25% pour se retrouver à 0.83.
La Réserve Bancaire d'Australie avait annoncé dans la matinée le maintien de son taux d'intérêt à 4.75%, et laissé entendre qu'il en serait de même pour les mois à venir, en raison des incertitudes planant sur la croissance mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a raflé 0.58% pour culminer à 75.66.
L'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis devrait quand à lui publier dans l'après-midi une étude sur l'activité du secteur tertiaire du pays.
En seconde partie de séance européenne, il s'est en effet envolé contre le swissy, l'USD/CHF engrangeant 8.41% pour s'envoler à 0.8533.
La banque centrale a en effet mis en place un ojbjectif de taux de change minimal de 1.2 francs suisses par euro, ajoutant être prête à le faire respecter avec la plus grande détermination, en acquérant des devises étrangères en quantités illimités.
Elle s'en est justifiée en rappelant que l'énorme surévaluation du franc suisse menaçait fortement l'économie helvétique, et était porteuse du risque de déflation.
La nouvelle est survenue après que des chiffres officiels aient montré que les prix à la consommation nationaux avaient perdu 0.3% en août, dépassant les 0.2% prévus et prolongeant les 0.8% de déclin du mois précédent.
La monnaie de la confédération s'est également effondrée une fois confrontée à l'euro, l'EUR/CHF fulgurant de 8.52% pour atteindre 1.2043.
Celui-si a pour sa part ployé sous le poids de l'étalon américain, l'EUR/USD trébuchant de 0.04% pour descendre à 1.4091.
La monnaie unique est restée sous la pression des craintes d'une aggravation la crise de la dette souveraine.
Des chiffres officiels avaient précédemment signalé pour juillet une chute significative des commandes auprès des usines allemandes, celles-ci dérapant pour la première fois en quatre mois suite à un fléchissement de la demande à l'exportation.
Le yen et la livre sterling ont aussi cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD perdant 0.3% pour glisser à 1.6068, et l'USD/JPY gagnant 0.57% pour culminer à 77.32.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.22% pour aller vers 0.9927, l'AUD/USD se laissant arracher 0.03% pour reculer à 1.0547 et le NZD/USD déclinant de 0.25% pour se retrouver à 0.83.
La Réserve Bancaire d'Australie avait annoncé dans la matinée le maintien de son taux d'intérêt à 4.75%, et laissé entendre qu'il en serait de même pour les mois à venir, en raison des incertitudes planant sur la croissance mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a raflé 0.58% pour culminer à 75.66.
L'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis devrait quand à lui publier dans l'après-midi une étude sur l'activité du secteur tertiaire du pays.